le Pirate Forum
  • Message par jbz, vendredi 12 septembre 2014 à 14h34
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A Limans, camping Les Lauzons, sur la colline, à côté de Longomaï.

  
Je connais bien Vachères, Forcalquier, Mane, Banon, mais n'ai jamais mis les pieds à Limans !

Voilà peut-être l'une des causes des lacunes de ma culture cinématographique.
Par ailleurs, je connais les Longo Maï de La Salle près de Briançon, mais pas ceux-ci.

On ne cesse de se tourner autour sans se rencontrer : ça, c'est piratien.
    L'aigle des mers, remake 2014, sans Eroll Flynn
  • Message par jbz, vendredi 12 septembre 2014 à 16h04
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coignet a écrit :
Bien que sévère généralement dans mon appréciation de ce genre de cinéma, je n'ai pas été rebuté par Hippocrate.


Ah Ah, mon petit doigt me dit que tu ne l'as pas vu seul...
Ce qui est rassurant avec ce film, c'est que l'on peut être certain d'être pris en charge en cas de malaise dans la salle... :D:
Quelqu'un qui fait des images ne peut pas être rassurant
Raymond Depardon, Errance

Flickr

  
Je m'aperçois que j'ai été assez rapide dans ma liste des films vus récemment.
J'ai aussi vu deux films de Tati : Les vacances de monsieur Hulot, et Playtime (au Reflet Médicis rue Champollion à Paris).
Je n'avais jamais vu de films de Tati, en dehors des Vacances il y a longtemps à la télévision.
Je n'avais vraiment pas été séduit.
En le voyant au cinéma sur grand écran, c'est différent. Je conserve ma première impression d'un film assez décousu enchaînant les idées sans réel fil conducteur. Mais, au cinéma on découvre que l'image est belle, et on prend son temps à s'intéresser aux multiples détails qui meublent les plans. C'est beaucoup plus intéressant qu'en petit.

Playtime est, me semble-t-il, plus abouti. Plus ambitieux aussi, et non dénué d'un regard qui peut sembler légèrement vieux con. À replacer dans la période du PUD de 1952 (Plan d'Urbanisme Directeur de Paris, document qui a précédé les POS -devenus PLU), on peut comprendre : en effet, ce document prévoyait la démolition de la totalité de Paris, avec une ampleur encore supérieure à celle de la période haussmannienne, et, s'il n'a pas été véritablement appliqué, on lui doit toutes les ruptures d'alignement, et les opérations comme le Front de Seine, le XIIIe, et Montparnasse. Pas de quoi s'émerveiller tout compte fait, et peut-être Playtime est-il une réaction à cela.

Le film est très ambitieux, tourné en 70mm, et d'une qualité plastique impressionnante. Le comique fonctionne par répétition et sur-addition jusqu'à l'absurde, et je me suis aisément laissé prendre.

J'ai vu et apprécié Sils Maria. Ainsi que Les combattants. Ce dernier film surprend par l'intensité dramatique qu'il revêt petit à petit, au fur et à mesure que les personnages s'impliquent dans leur histoire et se découvrent eux-mêmes.

Pour en revenir à Hippocrate, en effet, je ne l'ai pas vu seul.
La première raison qui m'y a mené est la présence de Marianne Denicourt !

Peut-être l'alter-chef pirate vous donnera-t-elle son avis, en tant que médecin en hôpital.

  
Jacques, pote a écrit :
coignet a écrit :
(...)je n'ai pas été rebuté par Hippocrate.

Ah Ah, mon petit doigt me dit que tu ne l'as pas vu seul...

coignet a écrit :
Pour en revenir à Hippocrate, en effet, je ne l'ai pas vu seul.


