le Pirate Forum

  
Ha oui, Garotinho !
Un film de Resnais merveilleux. Avec comme toujours, cette touche d'irréalité si particulière.

A propos de bs as, aurais-tu déménagé ? N'habites-tu donc plus Mexico sous un palmier ?
Autre question alors, n'y-a-t-il pas un cinéma argentin dont tu pourrais aussi nous parler, à propos duquel tu pourrais nous renseigner ? Ici, on ne connaît pas !

  
Ah non, j'ai jamais mis les pieds au Méxique :-x J'habitais - sous un palmier - près de la plage d'Itapoa, à Bahia de San Salvador :D Cet hiver à bs as a été particulièrement froid, il a même neigé, ce qui est vraiment rare.

Le dernier film argentin que j'ai vu c'est Roma, d'Adolfo Aristarain. Il n'est pas très bon, plans excessivement longs et une histoire peu convaincante. Mais l'ambiance y est super !
En tout cas, c'est le buenos aires que j'ai vecu. Celui de la fin des années 60, les vieilles librairies de l'Avenue Corrientes (la plupart n'existent plus), les filles, les cafés, la politique, les militaires, les disparus...
la vie quoi !

Sinon, c'est Pino Solanas mon réalisateur préféré. La hora de los hornos, un témoignage extraordinaire de l'Argentine profonde. Et dans un autre registre, El Sur. Le tango, la mélancolie, la brume, buenos aires...

Un reportage,

http://fabrice.hatem.free.fr/index.php? ... &Itemid=46

son site,

http://www.pinosolanas.com/
touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/

  
Ha oui, je me souviens, au Brésil, suis-je bête.
Et ta mémé te donnait à boire, enfant, un mélange de caïpirinha et de Pepsi.

C'est merveilleux, j'ai bu pendant toute mon enfance du mazout, mélange de whisky et de Coca. Tu vois le bel homme que ça a donné.

Merci pour tes indications sur le cinéma argentin.

  
Oui, le whisky et le coca sont (peut-être :roll: ) la source de notre passion pour la photo...


En surfant tout à l'heure le forum, un commentaire de marielle et une photo de Paul-pote m'ont évoqué un film d'Antonioni. Le film c'est : Profession reporter, avec Nicholson et Maria Schneider.

Marielle a dit que demain elle commencait la vraie vie, moi, j'ai pensé à une nouvelle vie (mon inconscient ? :exas: ) et Paul-pote a posté cette photo :



La quête d'une identité, qui n'est sûrement pas le problème de Paul-pote ni de marielle, m'a fait pensé à ce film :

http://www.cineclubdecaen.com/realisat/ ... porter.htm
touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/

  
Hier soir, j'ai revu sur Arte, Tout sur ma mère de Pedro Almodovar
Ce film est une merveille. Almodovar parle et film la mort, la vie, l'amitié et les amours avec grace. Il ne tombe jamais dans le pathos. Les femmes portent le film (Cecilia Roth, Marisa Parades et Penelop Cruz). On retrouve le thème de la confusion des sexes. La couleur rouge est présente.
Alors que l'on pourrait sortir accablé, Almodovar réussit à faire partager une leçon de vie au travers du destin de Manuella (Cecilia Roth).
Un film à voir et à revoir sans modération

