le Pirate Forum

Ce fut pâtes, Pennes Panzani, 3 minutes. :-)
  • Message par paga, dimanche 13 novembre 2011 à 0h50
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hédoniste nihiliste
danyves a écrit :
J'ajoute ce livre sulfureux sur la génèse de la FED, et qui fut brûlé par décision de justice aux Etats-Unis :
/.../


J'en doute fortement, on appellerait ce genre de declaration (marketing) tout simplement 'complete bullshit' :mg:

paga a écrit :
danyves a écrit :
J'ajoute ce livre sulfureux sur la génèse de la FED, et qui fut brûlé par décision de justice aux Etats-Unis :
/.../


J'en doute fortement, on appellerait ce genre de declaration (marketing) tout simplement 'complete bullshit' :mg:


Oui, mea culpa, c'est ce dont j'ai pris conscience en y regardant de plus près. Voir mes edits dans le post initial.

Ezra Pound comme référent posait quand même problème.

Néanmoins les faits sont -pas tout le temps, ainsi pour Edith Cavell- exact, si l'interprétation de causalité est souvent disons quelque peu suspecte ou douteuse, le passage sur Ivar Kruger est éclairant sur ce qui se passe de nos jours , voir le wiki pour


Ivar_Kreuger

Autour des années 20 et du crack de 29. Long wiki en anglais.

Sur la Crise si médiatisée :



Parallèle croissant entre AIG & la Grèce et le maître marionnettiste des CDS Goldman derrière.


Il y a plus d'un an :

How Goldman Sachs Helped Greece to Mask its True Debt
    goldman sachs = source of all evils?
  • Message par paga, jeudi 17 novembre 2011 à 0h45
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hédoniste nihiliste
La théorie du complot diabolique mondial... quand tout part en vrille on pointe du doigt vers ceux qui ont l'air de s'en tirer mieux que les autres... :roll:
Vue l'histoire du siècle dernier je pensais que c'était un réflexe Chrétien, mais en fait aujourd'hui je pense que c'est juste dans la nature humaine.

En attendant, puisqu'on parle de pognon... voir par ici pour un peu d'art a base d'argent :gaga:

A refaire avec des 20$ US ! :-)

En attendant pour retrouver un peu de sérénité :

http://www.leap2020.eu/Crise-systemique ... a7619.html

  
Merci Danyves je vais m'endormir sereinement !
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"

Crises Financières et Réseaux Neuronaux

Pas le temps malheureusement d'aller y voir de plus près.

Usage pratique tout relatif
    danyves, merci mais on connait déjà tous google
  • Message par paga, mardi 29 novembre 2011 à 3h28
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hédoniste nihiliste
J'ai pas mal étudié dans le temps, quand j'étais plus smart en maths, avant de grandir et devenir manager, bon nombre de techniques de data-mining... et ça ne marche vraiment bien qu'a posteriori, en particulier pour la prediction des événements rares du type "black swan" sur les marchés. Les seuls cas où je me permets d'utiliser des outils de ce genre sont pour des mesures de données micro-économiques (par opposition à macro) très spécifiques (du genre vitesse de prepayments de mortgages), à tres court terme, et si possible dans des cas plutots deterministiques (du genre qui suivent des lois de la physiques bien établies et non pas les lois de l'economie en général avec toutes les idiosyncrasies polotico dramatico saisonnales et bancales de modèles de comportements humains douteux). Les prévisions à long terme c'est aussi mauvais que l'astrologie en pratique quand on introduit des modèles à haut degrés de complexités, multifacteurs et purement stochastiques... en tout cas dans mon domaine (les taux d'intérêts).

Bonne nuit Danyves, bonne nuit les pirates :bise:

A lire cet historique :

Les Crises Financières
    en deux mots?
  • Message par paga, mardi 29 novembre 2011 à 16h44
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hédoniste nihiliste
405 pages le rapport!!!! Danyves tu me fais l'executive summary?! :gaga2:
    Rep : en deux mots?

paga a écrit :
405 pages le rapport!!!! Danyves tu me fais l'executive summary?! :gaga2:


Ouvre dans Adobe Reader, Résumé et Summary à la fin. Ou Aperçu sur Mac.