Pour tout vous dire, moi non plus, je ne l'ai pas vu seule :-x .
J'ai voulu y aller le jour de la sortie. Je n'avais rien lu dessus avant, attirée spontanément par le thème (l'hôpital), les acteurs (Jacques Gamblin que je ne connaissais qu'en doux, gentil, un peu lunaire dans les différents films que j'ai vus avec lui - en particulier Le nom des gens ; et Marianne Denicourt que je connaissais uniquement dans un film incroyable : Monique - que je vous recommande en passant), et par le fait que le réalisateur est médecin.

Je n'ai pas été déçue. J'ai beaucoup aimé, même si - pour le scénario et le déroulement de l'histoire - le réalisateur a cédé à certaines invraisemblances - essentiellement le revirement improbable de Marianne Denicourt - alias Denormandy - praticien hospitalier aguerrie qui découvre sur le tard la compassion de façon un peu irréaliste.
De même, le personnage du héros, jeune interne en premier semestre, est trop jeune. Un interne, qui a tout réussi du premier coup (première année, internat, sans redoubler) a minimum 24 ans - 23 s'il a un an d'avance. L'acteur Vincent Lacoste - très bon par ailleurs - est beaucoup trop jeune (20 ans lors du tournage), et ça se voit. Pour qui a l'habitude, il a davantage d'allure d'un externe (étudiant à partir de la 4è année post-bac). Mais en soi, ce n'est finalement pas grave.
Comme Jacques, pote, et mon co-spectateur, j'ai beaucoup apprécié la mise en avant du statut des FFI ("faisant fonction d'interne"), à savoir des étudiants étrangers, parfois médecins dans leur pays d'origine, qui viennent occuper les postes souvent délaissés par les internes car réputés difficiles (comme de nombreux postes aux urgences, comme dans ce film), le tout pour un salaire de misère au vu de leur qualification, de leurs responsabilités, de leur investissement personnel et de leurs horaires (l'équivalent du smic, je crois).

J'ai aimé ce film, car il est parfaitement réaliste (hormis les réserves ci-dessus). Tout y est. Le compagnonnage entre le vieil interne et le plus jeune, compagnonnage qui est la base de l'apprentissage de notre métier (Ah ! la première PL !! Le premier myélogramme ! la première voie centrale ! La première intubation !!). L'ambiance de la nuit, avec certains personnages que l'on ne rencontre que la nuit (l'aide soignant, par exemple, est parfaitement bien dans son rôle). La solitude du médecin face à certaines décisions impossibles. La difficulté du jeune interne à savoir où est la bonne décision, et à imposer (oser imposer ?) son point de vue face aux plus gradés que lui, mais aussi face aux infirmières qui ont plus d'expérience que lui. L'exemple du film avec le fameux ECG non réalisé est parfait : le jeune interne, lors de sa première garde, demande à ce que l'on réalise un ECG, mais l'infirmière, qui visiblement est là depuis des années, l'en dissuade - et il n'ose pas insister. Je me suis parfaitement reconnue dans ce genre de situation : quand on est jeune, tout juste sorti du concours, en vrai, on ne sait pas grand chose. La connaissance livresque aide pour cheminer intellectuellement dans la démarche diagnostique, mais l'expérience clinique manque cruellement, et pour peu qu'on soit timide, et/ou pas très sûr de soi, on se laisse facilement influencer par ceux qui donnent l'impression de savoir. On n'apprend que plus tard qu'en médecine, il faut se méfier des affirmations péremptoires...
L'hôpital est montré dans ce film avec ses nombreux travers - manque de personnel, manque de moyens, esprit de caste, rentabilité, difficultés pour accueillir les patients les plus lourds qui "prennent" un lit et à qui on ne va pas faire grand chose (depuis quelques années, les malades rapportent selon la T2A : "Tarification à l'activité" : il vaut mieux, pour faire gagner de l'argent à l'hôpital, accueillir quelqu'un de peu malade à qui on va faire des examens qui sont bien cotés à la T2A - une coronarographie, par exemple - plutôt que d'accueillir une vieille personne qui occupe un lit et à qui on ne va rien faire comme examen qui rapporte...).
Les questions abordées dans ce film le sont avec justesse, je trouve : l'erreur médicale, la responsabilité personnelle du médecin ou responsabilité de l'institution, la situation de fin de vie, la prise en charge de la douleur (Bon, la pompe à morphine fonctionne un peu trop rapidement - il faut plus que quelques secondes pour que le bolus de morphine soit efficace... mais c'est un détail). Tout y est bien vu. L'attitude de l'interne de réanimation, véritable cow-boy. Le petit "clic" qu'il faut sentir quand on fait une ponction lombaire. Le patient qui se tourne sur le ventre quand on lui demande de l'allonger sur le dos (encore vécu la semaine dernière en consultation...). Y compris les télés sur "Dr House". Le côté sordide, triste et sale des chambres de garde, les blouses avec les taches propres, etc.

