le Pirate Forum

  
Solange
je vais essayer cette drôle façon de ne pas totalement rembobiner le film, bien que cela me soit parfois bien utile pour identifier les bobines exposées

:lol:

Identification des films exposés :



:cool: :marteau:

:oops: et :-) et Grrrrrrrrrrrrrrrr !!! (Comment fait-il donc pour avoir réponse à tout?)

  
Le secret est : j'avais fait il y a quelques mois cette petite série (amorce pliée et éventration de la cartouche 135 —thèmes très importants) en réponse dans une discussion.

Mais c'est bien pour toi que j'ai fait ce soir les photos d'enroulement du film 120.

  
Comment as-tu pris les photos ce soir : D700 sur pied et retardateur ?

  
Ben, comme écrit page précédente :
Alors à défaut de dessin (nous sommes sur un forum de photo, non ?) voici les photos promises cet après-midi, faites exprès pour toi tout à l'heure, avec un film périmé, un appareil photo sur pied et retardateur !

:wink: :salue

  
:bla:
  • Message par insoL, jeudi 4 novembre 2010 à 11h24
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Bravo pour la leçon illustrée. (Quand trouve-t-il le temps de dessiner ses plans ?) :roll:

Mais … Pourquoi plier le film, au lieu de le rentrer tout à fait, alors que l'on va ouvrir la cartouche, d'une manière ou l'autre, pour éviter de faire défiler le film une troisième fois ! entre les lèvres de la cartouche ? (risques de griffes sur le film)

Je pense que plier le film était LE truc pour engager le film de manière sûre dans la bobine réceptrice des Leica.

Ou … pour pouvoir réutiliser un film partiellement exposé sans devoir recourir à un extracteur.
Rien ne peut être pensé sans son contraire.
Héraclite

  
Ou bien, suite à une envie pressante de faire du noir et blanc, alors qu'un film couleur est dans le boitier...
Il fallait alors faire vite (ça urge!!!) repérer le nombre de vues exposées en priant le ciel (si si ça peut aider) qu'au moment de remettre ledit film on re-tombe "à peu près" bien...
Mais ça c'est du temps où nous n'avions qu'un seul boitier pour tout faire :?

Tromer
Ou bien, suite à une envie pressante de faire du noir et blanc, alors qu'un film couleur est dans le boitier...
Il fallait alors faire vite (ça urge!!!) repérer le nombre de vues exposées en priant le ciel (si si ça peut aider) qu'au moment de remettre ledit film on re-tombe "à peu près" bien...
Mais ça c'est du temps où nous n'avions qu'un seul boitier pour tout faire :?


C'est bien ce que faisait Léonard Freed à Bucarest lors de la Révolution entre les chars, au grand dam d'Alix de Saint-André, en reportage pour Elle.
  • Message par HB, jeudi 4 novembre 2010 à 12h47
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Merci Laurent pour cette bonne leçon :bise:

  
insoL
Quand trouve-t-il le temps de dessiner ses plans ?)

Comme le fait remarquer Marielle, le dessin de la languette de film 135 est un dessin de façade recyclé…
Ayant fait ces photos hier soir aux environ de 20h00, je dirais : avant 20h00 !

insoL
plier le film […] pour pouvoir réutiliser un film partiellement exposé sans devoir recourir à un extracteur

C'est ce que je fais couramment ; dans ce cas je ne le plie pas, puisque ce code signifie pour moi "film exposé terminé", mais j'inscris dessus le nombre de vues faites. Il suffit ensuite de recharger le boîtier et d'armer-déclencher autant de fois qu'il y a eu de vues plus une par sécurité.

enfin il a aussi écrit :
Pourquoi plier le film, au lieu de le rentrer tout à fait, alors que l'on va ouvrir la cartouche, d'une manière ou l'autre, pour éviter de faire défiler le film une troisième fois !

Parce qu'ainsi je coupe les amorces au jour avant de charger les spires. Pour éviter de rayer le film s'il est possible que les lèvres aient pu être salies, une fois dans le noir je les écarte un peu avec les doigts pour qu'elles ne touchent plus le film, car ces petites cartouches d'aluminium sont souples.

Ne parlons pas des chargeurs N leica pour le film au mètre. :-)
  • Message par insoL, jeudi 4 novembre 2010 à 18h16
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Coignet a dit
Parce qu'ainsi je coupe les amorces au jour avant de charger les spires.


Oui, évidemment. :rollr:

(Pour moi, le problème de la découpe ne se posait pas car j'utilisais des spires métalliques qui se chargeaient depuis le centre et il suffisait de couper l'amorce en arrondi, avec le pouce comme gabarit, ce qui pouvait se faire facilement dans l'obscurité … Sauf si ongles longs.)
Rien ne peut être pensé sans son contraire.
Héraclite
    Hewes, Jobo, Kinderman, etc...
  • Message par paga, jeudi 4 novembre 2010 à 19h15
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hédoniste nihiliste
Tout a fait, les spires métalliques permettent d'éviter, entre autres, ce genre de soucis :D:
“Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons)

Et les cuves métalliques
:wink:
  • Message par HB, jeudi 4 novembre 2010 à 19h32
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Parait-il qu'il faille mettre le film dans le noir, normal, mais d'y mettre aussi la chimie dans le noir ? De plus ça n'a pas l'air facile à charger :wink:

J'ai renoncé à utiliser les cuves et spires métalliques, si pratiques qu'elles puissent sembler à première vue, notamment en voyage.

