Ohé du bateau
Publié : mardi 7 avril 2020 à 17h23
J'avais eu l'idée au départ de faire par jour une photo.
Le deuxième jour je m'interrogeais sur la pertinence de l'idée déjà fort utilisée ailleurs.
Au troisième jour je me mis à chercher ici ou là ce qu'il se faisait.
Le quatrième des jours je me suis replongé dans les soutes du bateau pour me dire qu'il y avait ici bien assez pour s'occuper ...
Très vite j'ai cessé de compter les jours, fatigué à force de recevoir sur mon aie faune des vidéos tellement plus drôles que ce que je n'aurais pu imaginer que des gens pourtant sérieux seraient capables de produire ! J'avoue avoir souvent ri de bon cœur.
Puis j'ai repensé - personnellement j'ai beaucoup de temps pour ça depuis que j'ai quitté la capitale - à l'histoire du Pirate et à ceux qui l'avaient fait vivre.
De temps à autre je remontais à bord pour voir si quelqu'un était passé ... ce fut le cas, rarement mais suffisamment pour constater qu'on flottait toujours.
Je suppose que beaucoup ont quelque peu laissé de côté les appareils photographiques ... certains sont engagés professionnellement dans la lutte pour la vie ... j'espère sincèrement que peu sont touchés d'une façon ou d'une autre ...
Je ne fréquente pas les réseaux, je n'ai pas de compte ailleurs qu'ici, au point rouge (où je ne poste plus) et chez Fuji parce qu'ils sont cool et très précieux en renseignements.
Alors si parmi ceux qui ont fait vivre Le Pirate s'il en est qui veulent se signaler d'une façon ou d'une autre, faites le simplement.
Le soir à 20h00 j'ai essayé d'applaudir à ma fenêtre pour remercier le personnel soignant, mais perdu et un peu éloigné du bourg, je n'ai réussi qu'à réveiller mon chien qui s'était assoupi...
On peut aussi livrer ici des réflexions, sérieuses ou moins : parler d'hier et penser à demain.
Il y a encore un an j'aurais sans doute continué à faire des photos du banc, en bas de chez moi ; espérant que quelque quidam s'y pose un instant ... aujourd'hui grande est ma chance de constater chaque jour combien la nature se rit de nos problèmes et nous offre son éternel recommencement. J'en partage ici avec vous une de ses promesses.
Note à béné : merci à celui qui dans l'ombre continue d'entretenir le rafiot afin qu'il ne sombre point...
Le deuxième jour je m'interrogeais sur la pertinence de l'idée déjà fort utilisée ailleurs.
Au troisième jour je me mis à chercher ici ou là ce qu'il se faisait.
Le quatrième des jours je me suis replongé dans les soutes du bateau pour me dire qu'il y avait ici bien assez pour s'occuper ...
Très vite j'ai cessé de compter les jours, fatigué à force de recevoir sur mon aie faune des vidéos tellement plus drôles que ce que je n'aurais pu imaginer que des gens pourtant sérieux seraient capables de produire ! J'avoue avoir souvent ri de bon cœur.
Puis j'ai repensé - personnellement j'ai beaucoup de temps pour ça depuis que j'ai quitté la capitale - à l'histoire du Pirate et à ceux qui l'avaient fait vivre.
De temps à autre je remontais à bord pour voir si quelqu'un était passé ... ce fut le cas, rarement mais suffisamment pour constater qu'on flottait toujours.
Je suppose que beaucoup ont quelque peu laissé de côté les appareils photographiques ... certains sont engagés professionnellement dans la lutte pour la vie ... j'espère sincèrement que peu sont touchés d'une façon ou d'une autre ...
Je ne fréquente pas les réseaux, je n'ai pas de compte ailleurs qu'ici, au point rouge (où je ne poste plus) et chez Fuji parce qu'ils sont cool et très précieux en renseignements.
Alors si parmi ceux qui ont fait vivre Le Pirate s'il en est qui veulent se signaler d'une façon ou d'une autre, faites le simplement.
Le soir à 20h00 j'ai essayé d'applaudir à ma fenêtre pour remercier le personnel soignant, mais perdu et un peu éloigné du bourg, je n'ai réussi qu'à réveiller mon chien qui s'était assoupi...
On peut aussi livrer ici des réflexions, sérieuses ou moins : parler d'hier et penser à demain.
Il y a encore un an j'aurais sans doute continué à faire des photos du banc, en bas de chez moi ; espérant que quelque quidam s'y pose un instant ... aujourd'hui grande est ma chance de constater chaque jour combien la nature se rit de nos problèmes et nous offre son éternel recommencement. J'en partage ici avec vous une de ses promesses.
Note à béné : merci à celui qui dans l'ombre continue d'entretenir le rafiot afin qu'il ne sombre point...