  
Profitant d'une rétrospective Jean Renoir à la Deutsche Kinemathek de Berlin, je viens de voir - ou revoir 4 films extraordinaires. Dans l'ordre :
- La Bête Humaine. En toute honnêteté, j'ai été déçue. Trop daté. Et à aucun moment je n'ai été prise par le drame interne du héros (joué par Jean Gabin), héritier malheureux de plusieurs générations de Rougon-Macquard (Histoire d'après Zola), ni par l'histoire, ni par aucun des personnages. A voir pour Gabin, Carette, et Lison (la locomotive !)
- French Cancan : un véritable feu d'artifice, de joie, de couleur, de passion. L'histoire de la naissance du Moulin Rouge. Jubilatoire !
- La Règle du Jeu : je l'avais vu vers 15 ans. Mon père m'avait dit "c'est un chef-d'oeuvre", et je n'y avais absolument rien compris - et pas vu en quoi ça pouvait être un chef-d'oeuvre. Avec quelques années de plus, le revoir a été un véritable choc. Extraordinaire. Quel regard terrible sur l'humanité (qui peut être belle, généreuse, honnête, droite, malhabile, éperdue, cruelle, cynique.) Les acteurs sont magnifiques. Et quelle mise en scène !! A voir absolument !
- La Grande Illusion : Film qui fait partie de mes grands classiques, film culte depuis toujours. Je le voyais ce soir pour la première fois sur grand écran. Que dire ? Sinon qu'il s'agit pour moi d'un des plus beaux films du monde, par son regard sur l'Humanité. J'en frissonne encore.

Dans la rétrospective, il y a aussi Une Partie de Campagne (que je connais déjà. merveille absolue !). Mais je ne pourrai sans doute pas y aller. Dommage (avec Sylvia Bataille - future épouse de Lacan ! - émouvante à pleurer quand elle bascule dans l'amour)

Le cinéma de Renoir est toujours un grand moment de plaisir

Il faut voir également "Le crime de Monsieur lange" qui raconte la création et la vie d'une coopérative ouvrière en 1936.

Il manque également "La Marseillaise" grand moment de cinéma populaire du Front Populaire.

Ce que j'aime le plus dans ces film, ce sont les apparitions de Carette dans des seconds rôle grandioses comme le braconnier Marceau de "La règle du jeu", qui devient domestique par ce qu'il a toujours révé de porter l'habit, ce qui lui fait dire cette réplique :
"Monsieur le marquis a voulu m'élever en faisant de moi un domestique"

Et puis n'oublions pas les apparitions de Cartier-Bresson en majordome anglais dans la fameuse scène du repas des domestiques de "la règle du jeu" et en jeune séminariste dans "Une partie de campagne"

Et puis j'ai une affection particulière pour "La grande illusion" qui me sauva la mise à l'oral du CAPES après avoir tiré la question "Cinéma et littérature de guerre 1911 1947"


Dans les films qui ont ma préférence il y a "Un revenant" avec Louis Jouvet , "La kermesse héroïque" de jacques Feyder, "Le pigeon" de Mario Monicelli.
Les films de Tavernier comme "Que la fête commece" "Coup de torchon" "Le juge et l'assassin" "La vie et rien d'autre"
Billy Wilder a également sa place avec sa "Scandaleuse de Berlin", "1,2,3" "Certain l'aime chaud" etc.
Et tant d'autre qui ont déja été cités.



Sinon pour les livres, la liste est trop longue, que ce soit en littérature ou en BD

  
Victor S
Il faut voir également "Le crime de Monsieur lange"
Il manque également "La Marseillaise"

Le Crime de Mr Lange : ils ne le donnaient pas à la rétrospective. Mais je me le suis pris avec moi en DVD. Pour un soir prochain. Tout comme Boudu sauvé des eaux, et le Caporal épinglé.

La Marseillaise : je n'ai pas pu aller le voir. J'ai entendu dire que, pour le coup, c'était très daté

Victor S
Et puis n'oublions pas les apparitions de Cartier Bresson en majordome anglais dans la fameuse scène du repas des domestiques de "la règle du jeu" et en jeune séminariste dans "Une partie de campagne"

Ah, dis donc, je ne savais pas ! Mais maintenant que tu le soulignes, je le reconnais !

