Finalement je ne regrette pas d’avoir posté cette photo con. Elle me vaut deux prestigieuses réactions qui dissimulent, je l’imagine, des centaines d’autres mais restées tellement interloquées qu’elles auront préféré rester muettes …
Une fois encore il faut reconnaître que rien (ou si peu) n’échappe à la sagacité du taulier qui aura, en partie, déchiffré cette connerie. Il faut bien également avouer qu’il a sans doute pour avantage d’être plus fortement concerné en ce moment par la couleur de l’actualité qui lui aura fait reconnaître le rouge si habilement portée par nos amis bretons, comme signe de leur révolte contre l’usine à gaz issue des cartons du précédent gouvernement pour venir exploser à la figure de l’actuel qui n’avait pas besoin de cela !!!
À décharge pour notre cousin d’Amérique qu’il a, pour lui, une vision plus affinée du monde mais souvent en noir et blanc …
Pour être complètement précis sur la
connerie en référence, il s’agit bien de la une d’un journal (le JDD de ce dimanche 27 octobre) que j’avais glissé dans le petit appareil à ressort fixé sur la tablette qui fait office de repose tout lors de nos merveilleux voyages en TGV et qu’il faut systématiquement redresser à chaque fois qu’il est nécessaire de se lever, soit pour aller aux toilettes en espérant qu’elles seront restées dans l’état où on aimerait bien les trouver, soit pour laisser passer la dame d’à côté qui va à la voiture 4 pour chercher un café qu’elle viendra déguster, pas forcément avec élégance, en embaumant tout le wagon … alors qu’elle aurait très bien pu le boire au bar. J’en ai profité pour me faire la remarque suivante : à quoi bon retenir ainsi son journal puisque, à moins que le train ne fasse un, voire plusieurs tonneaux, il y a peu de chance de le voir valser dans le wagon …
C’est donc la note de 13/20 que j’attribue à Coignet ce qui a pour mérite de lui permettre de revenir en deuxième semaine et, pourquoi pas, d’aller jusqu’en finale.
Comme quoi, à propos d’une connerie, on peut également en écrire de nombreuses …
Le Creuzot - 4 minutes d'arrêt