Le Pirate

Ou "voyage au centre du jardin"

ça c'est de la macro

Merci Henri

Je ne suis pas macro mais j'aime bien la seconde image

Je ne suis pas macro non plus mais beaucoup de plaisir à réaliser ces images

Oui, ils sont au poil ces insectes...

Le profondeur de champ m'étonne.
Quel est le "format" ?
Ma préféré, c'est la 3 de la seconde série avec une sorte de sphynx.

Le temps de jeter un coup d'oeil aux exifs, l'ouverture moyenne est de f8 à 1/250° au format 24X36.
Connaissez vous le nom de cet insecte ?(famille des papillons ?)

Une mouche peut-être

Ce matin

Je tente une réponse (après quelques recherches sur internet en croisant "papillon" et "colibri"... je ne suis pas spécialiste !) : peut-être s'agit-il d'un moro-sphinx ou sphinx-colibri.
Mais... il y a de vrais spécialistes qui pourraient te répondre !

Mes préférées de l'ensemble de tes envois sont la 2è et la 3è de la deuxième série

C'est un Moro-sphinx, plus d'informations ici grâce à La Hulotte, le journal le plus lu dans les terriers

Merci les Pirates, ce Sphinx Colibri est incroyable

Il y a des matinaux ou insomniaques

C'est ma première macro quand je suis passé en numérique... bien d'autres depuis

Ces braves hannetons ont été en voie de disparition. Je n'ai pas trouvé d'explication sur leur réapparition.

Le hanneton, coléoptère au vol pataud, est un insecte qui inspire la sympathie. Peut-être est parce qu'il rappelle des souvenirs d'enfance lorsqu'à la sortie de l'école on le capturait pour le ramener à la maison en l'installant dans une boite avec un peu de verdure. Je me souviens des cours d'histoire naturelle. Le Hanneton servait de modèle pour la description des coléoptères.

Rassurez-vous, je ne capture plus les hannetons. Je me contente de les observer. L'année dernière, je n'ai vu dans mon jardin de des hannetons dit de la Saint Jean.

Belle photo, sanglier

Pire que toi, Michel, les hannetons, on les attrapait avec des bâtons sur lequel on avait fixé précédemment un carré de bois ou de carton, en tapant dessus de façon à les assommer. Cloués au sol par ce geste barbare, nous nous saisissions de la bête, et les épinglions sur une planche. Là, sans doute énervés par l'impossibilité de s'échapper, ils tournoyaient sous nos rires sarcastiques et néanmoins imbéciles.
Voilà un de nos amusements sauvages, avant de s'adonner entre autre, à la photographie

Mue imaginale d'une cigale :

Magnifique !
Je n'ai jamais vu cela auparavant, même en photo !

Merci Laurent.
J'ai eu la chance d'assister à la mue dans mon jardin, le jour où mon frère m'avait prêté un 60 mm macro Nikon. Coup de chance.