  
Haaaa, La grande illusion, presque le film parfait.
Il y a le thème, fort, humaniste, cette recherche de fraternité au-delà des frontières, cette réflexion sur les classes, qui est aussi une reflexion sur la culture et nos modèles, un humour distancié permanent, des acteurs tous au plus haut de leur art, et le cadre terrible de la guerre, en toile de fond, derrière des hommes épris de liberté.
Un film construit comme rarement, dont chaque séquence comporte un ou deux plans photographiques méritant l'arrêt sur image (c'est extrêmement rare au cinéma, même chez Renoir), dont tous les enchaînements sont pensés, (changements de point de vue, de séquence, de scène, de lieux et de temps), réglés avec une rigueur musicale qui laisse tout simplement admiratif.
Un film travaillé jusque dans ses moindres détails, et qui pourtant, par la magie du jeu des acteurs, semble aussi d'un naturel total.

Je crois que c'est un véritable chef d'œuvre. Et aucun autre film de Renoir ne lui arrive à la cheville, quelle que soit la force du propos (par exemple La règle du jeu).

Victor, tu cites Le crime de M. Lange. Un très beau film en effet, porté par les idées du Front Populaire, avec une actrice emblématique, Florelle (qui dit ne pas s'être entendue avec Renoir). En toile de fond, en effet, l'aventure de la coopérative, avec de très belles scènes émouvantes. Mais surtout, Le crime de M. Lange, c'est pour moi l'irruption de l'imaginaire américain (les westerns qu'écrit M. Lange), la construction en flash-back, l'unité de lieu dans la cour de l'immeuble, avec de fantastiques jeux de caméra (comme, d'une certaine manière dans Boudu, mais poussé encore plus loin), un hymne à la liberté et à l'amour (la jeune fille enceinte), et un grand Jules Berry (l'ignoble Batala).

Je ne suis vraiment pas d'accord concernant La Marseillaise, qui est un film baclé, fait de bric et de broc, au propos caricatural, commande de la CGT. Le jeu des acteurs y est sans nuances, les scènes s'enchaînent sans logique, il n'y a aucune unité cinématographique, alors que c'est généralement l'une des forces du cinéma de Renoir, chaque film ayant sa couleur, sa densité picturale, autour d'une stylisation évidente et recherchée.
De ce point de vue, il ne faut pas oublier non plus, dans les films d'avant-guerre, Les bas-fonds, rencontre entre le bandit au grand cœur, qui aime l'herbe et la liberté, et l'aristocrate déchu, découvrant la liberté et l'amitié (Louis Jouvet dans l'un de ses plus beaux rôles).

Il y a un aspect qui me frappe toujours, dans les films de Renoir, c'est l'alliage curieux entre la perfection formelle (enchaînement des plans, travail profond sur l'image et la photo, logique des séquences, bande son alliant prise d'ambiances en direct, studio et musique écrite au rythme de la caméra), et un certain bricolage. Aujourd'hui, dans un film qui sortirait en salle, on ne se satisferait pourtant pas du caractère artisanal de la "fabrication", malgré la profondeur de la réflexion qui a sous-tendu tous les choix formels. Mais chez Renoir, ça "passe", comme passent les traits de plume ou les coups de pinceau parfois imprécis d'un artiste, comme peuvent passer aussi en musique les imprécisions techniques d'un grand artiste visionnaire comme Alfred Cortot (même époque, ce n'est peut-être pas un hasard).

Bref : Renoir, j'aime ! Et La grande illusion, je l'ai vue 10 fois en salle, 20 fois ou plus en vidéo !

A voir aussi, pour sa légèreté et son caractère brillant sur un propos dérisoire, autour des aventures d'un pot de chambre et d'un sale môme constipé, Michel Simon et Fernandel dans On purge bébé, pochade et premier film parlant de Renoir, et, âpre et noir, dans une bourgeoisie étouffante à peine sortie du XIXe siècle, La chienne, chute d'un homme qui n'est pas à sa place dans un monde qui ne le comprend pas, et qu'il ne comprend pas.
  • Message par nel, mercredi 26 septembre 2007 à 8h43
    citer

Alors, si tu aimes Renoir, et je l'aime aussi, il faut que tu voies ce livre sur une partie de campagne écrit par un ami, spécialiste de Renoir, à la suite de la re-découverte des photos de tournage d'Eli Lotar, le livre et les photos sont "formidables" comme dit notre président Nicolas.

