Publié : jeudi 22 mars 2012 à 18h26
Merci pour ces précisions, Laurent. J'essaierai dorénavant d'utiliser le bon vocabulaire
C'est à cette notion d'impermanence que je faisais référence sans la citer. Cette notion est fondamentale pour tenter de comprendre un tant soit peu le monde bouddhiste et ses dérivés.
Coignet a écrit :
Mais par ailleurs, certains ensembles historiques de grande importance sont régulièrement démolis et reconstruits à l'identique, depuis des siècles, pour des raisons d'impermanence et de pureté : l'impermanence liée à l'idée que tout ce qui vient doit un jour disparaître, la pureté étant considérée comme altérée par l'usure du temps.
Pour certains d'entre eux, la reconstruction est un rituel, comme pour les temples shinto théoriquement reconstruits tous les 20 ans, le plus réputé étant le sanctuaire d'Ise (près d'Osaka), reconstruit absolument à l'identique depuis la fin du VIIe siècle, la dernière reconstruction datant de 1993.
Pour certains d'entre eux, la reconstruction est un rituel, comme pour les temples shinto théoriquement reconstruits tous les 20 ans, le plus réputé étant le sanctuaire d'Ise (près d'Osaka), reconstruit absolument à l'identique depuis la fin du VIIe siècle, la dernière reconstruction datant de 1993.
C'est à cette notion d'impermanence que je faisais référence sans la citer. Cette notion est fondamentale pour tenter de comprendre un tant soit peu le monde bouddhiste et ses dérivés.