Première page du Résumé :

Résumé

La répétition de crises financières majeures, l’ampleur et le caractère souvent surprenant des phénomènes de contagion, les difficultés de préven- tion de leur occurrence et d’anticipation de leur forme, leur coût souvent considérable pour les budgets publics comme pour la croissance et le déve- loppement des inégalités, autant de facteurs qui expliquent l’intérêt renou- velé tant des théoriciens que des praticiens pour l’analyse de la fragilité financière et les risques de crise systémique.

Dans un premier temps, les économistes ont imaginé une succession de modèles décrivant respectivement les crises de change latino-américaines, l’instabilité des taux de change liée à des prophéties autoréalisatrices à pro- pos de la viabilité de l’intégration monétaire européenne, puis les doubles crises bancaires et de change après 1997 pour cerner la rupture intervenue dans les pays du sud-est asiatique. La multiplication des travaux de toute nature (historiques, empiriques sur données de panel, théoriques en termes de formalisation) permet en fait la mise en évidence d’un petit nombre de mécanismes invariants qui sont à l’origine des crises.

Le plus important, tant pour le crédit bancaire que sur les marchés finan- ciers, tient au caractère procyclique de la prise de risque : les agents ont tendance à prendre d’autant plus de risques que la conjoncture est bonne. Un second facteur propage d’un marché à l’autre les déséquilibres apparus sur l’un d’entre eux : c’est la facilité d’accès au crédit qui affecte l’alloca- tion de la quasi-totalité des actifs, et explique la contagion d’un marché à l’autre à travers un mécanisme de type accélérateur financier. Étant donné l’interdépendance accrue des marchés financiers, les emballements spé- culatifs se diffusent d’un pays à l’autre, alors qu’ils peuvent être fort dis- tants l’un de l’autre mais reliés par l’arbitrage des agents financiers. Enfin, même si la théorie des choix rationnels peut rendre compte de l’émergence de fragilités financières, les évidences historiques et empiriques suggèrent que les emballements spéculatifs sont aggravés par les phénomènes de mi- métisme, de perte de mémoire des précédents épisodes de crise ou encore d’excessive confiance en ses propres choix par rapport aux autres acteurs du marché, sans oublier l’aveuglement au désastre qui marque la fin des périodes spéculatives.
LES CRISES FINANCIÈRES

De la crise et de Goldman Sachs et les autres :


http://blip.tv/syti/goldman-sachs-les-nouveaux-maîtres-du-monde-5752871


Chris Hedges qui apparait à la fin du film. Son livre, l' Empire des Illusions


    composer avec plus fort que soi
  • Message par paga, samedi 3 décembre 2011 à 1h52
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hédoniste nihiliste
danyves a écrit :
De la crise et de Goldman Sachs et les autres :


http://blip.tv/syti/goldman-sachs-les-nouveaux-maîtres-du-monde-5752871

/.../


C'est l'époque du blame game :huhu:

Le ponpon c'est le générique de fin qui fait vachement peur (a regarder en écoutant Wagner): :marteau: :vuz: :vuz: :vuz: :vuz:



L'autre blame game reprend du poil de la bête :(


PS: Valery :roll: :mg:
  • Message par HB, samedi 3 décembre 2011 à 11h28
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Belle bande blanche ( à ne pas franchir :wink: )
On ne peut pas demander au Figaro d'avoir un discours neutre, surtout pour ce sujet :shock2:
    Rep : composer avec plus fort que soi

  
paga a écrit :
…/… le générique de fin qui fait vachement peur (a regarder en écoutant Wagner) …/…


Pour écouter Die Walküre, il y a la prise de son Pirate en direct faite à l'ailfaune à Vienne le 6 novembre :gaga:

[son_pi]10014/Die_Walkure_3.mp3[/son]

mais choisir Furtwängler est signe d'un goût très sûr :salue
  • Message par paga, samedi 3 décembre 2011 à 13h51
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hédoniste nihiliste
HB a écrit :
Belle bande blanche ( à ne pas franchir :wink: )
On ne peut pas demander au Figaro d'avoir un discours neutre, surtout pour ce sujet :shock2:


Aucun des intervenants dans les reportages et articles ci-dessus n'est ni neutre ni bien informé...
A propos du discours anti allemand, LeFigaro n'est pas le seul à en parler malheureusement :(


PS: merci chef pour le rappel de comment incorporer le son à l'image :salue

  
Ces discours anti-allemands me désolent.
Ils trouvent certainement leur origine bien loin dans notre histoire, lorsque nos grands-parents et arrières-grands-parents étaient éduqués à détester l'Allemagne.
La richesse de notre vocabulaire fleuri déclinant Almoches, Alboches, Boches, Fritz, Frisés et autres Schleus, montre ce contre quoi il faut se prémunir pour éviter ces dérapages stupides.
Je me souviens bien des commentaires courants au moment de la réunification, expliquant que ce peuple belliqueux (et discipliné) allait reconstruire la Grande Allemagne pour notre plus grand malheur ; je me souviens bien aussi des plaisanteries courantes dans ma jeunesse, expliquant que les allemands, après être venus en panzer, revenaient nous coloniser en Mercedes.
Heureusement aussi, je me souviens des paroles rapportées par mon père évoquant le sien, disant pendant la guerre : "personne chez moi ne prononcera le mot Boche, le peuple allemand est un grand peuple et un peuple de culture".

Ici, sur le Pirate, on aime les autres peuples, même l'Allemagne, et ce qu'elle produit…




:el:





:huhu:      :arrow:      :arrow2:
    misérabilisme et populisme de tout poils
  • Message par paga, samedi 3 décembre 2011 à 15h48
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hédoniste nihiliste
Il y a aussi dans la culture (surtout latine ?) cette fâcheuse habitude de vouloir faire porter le blâme de ce qui ne tourne pas rond sur les forts, ou en tout cas sur ceux qui ont l'air de s'en tirer mieux que la moyenne, et de supposer par défaut que les faibles n'ont aucune responsabilité dans l'histoire (une fois qu'il est évident que ça va mal, structurellement, et parfois ça prend du temps)... puisqu'ils sont faibles ils sont forcéments les victimes des "forts".
La cigale et la fourmi, mais aussi les photos d'enfants exotiques du Népal vs les vilains occidentaux qui "consomment trop", et puis aussi les big bad banques [Goldman Sachs étant leur "leader"] vs le reste du monde, telle ou telle ethnie judéo-non-chrétienne vs les gens "comme nous", la Grèce vs l'Allemagne, Israéliens contre Palestiniens etc... avec sous-jacentes des théories de complot plus ou moins simplistes mais qui collent bien à telles ou telles phobies bien pré-digérées et entretenues au son du rabâchage médiatique assourdissant, au point qu'on ne réfléchisse plus du tout, une sorte de réflexe pavlovien : "ce mec a gagné de l'argent lorsque le marché s'est écroulé, forcement c'est de sa faute si le marche c'est écroulé", "les Palestiniens croupissent dans des camps, c'est forcement la faute d'Israël, les autres pays arabes ne peuvent pas être responsable, ils sont de leur coté puisqu'anti Israel", "et ces mignons petits enfants qui crèvent la dalle sur ces belles photos N&B, c'est quand même un peu de la faute de ces petits parisiens bien nourris qui consomment trop", "cet Allemagne forte qui exporte et qui épargne comme des malades, c'est de leur faute si la corruption est arrivée à bout de la capacité d'emprunter dans les PIGGS", "et à présent les Allemands ont le culot de réclamer des garanties afin de prêter d'avantage à ces pauvres pays en faillites, petits et faibles et totalement au bout du rouleau, des victimes des forts quoi"...