C'est ici

marielle
Ah, dis donc, je ne savais pas ! Mais maintenant que tu le soulignes, je le reconnais !

Cartier-Bresson était 2ème assistant de Renoir, c'est lui qui a réglé la scène de chasse de "La règle du jeu", car en tant que fils de la grande bourgeoisie il avait assisté à ce type de chasse (les fils Cartier-Bresson utilisés par toute les couturières de France il y a encore peu).

En plus des qualités du cinéma de Renoir, ce qui m'attire encore plus dans son oeuvre, c'est qu'il appartient à cette période des années 30 et du Front Populaire, période historique que j'étudie toujours avec passion.

  
nel
Alors, si tu aimes Renoir, et je l'aime aussi, il faut que tu voies ce livre sur une partie de campagne écrit par un ami, spécialiste de Renoir, à la suite de la re-découverte des photos de tournage d'Eli Lotar

Nel, où le commander ? Directement chez l'éditeur ? (inconnu sur amazon ou alapage - ou alors j'ai mal cherché :roll: ).

  
A mon avis, en effet, directement chez eux :
Editions de l’Œil
Freddy Denaës et Gaël Teicher
Tél. : 01 49 88 03 57 - Fax : 01 49 88 70 73
E-mail : editionsdeloeil@gmail.com
  • Message par nel, mercredi 26 septembre 2007 à 11h17
    citer

Il n'est apparemment pas non plus à la FNAC, peut être chez l'éditeur directement, ou alors je t'en trouve un et je te l'envoie ...

  
j'ai parlé plus haut, à propos de Renoir, de
l'alliage curieux entre la perfection formelle (…), et un certain bricolage
J'aurais dû insister aussi sur la haute tenue des dialogues, généralement très écrits et littéraires. L'un des sommets, de ce point de vue, est Madame Bovary, dans lequel il utilise le texte de Flaubert pour les dialogues. En fin de citation, il évoque aussi la place des plans composés dans des enchaînement plus libres, en ambiance naturelle. C'est peut-être là que se trouve cette "signature" inimitable : le plus contruit, dans des enchaînements à la fois libres et travaillés. Renoir en a lui-même dit en 1961 (interview à la télévision) :
« (…) j'ai essayé de marier le fond réel et le jeu le plus stylisé qui soit possible. (…) Le texte de Madame Bovary n'est pas naturel, il est bon. Il est bon puisque ce n'est pas moi qui l'ai fait, mais Flaubert. Alors il fallait dire ces mots et les dire devant de vraies fermes, avec de vrais toits de chaume, et autour de ces vraies fermes, il y avait de vraies vaches, de vraies oies et de vrais poulets. Lorsqu'on ouvrait une vraie porte, elle était lourde, elle pesait. Les accessoires étaient de vrais accessoires. (…) Je tenais à ce réalisme absolu du fond, de l'entourage, et je tenais au contraire à la composition absolument poussée du premier plan. »

D'après Claude-Jean-Philippe*, Éric Rohmer en a dit : « Madame Bovary est vraie dans le plus grand artifice, artificielle dans chacune de ses minutes de vérité. Tout est composé, compassé chez elle, sauf ce qui de nature ignore la composition : la qualité de la chair et du regard (…). »

(*) Claude-Jean-Philippe, Jean Renoir, une vie en œuvre, Grasset, 2005

  
Pour illustrer un peu ce très intéressant fil.
C'est sans doute le dernier film qu'ils ont vu. Le petit bourg cévenol s'éteint doucement. Reste l'affiche comme un souvenir déjà lointain.

  
Chouette l'affiche !

