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Sur lemonde.fr - Un point sur la centrale de Fukushima-I (Dai-Ichi) : Après les réacteurs n°1 et n°3, le réacteur n°2 a été secoué dans la nuit de lundi à mardi par une explosion à l'hydrogène. L'enceinte de confinement de ce réacteur n'est plus étanche et des particules radioactives sont donc rejetées dans l'air de manière incontrôlée. Pour le moment, le vent les emmène vers le Pacifique et la faible radioactivité mesurée à Tokyo n'est pas dangereuse pour la santé humaine. Par ailleurs, un nouveau réacteur a connu des problèmes, le 4. Il était à l'arrêt au moment du séisme mais le combustible usagé se trouvait dans une piscine de stockage qui n'était pas confinée et qui s'est vidée. Ce combustible usagé s'est retrouvé à l'air libre et un incendie s'est déclaré autour du bâtiment abritant le réacteur n°4. L'enceinte de confinement autour de ce réacteur est également endommagée. Les ingénieurs de Tepco n'arrivent toujours pas à refroidir les cœurs des réacteurs 1,2 et 3 qui sont partiellement fondus : quant aux n°4 ils l'arrosent d'eau de mer depuis des hélicoptères. |
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article de Der Spiegel du 12 mars : Nuclear power plant Japanese operator Tepco (TEPCO, l'opérateur japonais des centrales nucléaires japonaises) The cover-up company Forged documents, fake repairs, fatal accidents : The disaster in Japan’s Fukushima nuclear power plant is the culmination of a series of scandals in the operating company Tepco. The company wanted the disaster reactor allegedly shut down this month. Tepco, the operator company of the Japanese disaster reactor, is not for the first time into the twilight due to the nuclear disaster. "Tokyo Electric Power Company, " as the company is fully named, is one of the largest companies in Japan - and full of affairs. The present catastrophe can now bring former scandals of the company into a new light. Nine years ago, the then chief executive of Tepco had to leave the company, along with other managers. Japan’s largest power producers had come under suspicion of having falsified maintenance documents in 29 cases. The leading employees took over the responsibility for the case with their resignation. 17 reactors, including the current disaster reactor, had to be taken from the network temporarily for inspections. As Tepco started up the reactors again in 2003, there were loud protests. Against Tepco there were soon other accidents and allegations of falsified documents. In August 2004, four workers died when the Mihama nuclear power plant had a leak of hot steam – on the day of the 59th Anniversary of the atomic attacks over Nagasaki. In 2006, the group was accused to have falsified data on the cooling water temperature in their reactors in the years 1985 and 1988. The data were presented in 2005 for an inspection. In 2007 more fake data of the reactors of Tepco appeared. The power plants remained however in operation this time. After the scandal went public, in 2007 Tepco postponed for one year the completion of new nuclear reactors in Fukushima-Daiichi, which lies close to the current disaster reactor. Actually, the new reactors should be operational in 2013 and 2014. The plan now seems to require correction. Not only cover-up scandals, but also failures have shaped the history of the nuclear plant in Fukushima, 200 kilometers northeast of Tokyo : Last, after an earthquake in June 2008, radioactive water was spilled from a tank in which spent fuel rods were stored. In 2006 radioactive steam came out of a tube, in 2002 cracks in water pipes were discovered. In 2000 a reactor had to be shut down because of a hole in a fuel rod. In 1997 and 1994 there were similar incidents in which some radioactivity was released. The present catastrophe would have allegedly almost been prevented : The current reactor disaster in the Fukushima nuclear power plant should be shut down later this month, according to reports from an international nuclear power plant database. The Unit 1 of Fukushima-Daiichi pile should be stopped this month after about 40 years. A database of the Research centre “Nuclear Training Centre” (ICJT) in Slovenia says the "expected date of closure" was March 2011. The nuclear power plant disaster could damage the business of the company for the long term, since many Japanese were critical of nuclear power already before the earthquake. The opposition to nuclear power is strong in Japan - which is also explained by the history : The country is traumatized by the dropping of atomic bombs on Hiroshima and Nagasaki at the end of World War II, in which the destructive power of nuclear power became clear. Again and again the Japanese nuclear plants caused worries, in the recent years there have been several incidents. Because of its lack of raw materials, however, Japan declared itself to be reliant on nuclear power. The country wins about 30 percent of its electricity from the nation’s 54 nuclear power plants. |
