Le Pirate

Bs As, aux premiers rayons de soleil.



téléphone portable nokia

Un jour gris à Sées, dans l'Orne.

J'aime ce gris

Oui!...moi aussi!





M6 cron 40 et tri x

Ça c'est de la composition

La cerise sur la gateau c'est le monsieur en haut a gauche...

Jusqu'à présent, je pensais que le talent de bedojo excellait dans la représentation du « vide » mais ici, le « vide » s'anime !

Comme dirait le chef : .

Bedojo a déclenché vraiment au bon moment, chacun des quatre personnages paraissant dans l'attitude ou la position idéale pour cette image

Samedi enrhumé, alors je reste à la maison et je rêve...

Il y a aussi la Vosgienne

samedi soir, avant d'acheter quelques huitres chez le producteur.

J'ai des amis qui ont passé le WE vers Denneville. Ils m'ont dit n'avoir vu personne, si ce n'est un seul tracteur sur la plage.
C'était donc toi !

Quel bel endroit (et quelle chouette photo !)

La fabrication des gâteaux de Noël reste une tradition bien ancrée dans notre région. Depuis l'année dernière, nous nous retrouvons entre amis pour une journée "Gâteaux de Noël" plutôt que de réaliser des gâteaux chacun chez soi. Le tout, bien évidemment, dans la bonne humeur et avec un repas pour finir la journée.

Mmmm !

Promenade du jour au cimetière du Montparnasse.

La photo du jour est donc faite un samedi. Deux hommages : Gisèle Freund, tout d'abord...





Puis, trouvée par hasard dans un coin sombre, une tombe qui semble - ne serait-ce ce pot de fleurs - oubliée... Je n'oublie pas "Jeanne Dielman..."




Ces images sont bien entendu du faux noir et blanc, comme le vénère Coignet

Je n'oublie pas Delphine Seyrig, et lui avais rendu visite il y a quelques mois.
C'est vrai qu'elle ne semble pas recevoir beaucoup de visites, et que son installation est aussi discrète que modeste.

Et moi...la fée de Peau d'âne, d'une part, et le témoin au procès de Bobigny d'autre part.

Peu de temps après avoir vu Peau d'âne avec ma fille Delphine quand elle devait avoir 5 ou 6 ans, nous étions allées lui rendre hommage au cimetière du Montparnasse, devant cette tombe toute simple le long du mur d'enceinte. Le fait qu'elle porte le même prénom que la fée du film était d'une immense importance pour elle. Et en a toujours aujourd'hui (plus pour la fée, mais pour Delphine Seyrig elle-même).

Très récemment, j'ai lu in extenso la sténotypie complète du procès de Bobigny. L'intervention de Delphine Seyrig y est séchante, implacable. Un plaidoyer féministe magnifique.

Elle mérite qu'on ne l'oublie pas !

Tiens, je suis justement en train de lire " Le monde et ma caméra " de Gisèle Freund.
Elle a vécu quelques années en Argentine, les années 40 et le début des années 50.
Une vie intéressante.

Samedi dernier, boulevard Saint-Michel, une manifestation a eu lieu, ponctuée de nombreuses stations dont certaines étaient destinées à repousser Satan de la direction du pays.

Je m'incline devant la composition en croix de cette seconde photo .

Voir l'enfance manipulée est une souffrance, d'une certaine façon je suis d'accord: satan existe......

(surprenant voire choquant, mon correcteur d'orthographe m'indique une faute si je ne mets pas de majuscule à satan ....)