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Après une semaine passée parmi eux, voici quelques portraits d'enfants bédouins de la tribu des Gebelias du Sinaï.
Nos trois jeunes accompagnateurs, apprentis-chameliers, qui alternent école et randonnées : Ahmed, 15 ans Souleiman 13 ans Saleh, 12 ans Id, chef chamelier, 23 ans. Il se marie dans 2 mois Deux frères rencontrés dans un village des montagnes |
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Très beaux portraits, Marielle  Le dernier a les joues brûlées par le soleil ? Comme j'aimerais y aller  |
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J'adhère complètement, portraits d'enfants spontanés, encore  L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Les enfants, quelque soit le pays, sont spontanés et de fait toujours très photogéniques.
Ces photos en noir et blanc me surprennent par la luminosité qu'elles diffusent |
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Leurs regards pourraient être ceux d'hommes déjà bien marqués... Coin. |
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Tout est relatif, point de vue très occidental  L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Très sympa!
Le portrait de Saleh est le plus réussi de la série (a mon avis) dans des conditions de lumières pas toujours faciles. Mais que faisait Diva dans le Sinai? Nous attendons la suite... |
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Souriceau lurkant
Leurs regards pourraient être ceux d'hommes déjà bien marqués... Au fil des jours, nous les avons vus vivre, avec des sourires d'enfants, comme tous les enfants du monde. Ensemble, ils riaient, faisaient la course sur leurs chameaux comme d'autres sur leurs vélos. Le petit Saleh, un matin, a eu un joli geste d'enfant : alors qu'il venait d'arnacher son dromadaire, faire la vaisselle, et ranger sa couchette comme les adultes autour de lui, il a sorti de sa poche un lance-pierre, comme un jouet secret, un trésor, et a vérifié son fonctionnement, puis il l'a remis avec un joli sourire dans sa poche. Ahmed, qui parle un peu anglais m'a dit, un grand sourire aux lèvres : "plus tard, ce que je veux faire, ce n'est pas docteur, ni rien comme ça : ce que je veux faire, c'est ça (en montrant le campement, le feu, les chameaux), parce que j'aime la vie comme ça". |
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Merci, Marielle  Coin. |
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j'adore ta série.... | |
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J'aimerai bien travailler sur deux ou trois portraits de cette série Ce type d'images me touche vraiment. L'idée d'un univers infini me rend fou |
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