le Pirate Forum
  • Message par HB, vendredi 18 mars 2011 à 11h45
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C'est avec une grande joie et émotion que je découvre tes photos, elles ne sont que plus belles, merci :bise: ( quel c.n, j'ai tourné la page :?

  
11H45 - Rapides cyberescrocs - Des sites internet malveillants sont apparus "deux heures" à peine après le séisme, rapporte la société de sécurité informatique McAfee. Il s'agit de tromper et extorquer les personnes désirant envoyer des dons. Les cyberescrocs "diffusent également des demandes de dons et des liens vers des logiciels malveillants sur les sites des réseaux sociaux".
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"

  
Oui !
:shock:

On en a d'ailleurs parlé un peu ici il y a quelques jours.

Ce matin, il y a confirmation que la situation est contrôlée à Fukushima.
On envisage maintenant l'après : un sarcophage de béton…

Pendant ce temps, il existe toujours des milliers de gens sans secours dans les zones sinistrées par le tsunami (400 km de côtes).
Cela laisse rêveur d'imaginer une vague de même ampleur dans un pays pauvre.


Note : les belles photos de sobakai par Peppino sont là, page précédente.

  
En écoutant les informations, j'ai eu un sentiment étrange en ayant l'impression que les médias avaient tourné la page, la Libye faisant la une de l'actualité, alors des milliers de personne sont sans abris, que des hommes risquent leur vie à proximité de la centrale et bien que la situation semble maîtrisée, rien n'est encore réglé!

  
C'est vrai, c'est la règle des unes et des gros titres.
Libération de ce jour, dans sa version papier, donnait heureusement aux deux événements la même valeur, au travers de deux suppléments.

On peut comprendre ce traitement des gros titres en raison de l'incident nucléaire lui-même, qui provoque des sentiments de peur en partie irrationnelle au point de prendre le devant sur le reste de l'actualité, par exemple, concernant le cas japonais, sur la situation des zones sinistrées par le tsunami, passée au second plan par rapport à la situation de Fukushima. La situation en Libye, dramatique s'est aussi retrouvée au second plan dans le traitement de l'actualité, et il semble normal qu'on en parle enfin.

Si l'on tient aussi compte du fait que le traitement de l'actualité dans un pays est lié à son implication propre, on parle plus de la Libye à partir du moment où la France est directement concernée, ce qui est le cas depuis la décision prise à l'ONU hier soir.

  
Tes arguments sont tout à fait justes. J'exprimais en fait mon ressenti face à ce changement de "une" de l'information. La cause de ce ressenti vient certainement que depuis une semaine j'ai suivi intensivement dans les médias la catastrophe qui s'est abattue sur le Japon.

  
Je regrette autant que toi lorsque des événements majeurs semblent oubliés.
Je tentais des explications, ce qui ne signifie pas que je trouve cela bien !

Je regrette qu'on n'en sache pas plus sur les sinitrés hors incident nuclaire ; je regrette que l'information passe en arrière plan ; je regrette que les grands organismes de presse n'aient pas traité de manière plus visible ce qui était en train de se passer en Libye…
Comme toi !

Lueur_d'espoir_à_Fukushima


Délaissées_les_victimes_du_séisme_s'impatientent
  • Message par paga, vendredi 18 mars 2011 à 15h32
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hédoniste nihiliste
coignet
/.../
Note : les belles photos de sobakai par Peppino sont là, page précédente.


J'adore! :salue :pyrhlov:
“Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons)

  
liberation.fr ce soir : 16H33 - 23 METRES DE HAUT
Le tsunami qui a dévasté le nord-est du Japon faisait au moins 23 mètres de hauteur, selon une étude japonaise, utilisant GPS et divers instruments de mesure.

http://www.mediapart.fr/journal/interna ... s-de-tepco

Ont aggravé la situation fortement.

  
Le Monde Vendredi 18 mars 2011
Ces Japonais à l'héroïsme poignant
Calme au Japon, catastrophisme en Occident


La voix de Masumi, qui vit à Ogawa-machi (dans le département japonais de Saitama), soit à moins de 300 kilomètres de la région ou le tsunami et le tremblement de terre se sont produits, donne l'impression d'être entièrement maître d'elle-même ; elle s'inquièterait plus tôt de mon sort ici en France, de celui de mes parents ou d'autres amis. Le 15 mars, elle a même pensé à souhaiter l'anniversaire à un membre de ma famille avant toute chose. Cette délicatesse, cette grandeur d'âme, exprimées à la perfection dans les plus menus détails et en pareille situation me semblent les traits les plus "japonais" dans les cauchemars du quotidien. C'est une attitude identique que l'on retrouvait dans les ruines de Kobe après le grand séisme du 17 janvier 1995. Je m'étais porté volontaire sans trop savoir pourquoi, ni quel secours je pourrais apporter. Peut-être une idée vague que je pouvais être utile. Parmi les débris matériels et les restes déjà mis de côté, j'avais fait l'expérience d'une inoubliable détresse, au-delà des mots, d'une "histoire naturelle de la destruction" qui dépassait, de bien loin, mon entendement.