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En tous cas, ce n'est pas bon et la situation s'empire à chaque instant, les images sur I télé ne sont pas celles que l'on souhaiterait voir  |
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Lu dans Reuters: Le Russe Iouli Andreev, expert en accidents nucléaires, est de ceux qui ont participé au nettoyage de Tchernobyl. Selon Reuters, il a fortement critiqué le Japon et l'AIEA au sujet des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi. Le profit a primé sur la sécurité, dit-il, en donnant comme exemple le fait que les barres usées étaient stockées près des réacteurs. Les Japonais ont utilisé chaque pouce carré de terrain, mais quand on met des barres usées dans un bassin, le risque d’incendie est élevée si l'eau sort du bassin. Son jugement sur l'AIEA est aussi sévère. C'est une organisation hypocrite, dit-il, parce qu’une organisation qui dépend de l'industrie nucléaire, et c’est le cas, ne peut pas faire correctement son travail. Elle essaye toujours de cacher la vérité. Elle ne cherche pas à attirer l’attention sur un accident possible dans l'industrie nucléaire. |
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Certains, parfois les moins attendus (Dromadaire  ) commencent à mobiliser les bonnes volontées.
Il y a deux jours un journaliste bien éclairé disait au président d'une association caritative bien connue (Secours Populaire) qui lançait une campagne de dons : "Mais vous ne pensez pas que le Japon est un pays riche qui a les moyens de s'occuper de sa population ?" Il s'entendit répondre : "Certes, au Japon il y a des riches qui auront des moyens ... mais les pauvres, car il y en a au Japon, ils seront encore plus pauvres..." Reçu ce soir dans mes courriels ... |
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Il faut faire attention de vérifier à qui on fait les dons.
Il y a en courriels des faux, de même nature que ceux qui vous font croire qu'il faut payer une facture de téléphone ou d'électricité en retard suite à incident informatique. Des escrocs profitent de la situation. Ne faire les dons qu'en allant sur les sites répertoriés d'organismes connus, et surtout pas en réponse à un courriel qui peut détourner une bannière. |
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http://www.letemps.ch/Page/Uuid/12ffa70 ... Bruxelles_évoque_une_apocalypse_nucléaire | |
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C'est la panique !
Mais il n'empêche que le nucléaire est localisé et — relativement — surveillé et contrôlable tandis que le chimique est dispersé et pratiquement sans contrôle. Lequel constitue la menace la plus grave pour la vie en général et de façon irréversible ? Rien ne peut être pensé sans son contraire. Héraclite |
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coignet
Ne faire les dons qu'en allant sur les sites répertoriés d'organismes connus, et surtout pas en réponse à un courriel qui peut détourner une bannière. Tu as totalement raison ; n'ajoutons pas l'ignoble à l'horreur comme le font souvent les profiteurs de guerre... En ce qui concerne la carte Dromadaire reçue ce jour, les liens dirigent bien sur le site de La Croix Rouge. |
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Liens Sur le Web de Médiapart :
http://www.lemoniteur.fr/189-qualite-se ... nucleaires Problème du combustible d'Areva, le Mox, qui contient du plutonium (oxyde) très dangereux http://owni.fr/2011/03/15/revelations-a ... ukushima/# Détails complémentaires sur le Mox http://realinfos.wordpress.com/2011/03/ ... aie-menace l'article, en gros et en page 2 de Ouest France ce matin : "Mox : Ce combustible nucléaire issu du retraitement des déchets des centrales est constitué d'uranium et de plutonium. il est utilisé dans le réacteru n° 3 de Fukushima. La France est le seul pays producteur. Le plutonium est extrait dans l'usine Areva de La Hague, traité à Cadarache, puis le Mox revient à La Hague avant d'être exporté." Commentaire Médiapart : Les USA avait testé le Mox dans les années 60. Rejeté car trop dangereux par leurs spécialistes. http://www.guardian.co.uk/news/datablog ... -list-rank |
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 hédoniste nihiliste |
Tout le monde n'a pas l'air d'accord sur la gravité des explosions à la centrale de Fukushima (lien en anglais facile à lire)  “Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons) |
