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Merci marielle pour cette explication il est vrai plus simple que celle que nous offre parfois coignet, mais néanmoins très explicite.
J'ai peur d'être un peu gourmant mais, pour le plaisir, j'aimerai bien avoir la même démo ( fichier brut et après traitement) de ta dernière photo, celle où je me suis "perdu" de bon coeur  |
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Pas mal (d'autant plus que les photos montrées sont superbes).
Concernant la démonstration, j'aurais tendance à affiner un peu. Le curseur d'exposition est déplacé bien trop à gauche. Si l'histogramme est trop large, on le remet à peu près dans les clous en réduisant le contraste ; pour récupérer des valeurs —enregistrées— dans les basses lumières, on peut aussi utiliser un peu le curseur "ombre". Le taquet central des niveaux peut être déplacé pour éclaircir l'ensemble. La correction par la courbe pourra ainsi être beaucoup moins abrupte, et donner un rendu plus éclatant et aussi plus subtil dans les basses lumières. Bien sûr, cette interprétation n'est pas la seule possible, elle peut certainement être affinée encore. On peut aussi, ensuite, jouer un peu de photoshop™ pour faire quelques masquages (ne pas traiter le ciel tout à fait de la même manière que les ombres, ce qui n'a pas été fait là). Bonne nuit les petits. |
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Ces photos automnales ont effectivement superbes.
Je dois dire aussi que je suis impressionné par votre maîtrise des curseurs  |
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de retour de quelques jours en Espagne, quelques arbres dans sierra de Llaberia, Catalogne du sud.
 "En effet, il est plus beau d’éclairer que de briller seulement ; de même est-il plus beau de transmettre aux autres ce qu’on a contemplé que de contempler seulement...", Thomas d'Aquin |
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Marielle
Proteus : où en est ton arbre ? C'est ici  |
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Marielle a écrit:
J'ai appris, avec le D700 - mais je suppose que c'est ainsi avec tous les numériques - qu'il est toujours préférable de sous-exposer, car on pourra toujours récupérer de la matière dans les ombres - mais pas en créer dans les hautes lumières. Alors j'expose en fonction des hautes lumières. Comment procèdes-tu pour sous-exposer: - Exposes-tu sur le ciel avec mise en mémoire de l'exposition? - ou bien réalises-tu une sous-exposition directement sur ton boitier de type - 2/3 de diaphragme? |
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| Édité 1 fois par Proteus samedi 5 novembre 2011 à 20h00 | ||
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Sur le boitier, Michel  |
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HB a écrit :
Sur le boitier, Michel rectifié 
Merci, Henri Je savais que je peux compter sur toi |
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HB a écrit : Pourquoi?
Sur le boitier, Michel Le fait d'afficher une sous exposition à priori ne garantit pas d'eviter la saturation des hautes lumières? N'est-il pas alors préférable d'agir au cas par cas en prenant la mesure sur la zone sensible? Un autre moyen est peut-être de faire un "bracketing" automatique de l'expostion sur 3 vues (par ex.) ? |
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Solange a écrit :
HB a écrit : Pourquoi?Sur le boitier, Michel Le fait d'afficher une sous exposition à priori ne garantit pas d'eviter la saturation des hautes lumières? N'est-il pas alors préférable d'agir au cas par cas en prenant la mesure sur la zone sensible? Un autre moyen est peut-être de faire un "bracketing" automatique de l'expostion sur 3 vues (par ex.) ? Justement, ce sont les questions que je me pose   |
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Vous êtes bien compliquées, girls and guys...
