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J'ai également vu et été séduit par cette exposition Felix Valotton qui permet de mieux connaître ce peintre. | |
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J'y suis retourné, car il n'est pas toujours aimable, et mérite une deuxième vision pour s'y habituer et voir au-delà. J'ai ensuite vu l'exposition Georges Braque, beaucoup plus facile, et bien entendu bluffante, une fois passées les salles de répétition cubistes, qui permettent de comprendre l’entrain du jeune créateur, mais qui sont, à mon avis, un peu lassantes.  Tout cela n'est pas vraiment de l'image, comme on dit souvent à propos de la production des photographes, c'est plus simplement de l'art. Ça fait du bien aussi par où ça passe. Dans un répertoire différent, mais tout aussi intéressant, et même très amusant à voir, j'ai également visité la belle exposition consacrée par la Pinacothèque de Paris aux Brueghel anciens et nouveaux, et à leurs descendances. C'est à voir là jusqu'en mars 2014  |
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Jacques, pote a écrit : En sortant du travail, j'ai fait un saut jusqu'au salon de la photo pour écouter le Grand Entretien avec Salgado. J'en suis ressorti plus impressionné que par l'expo. Je n'avais malheureusement pas pu aller voir Salgado à Paris (ni en chair et en os, ni en photographie sur les cimaises de la maison de la photographie). Et j'en avais un réel regret. Quelle ne fut pas ma joie de voir que Genesis était justement à Venise lors d'un séjour récent alliant travail (2 jours) et tourisme (3 jours)... qui plus est dans un endroit magnifique : la Casa dei tre Oci, face à la Salute sur l'Ile de la Giudecca. Et là : pas de foule, Quelques reflets, mais pas désagréables, permettant de nous rappeler qu'on est quand même dans un bel endroit... Une exposition où l'on est accueilli, je ne dirais pas à bras ouverts...  photo vue sur ce blog, qui présente la photo de très grand format ouvrant l'exposition. © Salgado - genesis ... mais presque... Pas de bousculade, et la possibilité de profiter vraiment des photos. J'ai été réellement impressionnée par cette exposition, avec l'envie de ranger définitivement mes appareils photos. Que ce soit les Zo'é avec leur vie idyllique dans la forêt amazonienne ou les tribus du Grand Nord avec les beaux troupeaux de rennes, sans oublier évidemment les pingouins qui font du toboggan (ma préférée !!!). Toutes ces photos sont splendides, et je donnerais toute ma production photographique pour une seule d'entre elles. Les cadrages, la lumière, les clins d’œil humoristiques, la fierté des Hommes, les rapports de l'Homme à la nature, le regard sur la vie sauvage, la vie domptée... J'ai rarement été autant éblouie. Le fait qu'il ait pu bénéficier de moyens colossaux n'enlève rien à l'ensemble. C'est au contraire une chance pour nous de pouvoir ainsi profiter de son talent (sans lequel il n'aurait pas pu recevoir tant d'aides et de subventions, et donc faire son Genesis) |
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Pour faire suite à cette exposition, m'est-il nécessaire de recommander chaudement le film de Wim Wenders "Le sel de la Terre", consacré à Salgado ? Splendide et émouvant, un propos très juste et des images magnifiques sur un écran de cinéma. Allez-y ! |
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Tant que j'y suis un mot déçu de l'expo Eggleston à la fondation HCB. L'équipe du lieu a un talent certain pour gâcher le meilleur : accrochage déficient dans un lieu malaisé, choix intello douteux (dont des N&B de très mauvaise qualité), j'avais déjà connu ça avec Saul Leiter. Il faudrait leur dire qu'il n'y a pas de mal à montrer et apprécier les belles photos... |
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J'ai vu le Sel de la terre il y a quelques jours, et j'ai été stupéfait par la force des photos de Salgado tout au long de sa carrière. Il peut photographier le pire et le malheur le plus grand sans sembler voyeur, et sait mettre en scène tant le détail et l'intime que les grands espaces, habités ou non. Le film est un peu trop hagiographique, mais c'est aussi un bon documentaire sur son œuvre et un magnifique support pour apprécier son travail. |
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Nous avons vu l'expo Plossu à la MEP. Avec une relative déception : tirages petits, voire minuscules (8x9), le procédé charbon un peu outré (pour la couleur), et puis je crois que Plossu j'aime bien mais par petite dose ! Trop de Plossu tue le Plossu !  En revanche une vraie découverte : Grégoire Korganow. Un travail exceptionnel sur les prisons et une belle série "Pères et fils". A voir, si vous en avez l'occasion. |
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Merci ! Je ne l'ai pas encore vu. Je viens d'ajouter cela à la liste des expositions dans les nouvelles ! | |
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