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La Pommeraie
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Quel producteur, pour le cidre ? | |
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Boudin au pomme, pour le cidre, je ne suis pas connaisseur Pas belle la vie | |
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marielle a écrit :
Quel producteur, pour le cidre ? Guy Couvé, avec nos pommes. Producteur privé. Autrefois, nous faisions le cidre avec notre broyeur Catherine de Rouen et le pressoir à cliquet. Transporté au cellier dans les brocs à cidre en bois. |
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paga a écrit :
Je n'avais pas vu cette jolie petite décapotable ! Tu devrais faire ami-ami avec ton voisin pour qu'il te la prête. |
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hédoniste nihiliste |
Nous ne sommes pas exactement voisins, je passais par là, cette voiture aussi, j'ignore où elle habite exactement | |
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Il est vrai qu'une jolie petite décapotable c'est bien pratique pour transporter le sapin de Noël | |
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J'ai préféré me spécialiser dans les phares.. | |
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Les phares de décapotables ? "Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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hédoniste nihiliste |
Non, il me semble qu'il s'agit des phares de bord de mer ou d'océan!
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Le Père Noël de mon enfance |
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hédoniste nihiliste |
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C'est dans pas longtemps...
Souriront-ils ce jour là ? Beaux portraits d'enfants, comme tu les fais généralement. Tu dois les aimer, peut-être plus que la photographie. Concernant la photographie, on voit que tu as utilisé un bel engin tout neuf et tout beau. Je suis gêné un peu par les modelés et la lumière. Bien que la photochimie produise une image dont on admet qu'elle repose sur des conventions, et que ces conventions nous soient devenues habituelles, il est une chose qu'elle ne peut modifier : l'étagement régulier des valeurs depuis le noir vers le blanc. Elle peut les comprimer, ou les étaler, avec l'utilisation de contrastes plus ou moins forts, et d'ailleurs, suivant les périodes, les modes changent. Gris à l'infini au milieu du siècle, contrastes et grain dans les années 70... Mais il est une constante qu'on ne peut pas modifier, c'est cet étagement. En revanche, les traitements numériques jouent de ceci à outrance, donnant l'illusion d'avoir plus de modelés et de densité. Ils permettent même d'inverser des valeurs. Mais à mon avis (et mon goût) c'est trop, à deux titres :
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Mais il est une constante qu'on ne peut pas modifier, c'est cet étagement. En revanche, les traitements numériques jouent de ceci à outrance, donnant l'illusion d'avoir plus de modelés et de densité. Ils permettent même d'inverser des valeurs. Houlà ! J'en apprends des choses ces temps ci ! Même si, après une première opération de la cataracte, l'écran de l'ordinateur affiche des gris différents selon l'un ou l'autre œil … Indépendamment de son calibrage non calibré ! Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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insoL
J'en apprends des choses ces temps ci Il ne faut pas prendre pour argent comptant tout ce que peut dire Coignet. Son moniteur n'est peut-être pas très bien calibré non plus Je lui conseille de lire : P. Glafkidès, Chimie et physique photographiques, Usine nouvelle, Paris, 1987. Sérieusement, ces deux photos sont très belles. |
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hédoniste nihiliste |
Ah, les goûts et les noir et blancs... rien de tel qu'un tirage vous me direz, mais a l'écran on peut voir ça: Les flous en arrière plan ne sont pas tellement liés à la technologie du capteur mais plutôt à l'optique très très ouverte... |
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Très bon Noël à tes beaux enfants ( même s'ils boudent ! ) | |
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Le sourire va très bientôt revenir sur le visage des enfants de Paga
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coignet a écrit :
Bien que la photochimie produise une image dont on admet qu'elle repose sur des conventions, et que ces conventions nous soient devenues habituelles, il est une chose qu'elle ne peut modifier : l'étagement régulier des valeurs depuis le noir vers le blanc. Elle peut les comprimer, ou les étaler, avec l'utilisation de contrastes plus ou moins forts, et d'ailleurs, suivant les périodes, les modes changent. Gris à l'infini au milieu du siècle, contrastes et grain dans les années 70... Mais il est une constante qu'on ne peut pas modifier, c'est cet étagement. En revanche, les traitements numériques jouent de ceci à outrance, donnant l'illusion d'avoir plus de modelés et de densité. Ils permettent même d'inverser des valeurs. La réponse du film (densité) à l'éclairement est une sigmoïde qui a deux asymptotes hautes et basses (la saturation - noir total sur le film et l'absence de réaction - blanc total), seule la partie intermédiaire est à peu près linéaire - sa pente est le gamma du développement. Un fichier numérique est en principe linéaire sur toute son étendue. Je n'ai jamais pu savoir comment il était traité pour générer un pseudo-gamma et donc une image lisible par l'oeil. Les seuls fichiers bruts (raw) que j'ai vu affichés sans génération d'un gamma sont les fichiers raw de Vuescan, très sombres et illisibles, mais générés par le scan d'un film argentique à la réponse sigmoïde. Le N&B numérique est un N&B "différent". Ce qui est un peu vain dans l'exercice est que ce sont les valeurs restituées par le moniteur lors de l'affichage sur écran qui déterminent le rendu : il y a donc autant que de spectateurs de l'image. La même remarque (diversités de rendus) vaut pour le tirage papier à la différence que c'est alors le tireur/photograhe qui choisit "une fois pour toute" l'étagement des valeurs (avec re-sigmoïde cette fois du papier). Il faut donc distinguer la photo en tant que prise de vue de la photo en tant qu'objet décoratif. |
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hédoniste nihiliste |
Un avantage du tirage papier c'est qu'on a difficilement accès aux EXIF, ce qui permet de se concentrer sur l'esthétique | |
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paga a écrit :
Un avantage du tirage papier c'est qu'on a difficilement accès aux EXIF, ce qui permet de se concentrer sur l'esthétique Et vice-versa |
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hédoniste nihiliste |
Dimanche, je suis resté à l'ouest la plupart du temps. Bon début de semaine à tous les Pirates!
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en visite : CCbotte et 2 invité(s) |