Lorsqu'à la place du soleil, on a le froid et la glace, lorsqu'à la place du chant des cigales, on a les cris des corbeaux, lorsqu'à la place de l'acsainguedumidipeuchère, on a "ik bin ène berliner", il faut bien s'adapter si on veut continuer à jouer à la pétanque !
Dehors, par -3, -4° (brrrr !), une petite réunion entre amis :
Sur de la glace, en chaussures de ville : inspecter le terrain, juger de l'éloignement du "Schweinchen" (le cochonnet, si vous préférez)
Prendre la boule, qui, par ces températures quasi sibériennes, a pris une drôle de forme (ne pas la perdre, non plus)
S'élancer, d'un pas assuré, sans tomber par terre (ici, on pointe, uniquement)
Lancer la boule, tenir en équilibre tout en glissant élégamment
Reconnaitre sa boule, et se disputer pour savoir qui est le plus près de la cible
Faire appel aux officiels pour mesurer au centimètre près. Ici non plus, on ne rigole pas avec ces choses-là !
Ce que Marielle, dans ce magnifique reportage, omet de préciser c’est, qu’en plus, cette merveille technologique permet, entre les parties de se reposer un peu, à la différence de notre traditionnel jeu de boules, dans la mesure où l’on prend soin de le retourner.
Mais dans ce sens uniquement.
Ah non, ce n'est pas du curling : pas de balais, juste un cochonnet ! Vraiment les mêmes règles que la pétanque.
Quant à la perspicacité de Tromer, je tiens à l'en féliciter. Les tabourets berlinois te remercient (les derrières des berlinois, entre les parties , sans doute un peu moins )
Merci pour ta remarque Kim j'ai hésité entre lui et " Poux Thine "
Marielle les boules de pétanque c'est pas comme ça et pour le balai avec les 35 h c'est pas possible
ce sidi ( ) ici non plus il ne fait pas chaud
aide toi ! et ... (si tu comptes sur moi t'es pas dans la m...)