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Après entre les deux tours et son fil dédié, nous en sommes maintenant à la présentation d'un gouvernement dit d'ouverture.
Qu'en pensez-vous ? Il y a confirmation qu'on considère dans ce pays que l'identité nationale mérite un ministère. Faut-il également un ministère de l'amour ? Un ministère de l'intime conviction ? |
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 piratilux.net |
Que de nouvelles têtes ! Alain Juppé, Michèle Alliot-Marie, ...
Pour demander des subventions pour kimfoto, il faudra contacter Christine Albanel. A priori, elle aime le théâtre car elle a écrit des pièces. Elle devrait donc apprécier les somptueuses mises en scènes de  et  
J'ai du mal à poster, le serveur est souvent indisponible  |
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Si j'ai bien suivi, Juppé est à l'écologie et au développement durable, je suis un peu septique |
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Gautier
J'ai du mal à poster, le serveur est souvent indisponible C'est vrai, à certains moments, ça fonctionne vraiment mal. Nous nous occupons de prendre un serveur plus puissant. Pour ce qui est d'une subvention du Ministère de la Culture, je suis sur les rangs, vous vous en doutez bien ! |
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piratilux.net |
Tito septique ou sceptique ?
je suis un peu septique Il s'agit peut-être du développement durable de l'UMP ? |
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 heu non, non, septique, comme les fosses, ça sent pas bon  |
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Je crois qu'il va falloir les voir à l'oeuvre, et juger sur les actes.
Un peu féministe sur les bords, je suis heureuse d'une vraie parité, en espérant juste qu'ils n'ont pas fait passer la parité avant la compétence, ou l'effet d'annonce avant le sérieux. Je ne vais pas tous les prendre dans l'ordre - je m'y connais que trop peu. Quelques réflexions qui n'engagent que moi... - Heureuse pour Kouchner. Je crois qu'il a les épaules assez larges, l'expérience assez ancienne et une reconnaissance internationale assez développée pour être très bien là où il a été nommé, sans se renier, ni renier les idées sociales qu'on ne peut lui oter. - Boutin... Ne raillons pas trop simplement ses prises de position par rapport à sa foi. Je ne crois pas que cela aura une quelconque influence sur son ministère de la ville. Et chacun a le droit d'avoir des convictions tranchées (même religieuses) sur des sujets sensibles comme l'avortement, le mariage, etc. - Dati en Garde des Sceaux. Certes, elle n'est pas à ce fameux ministère de l'intégration (le symbole eut été trop fort, trop cousu de fil blanc sans doute), mais c'est quand même un signe fort. - MAM : une femme forte pour un ministère de tous les dangers. Elle était très appréciée, paraît-il, à la Défense. En plus, je ne crois pas qu'elle soit à la botte du Président. A voir... - Bachelot : J'aime bien cette femme. Comme ça, juste "intuitivement". Il paraît qu'elle a fait plein de bourdes, qu'elle a un franc-parler qui n'est pas toujours bienvenu... A la Santé, je l'observerai avec intérêt, forcément. Les autres, je ne connais pas, ou très mal. Je n'aime pas Juppé (trop cérébral, trop "j'ai un cerveau monstrueux, mais le coeur semble hypotrophié de façon inversement proportionnelle"). Hortefeux me crispe. A la Culture, ou à la Recherche, 2 femmes que je ne connais pas. Borloo... me fait trop penser à Philippe Leotard. Voilà, un peu à chaud, mes premières impressions... |
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Et si ça n'était qu'un gouvernement de circonstance ? Destiné à séduire les électeurs des législatives et à fabriquer la plus belle assemblée nationale possible (bleu partout), après, avec une immense majorité des députés pour voter tout et n'importe quoi, on peut refaire un gouvernement plus dur, plus radical. Les mains libres pendant 5 ans.
J'observe qu'il s'est précipité à Toulouse (terre socialiste) pour y faire des annonces rassurantes et accessoirement manger des frites à la cantine. Je regarde, j'attends. |
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Ce type Sarko est un vrai commando il se pose sur une Drop Zone l'Elysée et il bouge plus vite qu'un colonel des Opérations spéciales !
