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Avant et après l'orage
Publié :
vendredi 3 mai 2013 à 9h58
Publié :
vendredi 3 mai 2013 à 13h27
Quand ce n'est pas la nature
Publié :
lundi 13 mai 2013 à 16h09
C'est l'homme qui massacre
AVANT
D’APRÈS
mais on peut aimer ...
ou pas.
Avant et après avoir appris à faire les ourlets de pantalon.
Publié :
dimanche 7 juillet 2013 à 16h33
Leningrad, été 1961
Saint Petersbourg, 2 juillet 2013
Publié :
dimanche 7 juillet 2013 à 17h24
À la même époque, mon père avait la même Simca.
Mais il y avait déjà longtemps qu'il avait été exclu du PCF.
Au même âge, j'avais aussi une Simca1 de la dernière génération.
Je n'ai pas eu à me faire exclure du PCF, je me suis contenté de n'y pas adhérer.
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1. parution bientôt sur ces ondes
Publié :
dimanche 7 juillet 2013 à 17h57
Mon père n'a pas été exclu du PCF, c'est le PCF qui a été exclu. Après la guerre, il n'a pas repris sa carte, mais il en est resté très proche.
Quant à moi, à part le carte de famille nombreuse et maintenant une carte de crédit...
crédits nombreux ?
Publié :
dimanche 7 juillet 2013 à 21h57
Je n'ai ni l'une ni l'autre de ces cartes.
Voici les Simca promises, trois générations dont la tienne.
photo de juillet 1979 à La Bérarde, négatif extrait de mes précieuses archives et numérisé ce jour à 18h45
Publié :
dimanche 7 juillet 2013 à 22h52
Les deux Arondes n'ont pas les mêmes moustaches. Il me semble que la mienne était de 54, la tienne est antérieure, peut-être de 53. A cette époque, Simca modifiait très souvent l'apparence de ses voitures.
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lundi 8 juillet 2013 à 4h18
j'adore ce fil
Odéon-Photo, 110, boulevard Saint Germain, Paris
Publié :
jeudi 10 octobre 2013 à 8h31
Publié :
jeudi 10 octobre 2013 à 10h45
Merci pour l'évocation de ces tendres années ... je ne me souvenais pas qu'Odéon-Photo avait vendu des jouets ! En revanche je me souviens bien (mais comment oublier cette madeleine là) des divines petites boites jaunes dans lesquelles étaient délicatement emballées les reines de la route qui allaient rejoindre, dans un magnifique embouteillage, les rues délimitées par quelques rondins de bois et autres osselets de la petite ville qui poussait régulièrement sur le tapis de la salle à manger ... avant qu'on ne la démolisse parce qu'il était l'heure de mettre la table !
Plutôt "Aller et retour"
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samedi 21 mars 2015 à 20h56
Aller
Retour
Avant : 1959 - Après : 2015
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vendredi 15 mai 2015 à 14h23
Il y a quelques jours je passais à Köln (Cologne) et l'envie m'a pris de retrouver quelques souvenirs d'enfance. Alors je suis monté dans la tour de la cathédrale d'où je me souvenais avoir pris quelques photos...
Assez étrangement la tour m'a paru plus haute qu'il y a 55 ans
c'est sans doute qu'à l'époque l'ascension commençait au niveau du sol de la cathédrale alors que maintenant il faut descendre pour y accéder, ce qui rajoute 23 marches
Avant, il était banal de laisser un gosse de 14 ans parcourir seul l'Europe en train (je revenais d'un séjour linguistique à une centaine de kilomètres de là et allais rejoindre ma famille en Italie pour les vacances)...
Avant, j'avais un appareil avec de la vraie pellicule, ce qui m'a permis de mettre la main rapidement sur ces photos... Maintenant aussi d'ailleurs (à l'exception d'un seul boîtier numérique) mais je ne suis pas certain de savoir retrouver mes négatifs dans 55 ans
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vendredi 15 mai 2015 à 16h08
Super bonne idée !
Il ne me semble pas que la Wallrafplatz ait tant changé, c'est le point de vue qui est différent ; en 1959, tu étais plus penché vers l'extérieur et la gauche, chose peut-être impossible aujourd'hui, en raison du grillage que tu évoques. Sur la photo récente on devine seulement un angle du bâtiment Eau de Cologne que l'on perçoit largement sur celle de 1959.
Publié :
vendredi 15 mai 2015 à 16h41
Exact, et bien vu ! Ce qui m'a trompé est le bâtiment "Eau de Cologne" qui a changé, soit en totalité, soit qu'il ait simplement perdu cette réclame de toit. Le bâtiment dans le coin supérieur droit est celui de la WDR ; il n'a pas changé, non plus que celui qui lui fait face.
J'aurais dû me munir de mes photos d'époque. Même ainsi je n'aurais sans doute pas retrouvé le même point de vue, j'avais dû en effet me pencher un tout petit peu au-delà du garde-fou. Là, j'étais au moins à 50 cm. en retrait. Et à l'époque j'étais seul, ou presque, sur la tour, alors que l'autre jour il fallait se frayer un chemin entre les perches à selfies.
avant avant, et avant
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vendredi 29 mai 2015 à 7h54
J'ai retrouvé ceci dans mes archives.
Il faut encore attendre pour
après, mais le résultat à venir ne m'emballe
a priori pas.
Publié :
vendredi 29 mai 2015 à 8h29
Moi non plus, il ne m'emballe pas
Publié :
vendredi 29 mai 2015 à 13h44
Moi non plus
Arles, dans les ateliers SNCF
Publié :
mercredi 9 septembre 2015 à 14h54
2007
2015
Publié :
mercredi 9 septembre 2015 à 15h20
Je ne connaissais que l'état 2007.
Je ne trouve pas l'état 2015 très gracieux.
Publié :
mercredi 9 septembre 2015 à 15h54
Aurai-je mal cadré ?
Publié :
mercredi 9 septembre 2015 à 16h30
Tu as raison, cette impression doit venir de ton mauvais cadrage.
Publié :
mercredi 9 septembre 2015 à 21h27
Mea culpa.
L'année prochaine, à Arles, je me vois
soit exposer mon travail sur le signifiant des chaises:
soit les utiliser pour surveiller les expositions des autres:
si toutefois les petits cochons ne me mangent pas.
Publié :
jeudi 10 septembre 2015 à 7h03
Le con-cept de la chaise de droite, retournée, décalée par rapport aux autres, comme mise hors du jeu et cependant baignant tout de même dans la lumière continuant de lui offrir le droit à son ombre, comme ses sœurs voisines et que l'on imagine cependant différentes, a quelque chose de boulversifiant. J'y vois comme une représentation métaphorique d'une certaine exclusion voire, qui sait, de la difficulté d'accueillir l'autre, trop différent. Quant à ta géniale posture, quasi romaine pour ne pas dire impériale, elle a un je ne sais quoi de sérénité apaisée, presque au poil (aux pattes) amplifié par cette divine ombre canard jusqu'alors, à mon avis, jamais mise en évidence et avec autant de talent. C'est vraiment du lard, faute d'être du cochon.
Publié :
jeudi 10 septembre 2015 à 7h46
Que serait lard-tiste sans un critique talentueux ?