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Le Monde 23H37
Le point sur les réacteurs de la centrale de Fukushima 1 (Dai-Ichi) (Rappel : nous sommes mercredi au Japon où il est actuellement 7h45) - réacteur n°1 : le processus de refroidissement ne fonctionne pas, le coeur du réacteur a partiellement fondu, de la vapeur radioactive s'est echappée, une explosion d'hydrogène a eu lieu, de l'eau de mer est toujours injectée pour tenter de refroidir le réacteur. - réacteur n°2 : le processus de refroidissement ne fonctionne pas, le coeur du réacteur a partiellement fondu, les barres de combustibles se sont retrouvées temporairement et totalement hors de l'eau, deux explosions successives ont eu lieu mardi matin (heure japonaise), de l'eau de mer est toujours injectée pour tenter de refroidir le réacteur, l'enceinte de confinement est endommagée. - réacteur n°3 : le processus de refroidissement ne fonctionne pas, le coeur du réacteur a partiellement fondu, de la vapeur radioactive s'est echappé, de l'eau de mer est toujours injectée pour tenter de refroidir le réacteur, un très fort niveau de radioactivité a été mesuré aux alentours. - réacteur n°4 : en maintenance au moment du séisme, un incendie s'est déclaré dans la piscine de stockage mardi matin (heure japonaise), probablement dû à une explosion d'hydrogène, de la vapeur radioactive s'est echappée et l'état du combustible usagé qui se trouvait dans la piscine de stockage n'est pas déterminé. L'enceinte de confinement est endommagée. Mercredi matin (heure japonaise) un nouvel incendie s'est déclaré. - réacteur n°5 : en maintenance au moment du séisme, augmentation légère de la température dans la piscine de stockage. Le niveau d'eau a légérement baissé mecredi matin (heure japonaise). - réacteur n°6 : en maintenance au moment du séisme, augmentation légère de la température dans la piscine de stockage. |
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paga
Tout le monde n'a pas l'air d'accord sur la gravité des explosions à la centrale de Fukushima (lien en anglais facile à lire) C'est exact, et si on lit avec attention l'ensemble de la presse internationale (pour moi, française, japonaise en anglais -NHK-, et américaine -NYT), on comprend que s'ils savent arrêter les réactions en cours, en effet, la situation ne sera grave que pour la centrale, son environnement, et tous ceux qui y ont travaillé jour et nuit, certains le payant de leur vie. Cet accident sans précédent resterait alors une simple conséquence du tsunami, dramatique, mais sans répercussion à long terme pour le pays, si ce n'est certainement une autre manière de voir le nucléaire. En revanche, et pour l'instant on ne le sait pas, s'il n'arrivent pas à arrêter les processus de fusion en cours, ce peut être très grave. |
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insoL le nucléaire est localisé et — relativement — surveillé et contrôlable tandis que le chimique est dispersé et pratiquement sans contrôle. Lequel constitue la menace la plus grave pour la vie en général et de façon irréversible ? Oui. Bhopal, 3 décembre 1984 Seveso, 10 juillet 1976 Les informations de ce matin sont rassurantes. Sont-ils en train de passer à côté de la catastrophe ? Les japonais semblent y avoir toujours cru, c'est la sensation qui ressort en ayant suivi la NHK qui pourtant ne cache pas la gravité des choses. Pourquoi la France rapatrie-t-elle ses ressortissants et ses journalistes ? N'est-ce pas un peu choquant ? pour s'amuser : lemonde.fr, 7h50 : Le terme "fuite nucléaire" était mercredi censuré sur le principal site de micro-blogging en Chine, vraisemblablement pour freiner la propagation des craintes et des rumeurs liées aux rejets radioactifs de la centrale japonaise de Fukushima. Sur le site de micro-blogging de sina.com, principal équivalent chinois de Twitter (lui-même censuré en Chine), une requête avec les mots "fuite nucléaire" déclenchait la réponse suivante : "Selon les lois en vigueur, le résultat de votre recherche ne peut être communiqué." |
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Oui Laurent, pourquoi ? Apparemment, Air France mettrait à disposition (payant) des avions ... Le cas d'étudiants, et ils sont nombreux, disposent-ils de suffisamment d'argent pour revenir ? Cette question n'est pas posée, même pour les habitants (qui je suppose pour beaucoup d'entre eux qui ne travaillent plus...) Avec quoi vont-ils vivre et où ? Et même s'ils s'échappent à une centaine de km, les radiations ? Beaucoup de questions sans réponses ... | |
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C'est foutu ! ils ne maîtrisent plus rien ! C'est Foutushima !