ça m'a ravivé des souvenirs : il s'était pointé au 1er Hussard Para fondé par un Hongrois sous Louis XV (Comte de Bercheny puis Maréchal de France) il ne rate rien pour l'image c'est son coté Hussard Hongrois. Son style Jogging plus 15 pompes ça va baliser chez les ministres :lol: Faut voir pour la suite mais son coté on occupe le terrain et on neutralise les comiques, pour un gus qu'a pas pacifié dans les Aurés comme Chi-chi ou Jospin y fait fort (A du causer avec le RAID pour straffer comme ça) FUN qd même non? |
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Plus on gesticule plus on fait croire qu'on agit. | |
| Édité 1 fois par Line Piano samedi 19 mai 2007 à 12h47 | ||
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coignet
Il y a confirmation qu'on considère dans ce pays que l'identité nationale mérite un ministère. Faut-il également un ministère de l'amour ? Un ministère de l'intime conviction ? Disons que les problématiques autour des questions d'identité et de migrations à l'heure actuelle semblent avoir plus d'importance que les millions de célibataires ou de familles recomposées. Je te suggère tout de même d'envoyer une missive présentant tes doléances au gouvernement. On ne sait jamais. Et si les morts réclamaient justice ? |
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Un lienqui corrobore ce que j'espère de ce gouvernement : ouverture et respect des convictions des uns et des autres.
Et encore un autre Peut-être suis-je naïve, mais j'y crois. A voir à l'oeuvre. |
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Je ne vais pas commenter les ministres et les ministères les uns après les autres, mais je dois reconnaître qu'ils ont "fait fort".
Composer à la fois un gouvernement qui ne soit pas un rendez-vous de supporters recevant leur cadeau (comme les deux précédents gouvernements de M. Chi de Corrèze), agacer sa propre majorité, et, effectivement, accueillir non seulement MM. Hirsch et Kouchner, mais aussi leurs "bandes", c'est très fort. Ho, bien entendu, ils ne sont ni l'un ni l'autre de dangereux gauchistes, mais quand-même, ça m'épate. Ce qui m'épate moins, c'est les recompositions des partis de gauche : on prend ceux qui perdent, et on continue. Aucune réflexion publique sur : - pourquoi la stratégie du PS a été perdante ? - la candidate était-elle mauvaise ? - le PS a-t-il une ligne politique ? ni même à propos du gouvernement : - le PS a-t-il un regard critique sur sa composition ? - le PS a-t-il une opinion à propos des redistributions des compétences ? non, ils crient contre les traîtres, il fait bloc autour du couple infernal qui le mènera à sa perte. Je suis tout à fait scandalisé. Je me demande pourquoi je crois encore que je suis "de gauche". Mais je sais pourquoi je ne suis pas "de droite". Au plus profond de moi-même, je me considère comme homme, ayant droit à tout regard critique, y compris à propos de l'idée de Nation. Oui, français je suis, de naissance, d'éducation et de culture, mais je dénie à tout ministère le droit de dire comment je le suis, quelle est mon identité nationale. Et si le projet est de dire quelle est ou doit être l'identité nationale des "entrants", c'est tout simplement scandaleux. Je ne pense pas non plus qu'il soit besoin, pour réviser les retraites, cotisations de sécurité sociale, et autres pensions pour chômage, de stigmatiser ceux qui "se lèvent tard". Mais il me semble également qu'à ce sujet, la gauche française est bien malhonnête. Bref, je suis bien perplexe, et j'attends, globalement, avec une curiosité très amusée, ce qui va se passer. Sur certains sujets, ma curiosité est moins amusée, elle est inquiète. |
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La Diva
- Heureuse pour Kouchner. Je crois qu'il a les épaules assez larges, l'expérience assez ancienne et une reconnaissance internationale assez développée pour être très bien là où il a été nommé, sans se renier, ni renier les idées sociales qu'on ne peut lui oter. Oh très vénérée Diva, il en va des ministres comme des hommes, non dépourvu de faiblesses voire de vilains défauts. Ce papier du Courrier International offre quelques florilèges fameux sur le personnage. A méditer...  |
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Courage
Après une droite décomplexée, osons une gauche sans complexe |
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Coignet, courage, nous sommes de gauche, mais de l'autre !
Le PS est décevant c'est sûr. Mais j'ajouterai qu'ils ne sont pas responsable à 100%. Les Français ont voté à 53 % pour ce président et son projet. Il y a, à mon avis des causes sociologiques, notre société s'est profondément transformée, la règle aujourd'hui, c'est le chacun pour soi, le sens du collectif de l'intérêt commun a totalement disparu. La lutte des classes s'est transformée en lutte des catégories sociales, contre les fonctionnaires (tous fainéants, sauf mon beau-frère), contre les rmistes (tous profiteurs, sauf ma soeur), contre les artistes (tous rêveurs, sauf ma copine), contre les retraités (tous riches et avare, sauf mon grand-père), contre les jeunes (tous malpolis, sauf mon fils), etc... Une société où l'énergie est dépensée à lutter contre l'autre, à le nier, à prendre sa place et à la garder à n'importe quel prix. Un ethnologue pourrait y voir une réapparition des luttes tribales avec ses problématiques de territoire, de propriété, de protection clanique. Bref, un retour en arrière de plusieurs milliers d'années, la technologie en plus. Et ce sont ces valeurs là déjà bien installées que notre président défend, tous propriétaires, tous au boulot, légitimité des privilèges, etc. Le problème c'est que la PS est assez proche de ça aussi. C'est aussi notre responsabilité, chaque jour de lutter contre ça. |
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Qu’est devenue la gauche française ?