Donc pour moi : un film-documentaire réaliste, bien fait, qui pose de vraies bonnes questions qui peuvent tous nous concerner un jour ou l'autre, et traité avec justesse, au prix de certaines maladresses et certains raccourcis improbables pour coller au scénario.

Et une Marianne Denicourt, terrible, que je n'aimerais pas avoir comme collègue à l'hôpital, et un Jacques Gamblin, excellent lui aussi, que je n'aimerais pas avoir comme chef de service...

  
Merci pour ces commentaires dignes de figurer dans Télérama avec sans doute un :-)
Mais vous me faites peur ... je pense que je n'irai pas voir ce film. Moins je "touche" de près ou de loin aux hôpitaux et mieux je me porte !!! D'ailleurs cette propension à "montrer la réalité", que ce soit au cinéma ou dans les docus-réalités me dérange souvent. La vie quotidienne est déjà fort pénible en bien des occasions que la voir scénarisée de la sorte crée chez moi un vrai malaise (mais j'ai vu mon cardiologue pour la visite annuelle, tout va à peu près bien, sauf un vrai déficit en sport et un abus de fromage pourtant en vente libre ...). Des exemples vécus dans mon entourage (un jeune et vrai interne qui se retrouve seul à gérer un service d'urgence) me font froid dans le dos (je pense que je pourrai appréhender avec une certaine inquiétude la prochaine péridurale qu'on me proposera !!!) ou personnellement (un très jeune interne face à une sonde urinaire à retirer). Mais je suis content que les professionnels de la profession se retrouvent dans ce film. Je ne sais pas si le "Bon rétablissement" de Jean Becker avec Gérard Lanvin aura sur eux le même effet ... le pitch ressemble aussi à la "vraie vie" dans un service hospitalier ... mais gare à l’indigestion :chut:

  
Je ne peux pas ne pas partager avec vous cette jubilation d'avoir (enfin !) découvert Pas sur la bouche d'Alain Resnais.
Comme quoi il n'est jamais trop tard quand il s'agit de rire.

    Vous savez que j'aime les remakes
  • Message par jbz, samedi 6 décembre 2014 à 14h58
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Napoléon mon cul !



- Mais...vous mangez pas ?
- Euh... je n'peux pas couper ma viande, alors...
- Vous permettez ?
- Avec plaisir, merci.


  
Double remake : bravo pour savoir ainsi donner de ta personne.

Moi je joue à Marathon Man. Je préfère ne pas livrer d'image.

  
Ce fil s'étant doucement endormi, j'ai eu jusqu'à aujourd'hui des réticences à y écrire. Je suis allé au cinéma régulièrement, comme depuis toujours, et probablement comme tout le monde ici.
J'ai vu du bon et du moins bon, du plaisant et de l'ennuyeux.

Ce que j'ai vu hier soir me pousse à sortir de ma réserve.
J'ai enfin vu Adieu au langage de Godard. Il parait que ce film est en 3D. Je ne l'ai vu qu'en banale 2D, mais il n'en est pas plus banal pour autant.
Je me demandais ce que Godard pouvait encore faire au cinéma, si loin de l'époque de la nouvelle vague et de ses films caméra à l'épaule, de Pierrot le fou barbouillé de bleu qui se fait sauter le caisson.
Ses premiers films alliaient jeux de narration, esthétique et un certain glamour...