On pourra parler de « l'après Fukushima » comme on a parlé de « l'après 11 septembre » ! Certains s'en réjouissent déjà : la filière nucléaire aura du mal à y survivre (tant pis pour le « rêve » de la « Fusion thermonucléaire ») alors que le désinvestissement augmentera encore le risque dans les centrales obsolètes. (Quand j'ai évoqué le risque chimique, je ne pensais pas aux « accidents » tels que Bhopal et Seveso, mais à la pollution universelle, par les particules chimiques, aux effets imprévisibles sur les espèces animales et humaine.) Rien ne peut être pensé sans son contraire. Héraclite |
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Ma fac a proposé aux étudiants japonais de rester plus longtemps en France, bonne initiative pour ceux qui le souhaitent...
Un homme à (re)découvrir au vu des événements : http://www.dissident-media.org/infonucl ... ostin.html |
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Je suis un indécrottable optimiste.
Je ne peux pas croire que ce soit "foutu". liberation.fr à l'instant : • Les tentatives de verser de l'eau par hélicoptère sur le réacteur 4 de la centrale de Fukushima ont pour le moment échoué. La très forte radioactivité empêche d'accéder aux réacteurs endommagés. • 556 132 personnes ont été évacuées parce qu'elles ont perdu leur logement à cause du tsunami ou parce qu'elles habitaient dans un rayon de 20 km autour de la centrale de Fukushima. Environ 2 700 centres d'accueil temporaires ont été ouverts. |
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Ce midi sur les ondes d'une grande radio généraliste (celle aux trois lettres dans un rond rouge) un représentant au Japon des entreprises françaises déclarait que les japonais comprenaient difficilement que les français soient encouragés par leur gouvernement à quitter le pays. Cela heurtait le sens de la confiance accordée, de la fidélité et du sens de l'honneur, même en comprenant le principe de précaution...
A méditer. |
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Je l'ai écrit plus haut : je ne comprends pas ces départs des français, ni qu'ils soient encouragés.
Je suis sidéré que Radio-France rappelle ses journalistes. Pendant ce temps, certains conservent leur sens formidable de la formule : titre du Canard enchaîné de ce jour : et dessin en rappel de ce qui a été évoqué hier sur ce fil : |
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coignet
Pendant ce temps, certains conservent leur sens formidable de la formule : ... mais aussi leur trait de crayon "Le Plantu" du 16 mars 2011 de Le Monde |
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Coignet a écrit:
Je suis sidéré que Radio-France rappelle ses journaliste J'ai regardé à la pause de midi la télé, CNN et BBS news: leurs correspondants sont sur place et paraissent le rester |
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Hélas oui, on risque de dépasser le niveau de Tchernobyl. Les piscines à ciel ouvert sont un facteur aggravant supplémentaire. | |
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Pendant que certains fuient, les intervenants sur le site semblent vouées à d'horribles perspectives. Je suis ému par leur dévouement. Je pense à eux.  L'idée d'un univers infini me rend fou |
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danyves
Hélas oui, on risque de dépasser le niveau de Tchernobyl. Les piscines à ciel ouvert sont un facteur aggravant supplémentaire. On risque aussi que tout se termine bien. On ne peut pas mettre sur le même plan des piscines d'eau à ciel ouvert et des difficultés de refroidissement (réelles et fort graves), et l'explosion d'un réacteur. Pour l'instant, rien de tel n'est arrivé. C'est une invraisemblable panique sur place, c'est extrêmement préoccupant, des héros le paieront de leur vie, il faudra se demander comment faire avec les ruines de l'installation, etc. etc. Il n'empêche que jusqu'à nouvel ordre, rien d'autre n'a explosé que des bâtiments qui ont libéré de la vapeur. |
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