Evidemment, les valeurs restent, au premier rangs desquelles celle qui proclame qu’une société humaine ne peut pas moralement accepter qu’il y ait des perdants. Mais qu’est devenue la politique de gauche ? Ce refuge éperdu dans « les valeurs » - nous avons ainsi vu la campagne s’achever sur « aimons nous les uns les autres » bras en croix vêtu de blanc… on croit rêver… - dévie vers le manichéisme et l’on retrouve, triste souvenir, le « monopole du cœur »… Mais les sentiments sont avant tout du ressort de la sphère privée et associative et ne peuvent suffire à construire un projet politique – penser à relire les philosophes des Lumières. Un parti de gouvernement se doit de présenter un programme d’action clair, reconnaissant l’état du monde tel qu’il est (la totalité des échanges commerciaux matériels est de l’ordre du pourcent, le reste consistant en échanges de capitaux et de valeurs mobilières), reconnaissant notre faible poids économique et démographique dans ce monde, prenant le risque de la vérité sur tout un tas de dossiers politiquement difficiles (retraites et protection sociale – dont on évite de dire que la répartition est inégalitaire -, éducation, …), acceptant l’idée que le gâteau à se partager va diminuer avec le temps et que notre niveau de vie est appelé à régresser. Bref un parti de gouvernement ne peut manier l’utopie cf ces blog intéressants : http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-823448,55-913063@51-906866,0.html http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-823448,55-914094@51-910156,0.html La droite française passe progressivement et difficilement, on l’a vu dans l’affrontement interne des cinq dernières années, à une culture de résultats, en embarquant évidemment des valeurs droitières traditionnelles car il faut bien s’appuyer sur un électorat, mais la gauche est en panne. Suite à la reculade de Jospin et à l’épisode navrant sur la constitution européenne le PS est revenu 20 ans en arrière et se réfugie désormais dans une culture de discours. Il reste bloqué sur l’idée que l’on peut se contenter de capitaliser sur un électorat sans prendre le risque de s’engager sur le contenu de l’action - « quand je serai élue on en discutera… ». Or le communautarisme politique mène, on l’a vu en 2002, à l’échec. Il convient de dire que l’on est anti ceci, anti cela, ça me rappelle ma jeunesse mais je ne sais pas ce qu’est l’ « antilibéralisme » ou plus exactement je ne sais pas pour quoi l’on est quand on est contre le libéralisme, en ce que je ne vois pas dans quelle mesure l’économie de marché est aujourd’hui évitable. Nel je ne pense pas que c'était mieux avant, du moins je n'en ai pas le souvenir. La France a quand même un passé politique glauque. Disons qu'avant nous étions entre nous... Souhaitons nous bonne chance… |
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Je ne dis pas qu'avant c'était mieux , je dis que la structuration mentale de nos sociétés a profondément changé, que le comportement individuel et collectif ne fonctionnent plus de la même manière, que la notion d'intérêt commun tend à disparaitre au profit de celle de l'intérêt personnel et ce au moment où les dimensions du monde changent.
Le monde dans lequel nous vivons s'est agrandi, mais en même temps il a atteint ses limites physiques. Du coup il est trop grand (pour l'individu) et trop petit pour l'être humain. Et ça fait peur. Je crois que cette situation explique les repliements communautaristes et égoïstes des individus et la peur panique des sociétés qui n'ont plus d'espace d'expansion, d'expérimentation de découvertes. Le jour où j'entendrai un politique parler de décroissance et en accepter l'idée, je reprendrai espoir. Aujourd'hui le processus commence, par la force des choses, surtout dans nos sociétés, c'est un phénomène qui doit se gérer mais faut-il encore en accepter l'idée ? La décroissance n'est pas forcément un recul et un appauvrissement, c'est un vivre autrement. Certains ont commencé. Mais nos politiques préfèrent se bercer de rêves de croissance et trafiquer les statistiques. Notre société ne produit plus de richesses véritables, nous existons économiquement, surtout par notre capacité à consommer. |
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D'accord avec nel et rien à ajouter.