Cependant, chez les survivants les plus éprouvés, loin des demandes pourtant les plus urgentes, j'avais trouvé partout une attention tournée vers l'autre, un "calme" qui n'empêchait pas les émotions les plus fortes en leur donnant, au contraire, une densité supplémentaire ; l'absence de surenchère verbale ajoutait une poignante force à chaque mot, à chaque geste, y compris ceux qui sourdaient du désespoir le plus profond. Déjà la rapidité des secours et la "communication" du gouvernement japonais avaient été jugés défaillantes.

La manière dont les médias japonais traitent la catastrophe qui vient de survenir dans le nord-est du Japon, avec toutes les hésitations que la situation impose, avec les non-dits que l'on pressent, les incertitudes qui planent paraissent aux antipodes des regard cliniques, des paroles des experts, des évaluateurs, des porte-parole de la "politique des choses" ; attitude qui amenait voici trois jours l'un de nos "spécialistes" ne laisser que quelques secondes à l'ambassadeur du Japon en France pour qu'il s'exprime. Masumi écrivait voici deux jours : "C'est comme si je voyais les peintures des enfers (bouddhiques) à la télévision sans arrêt : je n'ose plus lever les yeux vers l'écran." Elle espère simplement, comme ça, entre deux phrases, que le Japon ne va pas disparaître. Cela ressemblerait à de la sainteté si l'on y croyait encore. Lorsque l'on a vécu une partie importante de sa vie au Japon, ce rapport aux êtres chers et à l'univers naturel fondé sur une conscience aigüe de la précarité, des joies et des peines qu'elle procure, change de manière irrémédiable le regard que l'on porte sur le monde qui nous entoure.

Le japonais a pour le dire de nombreux mots, dont l'un est hakanai, "ce qui est fragile, évanescent, transitoire", "entre le rêve et la réalité", et qui définit, comme le nom mujô, ce qui est impermanent et ne dure pas. Ces deux mots, très anciens, sont presque toujours associés à la condition humaine. Le premier s'écrit en associant deux éléments celui qui désigne l'homme et celui qui désigne le songe ; la matière insaisissable dont sont faites les entreprises humaines et celles de la nature.

Bien sûr, les actualités diffusées en permanence sous des angles assez différents selon qu'elles sont japonaises, américaines françaises ou chinoises dessinent une manière de réagir au réel tragique conforme aux idées que ces diverses sociétés se font du lien social. Mais quel pays a fait jusqu'ici l'épreuve des dangers et des horreurs de l'atome plus que le Japon ? Ici l'on se rassurera sur la sureté des installations domestiques, ou bien l'on se servira du Japon pour montrer l'inanité d'une politique dite du tout-nucléaire. L'attention aux victimes n'est pas la même. Elle avait été déjà bien faible, y compris chez les instances dirigeantes du rugby, lors du tremblement de terre de Christchurch en Nouvelle-Zélande voici plus d'un mois. Déjà la sécurité des stades semblait l'emporter chez certains commentateurs sur la survie des gens. Si les principaux réseaux d'information au Japon cultivent une certaine proximité, assortie d'une pudeur quant aux chiffres, l'obsession des statistiques (reprises d'ailleurs des communiqués japonais) règne, notamment en France. On reproche à Naoto Kan (le premier ministre japonais) de ne pas avoir communiqué avec assez de rapidité. Ces reproches sont émis par l'opinion japonaise elle-même. Aurions-nous mieux fait en France ? Les autorités n'ont-elles pas, ici aussi, minimisé bien des situations, occulté de tragiques réalités que le passage du temps a dévoilé dans toute leur lumière.

Les grands réseaux de média japonais essaient de traiter en continu et en même temps ce qui va au-delà des mots. L'armée américaine est appelée à l'aide. Ses hélicoptères déversent de l'eau sur les centrales en flammes. Les networks alternent des images de retour au calme, de gens retournant au travail, d'autres espérant des secours, la lumière soudaine apportée par le sauvetage d'un rescapé mais, évidemment, ne peuvent taire la terreur engendrée par l'inconnu de la centrale de Fukushima. Si la fragilité, l'impermanence, l'évanescence sont des attributs de la manière japonaise d'apprécier la beauté et de faire l'expérience de l'existence, il me semble, au contraire, que le catastrophisme, la panique, le sentiment trouble que l'on attend presque un désastre plus grand encore habite certains discours occidentaux. Au-delà de la sérénité affichée de nos "pouvoirs en place", inébranlables si l'on ose dire en ces temps de tremblements et de stupeurs, le malaise né à la lecture de certains articles, de réactions de lecteurs ou à la vue de certaines émissions ne se dissipe qu'avec peine. Deux autres collègues français dans la région de Tokyo me décrivent une panique d'un autre genre… Essentiellement, celle d'expatriés soucieux de fuir en toute hâte un pays que plusieurs avaient pourtant entrevu comme un Eldorado. Les voici brusques, presque rudes avec leurs valises, bousculant les habitants dans leur course folle vers un avion qui devrait les conduire vers la sécurité.

