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C'est l'un de ceux que j'aimais (j'en aime peu, j'aime plus faire des photos que voir celles des photographes anciens).
Certaines morts vous rendent triste, sans que vous sachiez vraiment pourquoi, puisque vous ne connaissez pas personnellement le disparu.
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Je suis triste, véritable photographe engagé. Une image forte me revient, celle de cette ouvrière prenant la parole dans une usine.
L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Oui, triste, je connaissais un peu Willy. | |||||
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Je viens d'apprendre son décès
La photo de gauche présentée par Coignet me fait penser à un tableau de Bonnard |
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Je viens de rentrer de vacances et .... Je ne l'ai pas su. Comme beaucoup, très triste, merci de nous avoir laissé toutes ces images. Bien sûr, le nu provençal est aussi pour moi une référence, mais sa façon de photographier passait aussi par celle de Garp, l'ouvrière prenant la parole, du beau, du grand, de l'inoubliable, de l'immortel. Merci Willy et à bientôt | |||||
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Les nus, les petites scènes saisies avec grâce, les reportages saisissant l'histoire (oui Garp et HB), et des photos au graphisme puissant, à divers niveaux de lecture :
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Faudrait pas attendre qu'ils partent...
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A lire absolument
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/89913f0 ... onis_un_siècle_qui_sen_va ou l'on évoque aussi outre Doisneau et hors concours Henri Cartier-Bresson, mais aussi Boubat et Izis (Manuel Bidermanas) aux côté de Ronis; et le rôle de la photo dans les années 40, 50 et 60. Nous en sommes loin, et Rapho est au sein d'un groupe laché par Hachette et en faillite. Pour mémoire; de l'incurie de l'Etat en matière de photographie. http://www.sfp.asso.fr/vitevu/index.php ... graphiques |
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coignet
La rue Vilin, où habita Perec... |
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Hé bien, le hasard fait bien les choses.
Il est peu d'auteurs que j'ai autant lu et relu que Perec. |
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