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Je n'arrive pas à me décider à la prise de vue numérique.
Je comprends que l'on n'arrive pas à se décider à la prise de vue numérique.
La dématérialisation n'est pas pour rien dans ma longue hésitation.
J'ai fini par m'y diriger, devant bien admettre que la pratique est devenue, pour la plupart d'entre nous, numérique : nous numérisons nos films ou tirages, que ce soit pour des pratiques comme celles des forums et de la publication sur internet (tellement agréable et joyeuse), mais aussi pour le travail.
Dans un premier temps, je numérisais des tirages pour illustrer mes travaux ; puis je me suis mis à numériser directement les films.
Passer au capteur dès la prise de vue était logique, et tellement pratique !
De plus, la qualité pure, puisque c'est l'objet de la discussion, est tellement étonnante.
Pourtant, je continue à aimer trier et explorer longuement des paquets de films.
Je ne sais pas très bien l'expliquer. Je fais donc les deux, qu'il s'agisse du travail ou du plaisir pur.
Pour les pratiques bizarres, j'y joue parfois, et surtout, je vous regarde faire, avec curiosité, surtout lorsque parfois, les résultats semblent plus stimulants, plus créatifs, et même parfois, malgré ou à cause de la qualité basse, plus intéressant…
Tout ceci est bien curieux.
Nous cherchons tous, manifestement, à comprendre le rôle du support dans nos pratiques.