Multi-spires Paterson, 5 & 8.
    Pros and cons ...

paga
Tout a fait, les spires métalliques permettent d'éviter, entre autres, ce genre de soucis :D:

I found the stainless steel reel a lot harder to work with, especially when compared to the plastic. It's difficult to wind the film onto the reel without having the sections touch another part of the film and essentially ruining those particular negatives. The plastic reels are cheaper and much simpler - go with the plastic!

i teach high school students how to develop their own film and this reel is the best ever for them to roll film without getting any burns!!! love it!!!


... Il y a beaucoup de tribus chez les photographes :roll:
(mais le mieux dans la vie n'est-il pas de goûter à tous les plaisirs?)

danyves
...C'est bien ce que faisait Léonard Freed à Bucarest lors de la Révolution entre les chars, au grand dam d'Alix de Saint-André, en reportage pour Elle.
Mais que venait donc faire Alix de Saint-André dans cette galère :shock: (J'ai beaucoup aimé son dernier livre "En avant, route!". Un grand bol d'air et un très bon moment de détente qui donnent envie de prendre le sac à dos et de partir sur les chemins)

Elle était alors grand reporter à Elle, et rentrait de Roumanie ou elle avait été avec Leonard Freed en Coccinelle de location. C'est elle qui fin janvier 1990 m'a raconté cette histoire, alors que je la voyais pour préparer un voyage photographique en Roumanie avec une amie tchèque photojournaliste, ayant la double nationalité anglaise et tchèque (pratique pour le passage de certaines frontières alors). Nous avions été 15 jours à Botiza en février (Maramures).

Elle (le magazine) faisait des reportages comparés dans les pays de l'Est après la chute du mur avec les photographes de Magnum.
  • Message par HB, jeudi 4 novembre 2010 à 20h56
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Solange
danyves
...C'est bien ce que faisait Léonard Freed à Bucarest lors de la Révolution entre les chars, au grand dam d'Alix de Saint-André, en reportage pour Elle.
Mais que venait donc faire Alix de Saint-André dans cette galère :shock: (J'ai beaucoup aimé son dernier livre "En avant, route!". Un grand bol d'air et un très bon moment de détente qui donnent envie de prendre le sac à dos et de partir sur les chemins)

Merci Solange, en effet, le lien donne envie de lire son livre, quelle femme
  • Message par paga, jeudi 4 novembre 2010 à 22h39
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hédoniste nihiliste
HB
Parait-il qu'il faille mettre le film dans le noir, normal, mais d'y mettre aussi la chimie dans le noir ? De plus ça n'a pas l'air facile à charger :wink:


Mais mais non, un petit peu d’entraînement et c'est aussi simple que les trucs en plastique... et on peut charger le film mouillé (utile si on doit re-charger)
“Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons)
  • Message par insoL, vendredi 5 novembre 2010 à 16h42
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Pour Solange.
Il doit y avoir presque autant de tribus que de photographes (c'est comme chez les architectes) :cool:

Si j'avais opté pour les cuvettes métalliques, c'est parce que j'avais parfois à traiter une bonne vingtaine de films en urgence (prises de vues le soir et premiers tirages le lendemain).
Pour cela, il fallait que les cuvettes soient maintenues à température constante (24°C) dans une cuve thermostatée.

Donc, avantage des cuvettes métalliques :
— Métal = meilleur conducteur (si bain marie) ;
— Contenance moindre = économie ;
— Bobines pouvant être encore légèrement humides lors de l'enroulement du film.

Enfin, pour le respect des durées, je disposais de trois cuvettes (de une ou quatre spires) contenant respectivement le révélateur, le bain d'arrêt et le fixateur et je transférais la ou les spires directement de l'une à l'autre.

Comme quoi, à chacun de trouver son truc. :wink:
Rien ne peut être pensé sans son contraire.
Héraclite

Merci pour ces précisions, Insol. Je ne voyais pas bien l'avantage spécifique des spires Inox, par ex. :cool:

Sinon, cuvette = cuve = cuve de développement :?:
  • Message par insoL, vendredi 5 novembre 2010 à 18h25
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Sinon, cuvette = cuve = cuve de développement


Oui, j'ai employé le mot « cuvette » pour désigner les petits récipients pouvant contenir des « spires » et fermés par un couvercle étanche à la lumière tout en permettant le remplissage et la vidange.

Car je réserve, peut-être à tort, le mot « cuve »aux grands récipients utilisés pour le développement des plan-film ou des films 135 et 120 … suspendus :cool:
Rien ne peut être pensé sans son contraire.
Héraclite
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