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Laurent, pourrait t'on voir en plus grand la photo de l'homme seul, de profil, dans sa pièce déserte, en face de la lumière d'une fenêtre ? "Et c'est comme cela que j'y parvins, en grimpant lentement, en m'accrochant aux brindilles qui poussaient entre le bonheur et moi."
Emily Dickinson |
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Oui, toutes bien sûr. Parles-tu de celle-ci
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Yes, maintenant je peux dire qu'elle sort du lot AMHA ..... La compo me fait penser à celles fréquemment utilisées dans le film "le procès" d'Orson Welles... "Et c'est comme cela que j'y parvins, en grimpant lentement, en m'accrochant aux brindilles qui poussaient entre le bonheur et moi."
Emily Dickinson |
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L'ensemble des photos est surtout documentaire, et pour une part, de reportage.
Celle-ci est un jeu photographique Alors la voici agrandie : Nikon D700 - 2,8/25 Zeiss |
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Édité 1 fois par coignet jeudi 1 octobre 2009 à 23h16 | ||
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Elle semble plus "froide" du coup
Merci, je la trouve vraiment à part dans ton "documentaire" "Et c'est comme cela que j'y parvins, en grimpant lentement, en m'accrochant aux brindilles qui poussaient entre le bonheur et moi."
Emily Dickinson |
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Je l'ai en effet réglée plus froide, elle m'a semblé, quelques mois plus tard, trop jaune…
J'en remets un tout petit peu… |
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En revanche je ne comprends pas "nikon D700" et "fuji press" blagounette ? "Et c'est comme cela que j'y parvins, en grimpant lentement, en m'accrochant aux brindilles qui poussaient entre le bonheur et moi."
Emily Dickinson |
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Ha non, pas blague, clavier qui fourche
Nikon D700 tout court bien sûr ! Je corrige. |
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Laurent, ce n'est pas si long que ça. En Argentine, La Bibliothèque Nationale a mis plus de vingt ans à être conclue. touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/ |
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Comme c'était plus petit, ça a été plus court
Voici un autre type de vue du jour de l'inauguration, plus décontracté et amusant. |
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Ouais, y a tout ce qu'on aime ! Une petite photo de rien du tout... et tout une histoire !
Des belles bandoulières comme on aimerait en voir plus souvent, La gente féminine enfin représentée dignement quand même (j'en compte 3 voire 3,5) dont une portant du quasi Christian Lacroix, Un joli chapeau de paille ave la canne et la moustache, Six jolis débuts de tonsures, Un cadreur sans son Phil VDD, Un photographe architecte à ses heures perdues mais qui visiblement n'a pas retrouvé la boite de cirage... perdue sans doute elle aussi, Un grand type à la Tati qui passe dans le champ, qu'est pas facteur mais qui va bien finalement, Le tout vu de dos... au soleil, Je sais pas c'est qui qu'a fait la photo, mais il/elle devait pas imaginer tout ce qu'il y avait dedans/dessus... Note à Béné (que je salue) J'oubliais le sosie de Jean-Pierre Elkabbach ! |
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Une chronique d'anthologie touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/ |
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Tromer a su trouver les mots L'idée d'un univers infini me rend fou |
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