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25 message(s)
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Aujourd'hui, bravant les grèves, je me suis levée à l'aube pour vous rapporter cette petite série parisienne...
Elle sera sans paroles... 
iPhone + shake-it |
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Formidable Marielle ! 
Il faut continuer dans ce sens. |
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Je me trompais pas, du carré formidable  L'idée d'un univers infini me rend fou |
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L'ensemble est Super, et j'aime bien la première.
Quant au Vittel, c'est une affaire de goût, si tant est que ça ait du goût. "Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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Toujours aussi photographe, notre Marielle  |
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Oui, je ne sais pas comment elle fait 
Concernant l'eau de Vittel, c'est vraiment pas bon en effet, ce qui prouve que l'eau a bien un goût. Je préfère l'eau du robinet. |
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Cette série est réussie
J'aime les séries et là je suis comblé Continue Marielle |
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Merci pour vos remarques !
J'aime vraiment m'amuser avec mon iPhone, et je fais donc ces photos plus par jeu qu'autre chose. De plus, la transformation par le petit logiciel shake-it me ravit (sans ce logiciel "pola", les photos seraient d'une banalité sans nom...): les photos prennent des couleurs excessives, et j'essaie désormais d'anticiper le rendu en cadrant plus ou moins telle ou telle couleur dans le champ. D'où le choix de la bouteille de Vittel avec son bouchon rouge  |
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| Édité 1 fois par marielle vendredi 25 juin 2010 à 18h02 | ||
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Il fallait quand-même, au départ, avoir l'idée incroyable d'en boire… alors que le vin existe, c'est incompréhensible. | |
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C'était de l'anticipation photographique  ...
(ils n'avaient que du vin blanc... pour les couleurs, ça n'allait pas ) |
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C'est donc pour faire joli |
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Cette série est excellente, sauf sur la dernière où je perds le fil de l'histoire.
Je vais de ce pas essayer ce shake it... |
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La dernière ?
Je suis seule, attablée en plein soleil. J'attends... Je regarde autour de moi : il fait beau, je suis à Paris... |
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J'arriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ve |
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Génial cette petite série | |
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Dis Marielle tu n'aurais pas des actions chez apple, car tu me donnes envie d'acheter ce iFaune 
Non je sais, c'est la Marielle touch qui fait toute la différence car elle sait de toute évidence traduire photographiquement "les temps faibles" de la vie  PeppinOMeccanicOPeppinOMeccanicOPeppinOMeccanicO |
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Autre petite série parisienne, à l'Hips-iFauto, toujours sans paroles. 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 |
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J'aime bien regarder ces séries d'Iphoto |
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"marielle a écrit :Autre petite série parisienne, à l'Hips-iFauto, toujours sans paroles."
Hips Hips Hips Hourra ':wink:' BRAVO! mon tiercé dans l'ordre (de mes préférences oh combien subjectives, mais je les partage...) : 10, 2, 7 et le 4 pour numéro (omplémentaire Merci pour le partage de ces moments! |
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3, 10 et 14 sont mes préférées |
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Ce type de photos est à l'opposé de ce que j'imagine être la photo, ou de ce qu'elle est pour moi, que ce soit celles-ci, ou celles de Jacques, pote, présentées dans ses galeries Bribes et autres Vieilles bribes.
Et pourtant, je ne me lasse pas de les regarder, car elles me racontent des histoires, et souvent, m'épatent par leurs cadrages et leur densité. Ces cadrages sont obtenus de manière plutôt aléatoire, avec un instrument sans viseur accouplé à un logiciel vicieux qui recadre, et les couleurs sont tout sauf équilibrées. Seraient-elles les mêmes si elles étaient soignées, si leur traitement était rationnel ? Raconteraient-elles la même chose ? La mauvaise qualité ainsi revendiquée leur donne-t-elle un supplément, ou n'a-t-elle aucune importance ? Si elle n'a pas d'importance, pourquoi ce choix ? Maintenant un peu habitué aux sites de photographie, où l'on ne voit pas la même chose que ce qui est publié sur papier par les éditeurs, je peux dire avoir vu beaucoup de séries faites un peu au hasard, parfois avec d'excellents appareils photographiques. La plupart du temps, ces séries ne me convainquent pas du tout, contrairement à celles de Jacques (notre pote) et de Marielle (la Diva), et je me demande si ce n'est pas justement à cause du matériel, qui ne serait pas en adéquation avec l'objet : en affirmant le côté techniquement bricolé de ces photos, on amènerait le spectateur à en accepter les imperfections (tangage des horizons, distorsions de systèmes optiques simplifiés), pour mieux en regarder la substance, ce qui est montré. En bref, si l'un ou l'autre se livrait au même exercice de notations rapides avec un bon appareil photo, et que les clichés étaient ensuite traités de manière exigente et professionnelle, probablement bon nombre de ces images serait écarté, car ne pouvant répondre aux critères plus ou moins objectifs d'une bonne photo : l'éclairage serait à revoir, l'angle de prise de vue aurait mérité d'être un peu différent, le contre-jour génèrerait une impossibilité d'avoir de belles matières, etc. Avec du matériel conventionnel, peut-être seul le noir et blanc permet-il cette sorte de nonchalance ? Peut-être aussi se peut-il que la bonne qualité photographique conventionnelle soit plus adaptée au documentaire, et qu'elle soit lassante en tant que telle, par son objectivité (trompeuse). Ainsi, une distance est créée ; elle l'est par le hasard et la moulinette d'une technologie automatique, comme elle aurait pu l'être par un long travail rationnel, qu'il soit de même type que celui de BascoulDido (que pas mal connaissent ici), ou plutôt comme celui de Sieff. |
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Remarquable analyse charpentée comme il se doit d'arguments démonstratifs que je partage en grande partie.