De glamour il n'est ici plus question. Pas de stars magnifiées, pas de mythes empruntés au cinéma académique ou populaire, seulement de l'audace esthétique par le recours à un matériel inhabituel dont toutes les possibilités sont exploitées.
L'image est numérique, (forcément numérique), et s'apparente à la peinture, pas au sens où certains premiers films de Renoir (Jean) citaient Renoir (Claude), mais par des jetés de couleurs presque toujours ultra-saturées et pourtant d'une justesse totale, comme on peut les composer à partir d'un pinceau et d'une palette. L'image est parfois presque statique, comme une peinture en mouvement, parfois vraiment cinématographique, parfois abstraite et crue, parfois dense et modelée, l'ensemble étant filmé avec des appareils photo, des smartphones et des go-pro, dont les limites et faiblesses deviennent des arguments esthétiques et créent de la matière.

Bien sûr, la narration est godardienne, faite d'allusions et superpositions, et cela fonctionne toujours aussi bien : le procédé n'est pas usé, bien au contraire.
Un cinéma pictural et poétique, qui fait se demander pourquoi le reste de la production française est si conventionnel, pourquoi le cinéma s'est autant éloigné de l'audace et de la création.

Ajoutons à cela qu'il y a des nus magnifiques, et que devenu vieux, Godard semble avoir abandonné sa manière misogyne.
  • Message par paga, mardi 17 mars 2015 à 14h43
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hédoniste nihiliste
Dans un tout autre genre, j'ai vu dernièrement un film de science fiction Sud Africain: Chappie par Neill Blomkamp,
C'est un film divertissant mais comme Elyseum c'est très simpliste, il est difficile de faire mieux que son premier hit

  
J'avais bien apprécié le premier hit !
    Cinémathèque

Photographe japonais
Hier soir, mon amie Anne m'a convié à la Cinémathèque pour une avant-première. Assurément une belle salle. Après nous sommes allés dîner chez Presto-Fresco.





Far from the picture
  
euh... l'Ours Paddington... ça compte ? :rollr:
Oufti !
Les lapins sont toujours en retard

  
C'était Antonioni, en avant-première ? :mrgreen:

Je vais vous faire un aveu : j'adorais la salle vétuste et poussiéreuse du Trocadéro (à la sortie de laquelle, lorsque j'avais de jolies fesses rebondies et des boucles blondes, des messieurs me draguaient).

Milou a écrit :
euh... l'Ours Paddington... ça compte ? :rollr:

Il paraît que c'est trop bien, mais je pense qu'il va falloir attendre une cinquantaine d'années pour y avoir droit en avant-première à la cinémathèque.

Photographe japonais
Taxi Téhéran de Jafar Panahi : ça ouvre sur l'attente du passage au vert, et très vite, on se retrouve chez les Marx Brothers... c'est pourtant bien un pamphlet.
Sortie le 15. À ne pas manquer !



    Winnetou est re-mort

  


... Pas pour de faux
:cry:

  
Ce soir, j'ai vu Haramiste, d'Antoine Desrosières, au cinéma L'Accattone (rue Cujas à Paris).
Il reste dans la salle trois jours par semaine vers 20h00, de vendredi à dimanche, pendant tout le mois d'août.

Si des piratiens de passage par là le voyaient, je serais heureux de savoir ce qu'ils en pensent.

Inutile de préciser que j'ai beaucoup aimé ce huis clos burlesque entre deux sœurs voilées d'aujourd'hui, qui se provoquent, se déchirent et s'aiment, attirées par l'interdit suprême à portée de main (ou d'internet).

Far from the picture
  
Ahhhh le cinéma...

