Publié : mardi 13 septembre 2011 à 9h30
À la page précédente, nous faisait partager sa vision de la Cité Radieuse de Firminy, très intéressante même pour la profane que je suis.
Après avoir été sous le charme de la Cité Radieuse de Marseille : concept intéressant, avec une tendresse certaine pour un tel fada qui croyait en ce qu'il faisait, jolie réalisation (notamment la terrasse et ses sculptures géométriques, le béton bien coulé avec le relief des planches de bois des coffrages bien mis en évidence, rue commerçante non dépourvue de charme, etc), je l'ai été bien moins à Firminy où l'édifice, un peu incongru perché sur sa colline au milieu de ce qui fut une campagne riante, est réellement une pâle copie de l'original marseillais : réalisé à moindre frais, et avec moins d'application pour le futur habitant (point de rue commerçante, point de jolie terrasse), moins réussi à tous points de vue (par exemple, façade bicolore, uniquement, moins chantante que celle, multicolore de Marseille ; ou "pilotis" de béton moins bien dessinés).
Les couloirs sombres (appelés un peu pompeusement "rues") sont en revanche tout à fait semblables, dont chaque porte de couleur s'ouvre sur un appartement.
Ici, vision colorée de la rue n°7 au polaïPhone (en attendant des vues N&B encore non développées...) :
____________
J'ai tourné la page
Ne manquez pas l'explication de notre pirate-en-chef en bas de la page précedente
(et la vision d'horreur du plan d'urbanisme du Corbu pour Paris en 1925 )
Après avoir été sous le charme de la Cité Radieuse de Marseille : concept intéressant, avec une tendresse certaine pour un tel fada qui croyait en ce qu'il faisait, jolie réalisation (notamment la terrasse et ses sculptures géométriques, le béton bien coulé avec le relief des planches de bois des coffrages bien mis en évidence, rue commerçante non dépourvue de charme, etc), je l'ai été bien moins à Firminy où l'édifice, un peu incongru perché sur sa colline au milieu de ce qui fut une campagne riante, est réellement une pâle copie de l'original marseillais : réalisé à moindre frais, et avec moins d'application pour le futur habitant (point de rue commerçante, point de jolie terrasse), moins réussi à tous points de vue (par exemple, façade bicolore, uniquement, moins chantante que celle, multicolore de Marseille ; ou "pilotis" de béton moins bien dessinés).
Les couloirs sombres (appelés un peu pompeusement "rues") sont en revanche tout à fait semblables, dont chaque porte de couleur s'ouvre sur un appartement.
Ici, vision colorée de la rue n°7 au polaïPhone (en attendant des vues N&B encore non développées...) :
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J'ai tourné la page
Ne manquez pas l'explication de notre pirate-en-chef en bas de la page précedente
(et la vision d'horreur du plan d'urbanisme du Corbu pour Paris en 1925 )