Bonjour,
Je me suis inscrit pour pouvoir écrire ce message
.
Lecteur occasionnellement fréquent, ou fréquemment occasionnel
, de ce site, je ne suis certes pas venu beaucoup cet été, et il a pu m'échapper tout un pan de discussion, en particulier les doutes du taulier que révèlent le message de début juin.
J'avoue que je n'avais même pas clairement réalisé que le Pirate était devenu le Picdel (je croyais que c'était une identité temporaire des tauliers, destinée à des présentations particulières, sorte de parenthèse dans une aventure dont, encore une fois, je n'ai pas suivi toutes les étapes).
Mais, Pirate ou Picdel, mon favori n'en a pas perdu sa boussole : il m'amène toujours sur la page des derniers messages du forum.
Donc, quand mon précédent passage est par trop ancien, je n'ai aucune idée de ce qui s'est passé entre temps.
Dès lors, quitte à jouer les hurons ou les persans en goguette, autant y aller à fond
:
Je crois que vous êtes tellement exigeants avec vous-mêmes que vous oubliez tout l'apport que vous réalisez.
Donc, si vos dernières aventures n'ont pas recueilli beaucoup de commentaires, ce n'est pas nécessairement qu'elles manquent d'intérêt, ou qu'elles révèlent la lassitude du cénacle que vous animez : c'est peut-être, plus simplement, que tout le monde n'arrive pas à suivre votre rythme, faute d'avoir votre engagement.
Je conçois fort bien ce que le manque d'implication des suiveurs peut avoir de frustrants pour vous, mais vous devriez prendre en compte l'existence de lecteurs passifs qui se marrent bien à vous lire, apprennent plein de choses, se sentent portés par votre enthousiasme au point que, peut être, un jour, il finiront par surmonter le complexe de l'impublié et poster autre chose que du texte ...
La liberté que vous manifestez à surmonter les contraintes de l'animation de ce site et à publier vos aventures est contagieuse.
Laissez-là se propager, même si vous n'en savez pas tous les effets ...
Bon, j'arrête là parce que, pour un message écrit sous le coup de l'émotion, ça fait un peu long.
Mais je n'en pense pas moins
.