En 1212, l'un des grands lettrés japonais de l'époque classique, Kamo no Chômei évoquait déjà un âge de désastres, de famines et, surtout, les terribles séismes dans un essai célèbre appelé Notes de mon ermitage. Il s'accusait tout juste, à la fin de son texte, d'avoir peut-être conçu un trop grand attachement pour sa cabane, pour son refuge, et d'avoir pensé qu'un "séjour provisoire" pouvait durer à l'inverse de ce que le bouddhisme, et la nature avant lui, lui enseignaient. L'image du flot du temps, de se tenir "sur les rivières qui vont" n'a jamais vraiment quitté le cœur des hommes vivant sur la terre japonaise. Devant les scènes du tsunami découvertes au réveil, "en direct", penché sur un écran d'ordinateur, je croyais assister (le malaise du spectateur) à des scènes de fin de monde, à l'un de ces terribles "caprices" de la nature – et surtout de l'homme (les centrales nucléaires) – pareils à ceux qu'évoque, avec un don de prophétie dont on mesurera mieux encore aujourd'hui la portée, Cormac McCarthy dans son roman La Route de 2006. L'histoire encore – et les Japonais l'ignorent bien moins qu'en Occident – rappelle que, déjà, le 15 juin 1896, un énorme tsunami avait dévasté la région de Sanriku ; certaines vagues, alors que le séisme était lui-même faible, avaient atteint une hauteur de plus de "trente mètres", faisant, déjà, plus de 20 000 morts.

La même région devait, avant le désastre d'aujourd'hui, souffrir d'une autre vague énorme et d'un "mur de mer" le 3 mars 1933, faisant encore plus de 3 000 victimes. Faut-il voir dans la réaction des Japonais ce que certains qualifient encore en toute ignorance de "fatalisme", d'absence d'individualité ou encore d'un "holisme" ; un esprit de groupe qui expliquerait leur manque de panique ? Je n'en ai jamais eu l'impression. Au contraire, l'épicurisme, la douceur de vivre, la politesse côtoient, dans les plus menus détails du vécu quotidien, la conscience tragique de vivre dans un monde fragile, perpétuellement menacé de disparaître. La proximité du désastre et de l'affirmation résolue de la vie attestent chaque jour de cette force qui anime les habitants de l'archipel. Les mots de solidarité, d'entraide, de délicatesse et d'éducation ne m'ont jamais semblé avoir plus de sens qu'en ce pays qui oscillerait au bord d'un gouffre inconnu à en croire certains "experts". Voici peu de temps, je lisais un document de travail pour justifier certains regroupements dans la recherche française ; texte dont la première phrase était : "Que pense l'Asie ?". Cette vaste question avait besoin de l'éclairage scientifique le plus large, à commencer par celui des spécialistes qui sont présents sur le terrain. Sans doute.

Au-delà de cette phrase inaugurale et de ce qu'elle impliquait à son insu (Pourrait-on dire la même chose de l'Europe ? D'autres continents ?), il me semble aujourd'hui, quand je lis les messages quotidiens de Masumi, que sa manière modeste de s'exprimer, de réagir, de continuer encore, toujours, à ne pas se laisser aller à la facilité des lendemains qui chantent ou aux apocalypses annoncées forme une manière de répondre à une partie de cette grande interrogation. Toutes celles et ceux qui ont vécu au Japon, qui y sont demeurés même le temps d'un bref séjour, et qui aiment ce pays savent que c'est dans cette mesure qu'il faut peut-être essayer de trouver la clé d'une attitude devant le réel que nous ne savons pas formuler. A la série des hypothèses émises par les scientifiques les plus éminents, ce regard à niveau humain ne peut que nous bouleverser car il nous parle, sans l'avouer, d'un des mots que tout le monde a envie de prononcer à propos du Japon de demain, d'après-demain, dans les épreuves et dans la reconstruction : "espoir".

François Lachaud, directeur d'études à l'École française d'Extrême-Orient, spécialiste d'études japonaises

la-catastrophe-au-dela-du-nucleaire ?