Le seul bon moyen dans 98% des cas, c'est de mesurer la lumière ambiante ou un gris 18%. Parler de sous-exposition, ou d'exposition pour les hautes lumières n'a pas de sens, sinon celui de rendre compliqué ce qui est simple. IL n'y a qu'une seule bonne exposition. La trouver avec une cellule à main est un jeu d'enfant... La trouver avec un boîtier à mesure TTL est paradoxalement plus compliqué. En effet, presque tous les boîtiers mesurent dans une zone centrale plus ou moins large, de 5% à 30% environ de l'image suivant les matériels, qui dans bien des cadrages va comporter des zones plus foncées que le gris 18% ; conséquence évidente, le ciel sera sur-exposé, ainsi que tous reflets, d'où la remarque faite bien souvent qu'il faudrait sous-exposer. Non, il ne faut pas sous-exposer, il faut bien exposer. Pour cela, trois modes opératoires : - une cellule à main, que le boîtier soit numérique ou manuel ; - une mesure TTL avec le boîtier, en mode manuel, avec vérification de l'histogramme obtenu, l'appareil étant ainsi utilisé comme instrument de mesure ; - disposer d'un boîtier perfectionné avec des optiques couplées à contacts électriques, et utiliser la mesure intégrale multizone. On dit souvent également que le numérique "cramerait" les hautes lumières. À moins de disposer d'un matériel médiocre, c'est tout à fait faux ; les hautes lumières, dans les mêmes conditions de mesure et de cadrage, sont tout aussi "cramées" sur un film, mais le support et ses défauts font que cela se voit moins, ou de manière plus esthétique. Dans une zone sur-exposée d'une pellicule, les grains d'argent laissent des traces, cristaux dans une émulsion qui a une épaisseur ; les blancs ne sont jamais nus. En revanche, le capteur enregistre une valeur numérique unique : si c'est blanc, c'est blanc et uniquement blanc, pas de taches, grains, défauts... et c'est en effet assez inesthétique, donc à surveiller de plus près que sur film. |
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coignet a écrit :
si c'est blanc, c'est blanc C'est de l'anti-Johnny, alors ! |
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marielle, laconique, constate :
Quant à moi, méthodique, je vais re-re-essayer ce que donne cette mesure multi-zone... (pour rester simple)  |
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Les photos prises avec mon F100 sont systématiquement sous exposées d'un demi à un diaph par rapport à ce que me donne ma cellule à main utilisée en lumière incidente. Résultat : les négatifs sortant du Leica sont plus denses. Avec le Nikon (que j'utilise très peu), lorsque les écarts de luminosité sont importants, je vais dorénavant utiliser la cellule à main. J'ai aussi indiqué au boitier du F100 qu'il fallait surexposer de 1/2 diaph. Conclusion dans quelques jours ou semaines. | |
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Une petite Sekonic L 208, c'est tout bon et ça aide surtout pour ceux comme nous qui utilisons l'argentique, par-contre, sauf pour les prises en studio, laissons l'électronique des appareils modernes, faire, sinon pas la peine de les acheter  |
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 hédoniste nihiliste |
Photo automnale prise avant-avant hier depuis cet endroit là  |
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| Édité 1 fois par Nickname mercredi 18 janvier 2012 à 10h58 | ||
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hédoniste nihiliste |
Ces immeubles (comme le San Remo) sont célèbres car ils sont souvent occupés par des gens célèbres... et par mon dentiste (il habite dans le Dakota)
PS: envoie ton cliché pleaze |
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| Édité 1 fois par Nickname mercredi 18 janvier 2012 à 10h57 | ||
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hédoniste nihiliste |
Superbe archive!!! Ça ressemble un peu a Occupy Wall Street avant l’évacuation de force il y a deux semaines... sauf que dans cette photo de 1932, en pleine grande dépression, on imagine que les pauvres gens qui campaient dans ces cabanes n’étaient exactement pas des étudiants hipsters de NYU  |
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Hooverville
Quand les reverrons nous ? |
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hédoniste nihiliste |
Osons espérer que non, il y en a déjà bien assez de par le monde (se balader en Asie et en Inde en particulier)...
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hédoniste nihiliste |
“Be guided by beauty. Everything I’ve done has had an aesthetic component to me. Building a company trading bonds, what’s aesthetic? ... If you’re the first one to do it right, it’s a terrific feeling and a beautiful thing to do something right, like solving a math problem.” (James Simons) |
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Paga est dans sa période sombre  |
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