Publié : lundi 28 juin 2010 à 6h37
Photoman2040 a écrit :
Coignet, si tu veux citer mes propos, il faut le faire entièrement car ce sont des réponses à des propos tenus précédemment. Ces reprises, hors contexte, sont aussi limites.
Je cite pontuellement pour permettre de retrouver, plus haut, où sont les choses dites, librement accessibles en clair.
Si je cite par imbrications successives tout ce qui a été dit, le bloc de citations imbriquées fait la hauteur d'un moniteur !
Il me semble qu'il suffit de lire ce qui précède pour trouver tout ce qui a été dit.
La pratique des citations tronquées lorsque l'original n'est pas disponible peut en effet en changer le sens, c'est connu.
Ici, la citation sert à donner le point de départ d'une réponse, qui est intégralement lisible juste au-dessus dans le sujet.
C'est comme cela que je le vois.
Ainsi, dans le cas précis, il était fait allusion à la perception que peut avoir le non initié "de la communauté des psychanalystes", ce à quoi il était répondu : "Vous ne parlez pas des psychanalystes". Il m'a semblé que pour être explicite pour le non initié, la réponse est trop courte (en tous cas, à titre personnel, elle ne me renseigne pas, car elle me dit que ce que je viens de lire n'est pas correct, mais ne me dit pas ce que je devrais savoir pour changer de perception. Il m'a semblé aussi qu'au commentaire "Si on peut dire que dans certains cas la cure psychanalytique donne des résultats probants, on ne peut malheureusement pas analyser la raison de ces résultats", la réponse "au secours, ce n'est pas du tout le principe de la cure" ne renseignait pas non plus sur ce qu'il faudrait savoir.
Photoman2040 a écrit :
Je veux bien recevoir des leçons, de morale ou de ce que tu veux, mais il faut que le professeur soit à la hauteur.
Je ne fais aucune leçon de morale, je tente une discussion sur un sujet difficile, à propos duquel j'ai une opinion dont je sais qu'elle est généralement plutôt mal reçue. Je ne suis pas professeur, mais participant à une discussion contradictoire, et parfois, je préfère, plutôt qu'on me réponde que je ne sais pas (ce qui est bien probable), qu'on m'explique ce que je devrais savoir.