La version de Chabrol de Madame Bovary est très bonne aussi.
touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/

  
Si vous aimez les grands espaces
Si vous adorez les histoires un peu tristes mais qui finissent bien quand même
Si vous aimez nos amis les bêtes
Si dans votre vie vous avez un jour pensé fuir très très loin
Si vous pensez que le cheval est le meilleur ami de l’homme
Alors vous avez, comme d’autres millions de personnes, adoré ce superbe film « L’homme qui murmurait aux oreilles de chevaux »
Et comme moi, je n’en doute pas vous allez aimer :



:D:

  
Ha oui, je vais adorer, c'est certain.
Mais avant d'y aller, je me réserve bien entendu la possibilité de me déterminer en fonction de la critique du Monde, de France-Culture et des Cahiers du C. : que voulez-vous, on ne se refait pas :D:

  
Amis cinéphiles, bonjour !
Mon activité trépidante et très prenante ne me laissant guère le temps d'aller m'asseoir dans les salles obscures :( il m'arrive de temps à autre de me souvenir de certains films, anciens qui me marquèrent particulièrement. J'en ai souvent oublié l'époque de sortie :oops: mais ils demeurent en ma mémoire comme autant de petites pierres blanches qui éclairent le passé et, parfois, rejaillissent au présent. Est-ce la morosité (ou pseudo) actuelle, m'est revenu à l'esprit un film qui sous des aspects parfois festifs, montrait la fin d'une époque et jusqu'où l'homme et la femme acceptaient d'aller pour parvenir à un but. Pour l'occasion il ne me semblait pas très élevé mais certes nécessaire dans une Amérique en crise. Le titre en était "On achève bien les chevaux". Mais comme je ne peux décidément rien faire sans pointer un peu d'humour, mais après tout c'est ce qui fait le plaisir de ce Forum n'est-il pas, j'en ai repensé l'affiche



Je sais :rollv: mais bon :wink:

  
Tromer
... il m'arrive de temps à autre de me souvenir de certains films, anciens qui me marquèrent particulièrement. J'en ai souvent oublié l'époque de sortie...


Le week-end dernier j'ai revu (à la télé) un film ancien; Cria cuervos de Carlos Saura.
Je trouve que c'est un film qui parle surtout de l'image (des photos) et de la musique (des chansons)...et du temps qui tourne autour de ces deux repères.

Personnellement, le film m'a d'abord renvoyé au jour de l'année 1975 lorsque je l'ai vu pour la première fois dans vieille salle de Bs As qui n'existe plus. Mais il m'a fait voyager aussi dans un passé lointain qu'apparemment je n'ai pas vécu.

J'ai vu le film en version espagnole. Le DVD contient un bonus où Carlos Saura parle photo. Il est avant tout un excellent photographe.
Je viens de voir sur le net qu'il y en a une version francaise d'une excellente qualité.

http://www.dvdclassik.com/Critiques/cri ... ta-dvd.htm

Si jamais un visiteur du site a envie de voir un très bon film espagnol, allez y, c'est une bonne idée :wink:
touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/

  
Et la chanson du film!!!!!!!!
Merci, grace à toi je la siffle à présent :D:
:cool:

  
:pyrhlov: j'ai un souvenir très ému de ce film que je n'ai vu qu'une fois à Avignon quelque part vers 1978.
En effet la musique reste gravée en moi sans avoir besoin de l'avoir entendue depuis, ainsi que les regards.

  
Voici un lien pour la siffler encore plus, la musique du film :-)
et pour en voir ou en revoir quelques images.

http://www.youtube.com/watch?v=pczJsUbq ... re=related
touche pas à mon hamac !
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  • Message par JJB, mardi 26 février 2008 à 19h54
    citer

Bonsoir

Je vais très peu au cinéma, mais puisque nous sommes dans le cinéma Espagnol je dois dire que j'apprécie les films de Pedro Almodovar .
Avec aussi la chanson du film talons aiguilles chanté par Luz Cazals je crois (piense a mi)
Le dernier film que j'ai vu au cinéma "Joyeux Noel" très émouvant.

Cordialement JJB
Quand on aime la photographie, Mozart, Faulkner et les chats on ne peut pas être tout à fait mauvais !
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