J'aime aussi beaucoup ces "petites" séries qui, mine de rien, excitent davantage notre regard que la fréquentation de sites aux talents nombreux et affirmés mais qui, du moins en ce qui me concerne, finissent par me lasser l’œil. La recherche de la perfectitude (qui n'est pas un tort en soi) dans des noirs et blancs de plus en plus tchaoupinés pour nous faire à croire qu'ils égalent le travail autrefois réalisé au labo dans les bacs, nous berce doucement dans une consommation frénétique d'images qui succèdent aux images ... le tout éclaboussé par des compliments souvent mérités mais aussi, quelques fois, devenus lassant. Et qui nous me rendent fainéants Ces petites séries faites au "n'importe quoi" sont réjouissantes en ce sens qu'elles opèrent comme de véritables petits blocs-notes et n'est-ce pas là finalement un but que nous partageons, rapporter des images qui sauront fidèlement dire à un plus grand nombre ce qu'il nous a plu de voir, de traverser, de fréquenter, de partager... sans se "prendre la tête" et dans la bonne humeur. De là à jeter les coûteux boitiers et objectifs ... il y a pas loin ! Mais c'est aussi un talent, une sensibilité, une façon de voir la vie qui sans doute nous rappelle également nos grands maîtres dont les photos traînent dans nos mémoires, voire nos inconscients. Bravo donc à ceux qui l'exercent ici ou ailleurs ... |
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Plus haut dans cette page, PeppinOMeccanicO parlait de traduire "les temps faibles" de la vie ; c'est tout à fait cela, l'expression est excellente. PeppinO le fait aussi fort bien, comme Jacques, P, et chacun à sa manière reconnaissable. | |
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J'aime bien ces petites séries, images de la vie ou de scènes de vie!
C'est plus facile avec un ifaune, surtout grâce sa petitesse et sa disponibilité étant donné qu'il fait parti de nos habitudes aujourd'hui. Sa légèreté, son faible encombrement et sa bonne qualité technique en font un presque véritable outil photographique. Tout comme on voit certains éminents photographes utiliser des apn. Alors que NIKON sort son D4 et son D800, cette idée de minimiser les outils est surprenante! Il apparait dans son utilisation, comme bloc-notes ou appareil à plein temps
Nous avons, du moins quelques uns, des a-prioris, il nous faut peut-être oublier ou mettre de côté notre idée de la photographie ( noir et blanc ) tout en continuant à utiliser nos appareils argentiques
( j'ai bien compris, Laurent, que tu ne compare pas le travail ( excellent ) à l'immense talent de SIEFF ) |
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J'aime utiliser mon téléphone pour photographier essentiellement pour m'amuser.
En aucune manière, cela ne remplace ce que j'aime faire avec de beaux appareils argentiques, de belles photos léchées en N&B (ou en tous cas que je souhaite belles) comme récemment avec l'Hasselblad. C'est une attitude différente, apparentée à un jeu, par ce qu'il a d'aléatoire (recadrage carré d'une image vue rectangulaire, transformation des couleurs et du rendu par le petit logiciel intégré) et d'incontrôlé. Je dirais presque qu'elle reflète un état d'esprit léger d'instantanéité et d'inutilité. Peut-être m'en lasserai-je un jour. Ces petites séries (comme j'ai pu aussi en faire lors de mon dernier périple germanique) sont souvent le résultat d'une (ou plusieurs) journées d'excitation photographique, durant lesquelles j'ai vidé dans la journée la batterie de mon téléphone en prenant des multitudes de photos inutiles aussitôt effacées. Comme un bloc-notes où je griffonnerais en permanence du rien. Et parfois, une image rigolote, ou parlante, en sort, et me plait. Ce qui est totalement à l'opposé du sérieux que je mets dans les photos faites en argentique. C'est sans doute ce qui me met un peu en porte-à-faux lorsque je photographie avec un bon appareil numérique comme le D700 : j'oscille entre le jeu, l'instantanéité, l'inutilité (déclencher pour rigoler, pour voir, et effacer) et le sérieux de la belle et grande photo que je rêve de faire. Alors peut-être que le matériel qui me convient vraiment est justement l'association du polaïFaune couplé à l'Hasselblad austère ? |
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