Ça fait une décade que je n'ai pas vu de film hors dessins animés, d'animations pour les pitchounes. Un film m'avait marqué dans ce registre (c'est le seul film d'ailleurs que j'ai voulu voir et proposé aux petits) : Jack et la mécanique du cœur.

D'une part parce que j'adore Mathias Malzieu. J'avais vu Dyonisos en concert sur Nîmes en première partie de Muse. C'était un moment magique.
D'autre part, ses albums ont marqué des moments forts d'une partie de ma vie dans le sud, plus particulièrement la Mécanique du cœur. J'aime beaucoup les artistes qui ont contribué à cet album (surtout Alain Bashung).

Quant au film d'animation, quelle atmosphère ! Un film qui correspond à mon univers...

J'ai été marquée il y a bien longtemps maintenant par Babel (j'adore les histoires croisées), Orange Mécanique (entre autre pour la BO et parce que c'est un film qui ne vieillit pas) , les Évadés (l'histoire, les acteurs), et tant d'autres. Je pense aussi au cinéma club russe Jar Pitza (je ne sais plus comment ça s'écrit) qui proposait des films parfois sous titrés en anglais, parfois non. Mon coup de cœur : Kin Dza Dza. Vous connaissez ?
Un film que je n'ai jamais pu encadrer malgré toutes les critiques positives : Breaking The Waves. Pourtant j'ai essayé de le voir en entier à 2 reprises. Je n'ai jamais pu.

Je ne pense pas pouvoir aller voir le film dont tu parles Coignet, bien que je passe par Paris en août. J'aime bien quand c'est burlesque mais je ne pense pas que le jeune public qui m'accompagnera y soit sensible...

Voilà. Bonne journée !
Oufti !
Les lapins sont toujours en retard

  
En effet, ce n'est pas vraiment un film pour pitchounes. Peut-être serait-on surpris, mais je pense que je n'aurais pas songé non plus à y amener les miens à l'âge des tiens.

Même opinion que toi concernant Breaking the waves...

Far from the picture
  
en y repensant, 4 autres films m'avaient marquée.
La vie est belle et le Monstre - Benigni .
Cinema Paradiso - les yeux du gamin, du pur bonheur
Je pense que ce sont des films qu'on pourra revoir avec les enfants (plus au cinéma, c'est moins marrant, mais avec des pop corn ça sera comme si)

et dans un autre style, Blue Velvet de David Lynch (là il faudra que les enfants soient beaucoup plus grands car il est quand même assez space ce film... mais la BO est top)
Oufti !
Les lapins sont toujours en retard

  
Oh oui, ces films de Benigni sont vraiment tout public et tout âge !
Le monstre devrait amuser des pitchounes. Moi, j'adore.

  
Milou a écrit :
en y repensant, 4 autres films m'avaient marquée.
La vie est belle et le Monstre - Benigni .
Cinema Paradiso - les yeux du gamin, du pur bonheur
Je pense que ce sont des films qu'on pourra revoir avec les enfants (plus au cinéma, c'est moins marrant, mais avec des pop corn ça sera comme si)

et dans un autre style, Blue Velvet de David Lynch (là il faudra que les enfants soient beaucoup plus grands car il est quand même assez space ce film... mais la BO est top)


Et quand ils seront un peu plus grands, Eraserhead du même David Lynch
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"

Far from the picture
  
coignet a écrit :
Oh oui, ces films de Benigni sont vraiment tout public et tout âge !
Le monstre devrait amuser des pitchounes. Moi, j'adore.


Parfois on marche comme ça à la maison ! Ça me fait penser au silly walk des Monty Python flying Circus ( ce qui me fait penser à La Vie de Brian et à Brazil d'ailleurs...) toute une époque...

Je n'ai pas vu le film dont tu parles Orville :oops:
J'essaierai d'aller voir à quoi ça ressemble...
Oufti !
Les lapins sont toujours en retard
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