Merci. |
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rien à ajouter Si, bien sûr, à ce point de vue humaniste et de bon sens on peut souligner une terrible contradiction avec l’état du monde. La décroissance existe : dans les pays pauvres. Dans nos sociétés, passer de l’utopie concrète au projet reste impossible, de mon point de vue : nous voudrions la décroissance avec la santé, l’éducation, internet, la photo numérique, la recherche, le smic, éventuellement une armée crédible pour intervenir au Kosovo ou au Liban ? Autrement dit chacun, selon son bagage social et culturel, prend le petit morceau de décroissance qui lui convient ce qui est in fine contradictoire avec l’objectif global. Dans ce contexte la décroissance «généralisée» supposera une aliénation des libertés publiques, puis-je vous renvoyer à mon pseudo ? Je travaille depuis plus d’une décennie sur la question complexe du changement climatique, je suis confronté en permanence à des avis simplistes sur la question, en positif ou en négatif : « je pense que… », « il faut… », « …interdire… obliger… »… Dans ces problématiques rien n’est simple et si l’utopie a depuis toujours le devoir de montrer le juste chemin elle ne peut rien résoudre par elle-même. Quand je donne une conférence, aux questions ou remarques relevant de ce paradigme je réponds classiquement et un peu cyniquement, je l’admets : « montrez-moi que l’on peut sauver la planète sans passer par une étape liberticide »… La décroissance est donc un chemin difficile. Merci Nel de nous rappeler que le pilote a mangé du poisson, mais je crains que nous ne soyons dans l’avion… 
Et n'est-ce pas parce que le monde s'agrandit que l'on se replie sur de petits cercles ? Et si Luc Ferry voyait juste avec son idée de famille humaniste ? |
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 Vigie - Pirate ! |
Depuis plus d'un an et l'on peut même dire depuis 2002, la France a été tenu en haleine par un feuilleton peopolitico-mediatique insane qui n'a rien à envier au plus efficace des soaps américains.
Nous avons consommé de la politique comme on avale des barquettes surgelées, on nous a servi du suspens, comme on sert de nouveaux produits en tête de gondole. Chacun y allait de sa meilleure soupe à servir et, la course à l'échalote aidant, surenchérissait jusqu'à se dévoyer entre drapeaux au foyer et déterminisme génétique. Gauche, droite… bof… pour ne pas dire beurk ! Oui, j'avoue être aujourd'hui écœuré par l'égal spectacle fourni par l'un et l'autre camp. Il n'y a plus de projets… il n'y a que du slogan, du marketing : c'est désespérant ! Tout cela pour vous signifier que la "citoyenneté" et moi avons divorcé depuis 2002, funeste période où l'on a voulu nous faire croire qu'un borgne pupille de la nation aurait pu avoir une chance de gouverner la patrie des droits de l'homme. De qui se moque-t-on ?! En termes plus clairs : je ne vote plus  
Je n'ai plus envie de cautionner des chefs de pub… et je ne crois plus au concept des "femmes ou hommes de bonne volonté". avez-vous constitué une liste pour les législatives ?  Chaque homme croit en quelque chose… moi je crois que je vais reprendre une bière ! |
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Paul,
La liberté n'exclut ni la discipline ni le civisme. Par contre c'est parfois la liberté d'exploiter qui est liberticide. Il semble aussi que nous prenons conscience de l'extrême complexité des enjeux et que cette complexité exclut les choix individuels faute d'information fiable. Enfin, je ne suis pas certain que la décroissance, au sens où nous l'entendons, existe dans les pays pauvres, bien au contraire, car c'est là que la libre-exploitation prospère et se perpétue.  |
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Je vous remercie tous de prendre ainsi la peine de vous expliquer. C'est un plaisir de vous lire. Je ferai l'effort de vous répondre, rapidement !
Absent trois jours pour cause de déplacements divers en tous lieux, j'ai pas mal pris le train… Tremblez ! Kim |
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insoL
Paul, La liberté n'exclut ni la discipline ni le civisme. La liberté n'est qu'un fantôme, comme le disait Buñuel
De nationalité brésilienne, je ne mêle pas de la politique francaise  touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/ |
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Vivre est liberticide !
Partager serait profondément progressiste ! Les pauvres n'ont aucune notion de croissance ! Estimer l'Autre est honorable et enrichissant ! Ne pas avoir peur du vide est très difficile ! L'utopie est un carburant écologique ! Désolée, petite fille de républicain Espagnol en exil et ancienne scout, je raisonne (résonne) avec mes tripes ! C'est chromosomique ! |
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