Bonjour.
Pour ma première publication sur ce site, je poste un lien permettant de connaitre le débit de dose Gamma reçu pour un assez grand nombre de villes de l'Hexagone, deux fois par jour (données irsn) :
http://criter.irsn.fr/exercice/acteur/
L'unité est le nanoSievert par heure.
1 milliSievert = 1 000 microSievert = 1 million nanoSievert. Par suite: 100 nanoSievert = 0,1 microSievert = 0,0001 milliSievert = 0,0000001 Sievert, si je ne m'abuse...
A Toulon par exemple, la dose varie entre 30 et 100 nanoSievert par heure. Je regarderai de temps en temps afin d'en suivre les fluctuations.
Le seuil considéré comme dangereux pour la santé est établi à 100 millisieverts. C'est à partir de cette dose cumulée qu'on constate une augmentation des cancers. A partir de 1 000 millisieverts, on constate des brûlures, des vomissements, des nausées qui peuvent entraîner la mort en quelques semaines.
La dose maximale observée en une heure à Fukushima serait de 400 millisivierts par heure.

  
Bienvenue ici, Pythéas, et merci pour ces précisions.

Etat des Réacteurs (New-York Times du 16 mars, mises à jour du 19)

wsj.com :

Reactor Fight Was Delayed


Crucial efforts to tame Japan's crippled nuclear plant were delayed by concerns over damaging valuable power assets and by initial passivity on the part of the government.

"This disaster is 60% man-made," said one government official. "They failed in their initial response. It's like Tepco dropped and lost a 100 yen coin while trying to pick up a 10 yen coin."


http://www.letemps.ch/Page/Uuid/cf3da82 ... _japonaise
  • Message par HB, samedi 19 mars 2011 à 11h41
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Pas très rassurant ton premier message, Pythéas :-x Va falloir que tu nous remontes le moral :kl:

  
Tokyo exige le retour des sauveteurs français à Sendai
http://www.lepoint.fr/monde/tokyo-exige-le-retour-des-sauveteurs-francais-a-sendai-19-03-2011-1308662_24.php
  • Message par Garp, samedi 19 mars 2011 à 17h44
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:shock: 200 nanoSievert à Vannes le 19 mars :gaga2:
L'idée d'un univers infini me rend fou

  
Garp
:shock: 200 nanoSievert à Vannes le 19 mars :gaga2:


Reste sous la couette, Garp :bla: :wink:
  • Message par Garp, samedi 19 mars 2011 à 18h54
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Le vieux rhum protège t-il ? :idea:
L'idée d'un univers infini me rend fou
  • Message par HB, samedi 19 mars 2011 à 19h05
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La niaule, Garp, comme celle que tu prends tous les matins :lol: :kl:
    manque d'empathie chronique
  • Message par paga, samedi 19 mars 2011 à 21h54
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hédoniste nihiliste
Quand je lis tout ces blogs, et fils de forums ici et là sur la situation au Japon, je suis stupéfait de:

    1) Grosland c'est dix fait rang : à quel point les gens parlent tout de suite de leur propre situation domestique et non pas de celle là-bas

    2) lost in translation : la rapidité avec laquelle on ignore les problèmes de différences culturelles et de langue, et combien du coup les autorités Japonaises sont fustigées - peut-être parfois à tort - pour telle ou telle bribes d'information et miscommunication (voir comment le discours de l'Empereur est vu en Occident par rapport à ce qu'a vu un Japonais par exemple)

    3) politique de la peur : le focus quasi exclusif sur la centrale de Fukushima alors qu'il y a probablement au moins 30,000 victimes du reste de la catastrophe... OK certes si les radiations deviennent incontrôlable il y aura plus de victimes, mais il y a pas mal d'information qui est erronée, exagérée, fantasmagorique (exemple: les gens qui s'attendent à un champignon atomique comme pour une bombe... ça n'arrivera pas, c'est pas la même chose).

Juste une observation... qui en l'occurrence me donne de moins en moins envie de lire la presse. Ici, chez les Pirates, nous sommes moins nombreux et donc ce fil n'a pas dérivé en débat Franco-Francais sur l'atome et Areva et le MOX etc... ou tout un chacun apporterait son opinion du moment, plus ou moins experte sur le nucléaire, et pour la plupart discourent comme au Flunch des Sciences Physiques avec un niveau de connaissances des problèmes en fin de compte médiocres au mieux, nulles au pire :pic

Devons nous systématiquement - en tant qu'êtres humains - souffrir ce manque d'empathie chronique?
“Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons)

A la source, ou presque :

Asahi Shimbun
    Rep : manque d'empathie chronique

  
paga
Ici, chez les Pirates, nous sommes moins nombreux et donc ce fil n'a pas dérivé en débat Franco-Francais sur l'atome et Areva et le MOX etc... ou tout un chacun apporterait son opinion du moment, plus ou moins experte sur le nucléaire, et pour la plupart discourent comme au Flunch des Sciences Physiques avec un niveau de connaissances des problèmes en fin de compte médiocres au mieux, nulles au pire :pic

:D: ici il y a des photos, mais pas que !
:salue
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