Logique implacable :roll: :roll: :roll:
    Rep : misérabilisme et populisme de tous poils

paga a écrit :
...Logique implacable :roll: :roll: :roll:
...et lucidité implacable. Merci pour cette petite tirade du samedi!
    Rep : Rep : misérabilisme et populisme de tous poils

  
Solange a écrit :
paga a écrit :
...Logique implacable :roll: :roll: :roll:
...et lucidité implacable. Merci pour cette petite tirade du samedi!


ça se discute tout de même.
Si l'analyse est logique, il est cependant nécessaire de s'interroger au préalable au sujet de la condition humaine : soit nous sommes des primates sociaux, et alors chacun a le devoir naturel de rechercher sans cesse son propre intérêt immédiat, dans les limites permises par la capacité des systèmes répressifs à l'en empêcher ; ou alors nous nous sentons investis d'une morale sinon supérieure, du moins différente, qui nous confère alors la responsabilité (au sens de H. Jonas, ou de Kant, ou de Platon, ou de Confucius, ou de ...) d'agir proportionnellement en quelque sorte, à notre capacité d'influer le cours naturel des choses. Ce que Jonas, précisément, définissais comme "le devoir, ce qui lie ensemble le savoir et le pouvoir".

De ce point de vue, les "forts" ont une responsabilité à proportion de leur pouvoir.

Et oui, le WASP occidental a un pouvoir d'agir qui dépasse celui de l'enfant du Darfour. Et pas seulement en valeur monétaire, car la nature humaine ne se monétise plus depuis l'abolition de l'esclavage - du moins la "presqu'abolition", devrais-je dire.

Et il est permis de s'interroger sur la responsabilité des bailleurs de fonds de la Grèce, qui n'ont pas jugé utile de vérifier la destination de la dette publique.
Quelqu'un qui fait des images ne peut pas être rassurant
Raymond Depardon, Errance

Flickr
    à qui profite le crime
  • Message par paga, dimanche 4 décembre 2011 à 14h03
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hédoniste nihiliste
Cher Jacques, ton analyse, comme d'habitude, est posée et très juste.

Mon propos n'est pas d'absoudre les dits "forts" de toutes responsabilités, mais de discuter spécifiquement ce qui se produit souvent de maniere binaire, le plus souvent en temps de crise, quand les forts sont systématiquement accusés de tricher, de truquer les cartes, ou pire d'être les seuls responsables de la crise en question et à pouvoir résoudre la crise, et devraient en conséquence en payer le prix fort, voir dans le cas des "banquiers"(*) être sévèrement punis et aller en prison. C'est ce phénomène spécifique que je discute, c'est ce qui me fait bondir dans la plupart des propos anti-Goldman Sachs ou anti-Allemagne(**) ou anti-Occident en general, par exemple dans le petit délire de Giscard dans le clip de Danyves ci-dessus ; (personnellement je ne pensais pas que Giscard disposait d'infos exclusives avant de voir ça, maintenant je pense qu'il est soit gâteux soit foncièrement malhonnête, peut-être les deux...)

Bref ce qui me fait réagir c'est la tendance populaire à chercher un complot central, quelques bouc-émissaires facilement identifiables, détestables et dont on pourrait être envieux (combien ils gagnent, leur maison près de Central-Park etc...) c'est le principe des "Protocoles des Sages de Sion". Du fait de leurs propres responsabilité qu'ils préféreraient dissimuler, ou de leur propre incompétence et impuissance face à ces crises, les hommes et les femmes politiques se régalent de ce genre de réactions et mécanismes populaires, la theorie du complot Juif n'étant pas une exclusivité des dictateurs ou du Tsar. Ce genre de méthode populiste est tentante, pour les medias (pas besoin d'enquêter tres longtemps, une semaine à New-York, les dirigeants de GS ne veulent pas me parler, ils cachent sûrement quelque chose) pour toute personne au pouvoir ou pas, ça permet de donner l'impression qu'on fait quelque chose pour régler le problème (en convoquant les dirigeants de Goldman à témoigner au Congrès Américain par exemple, ou quand en Europe on interdit les positions "shorts" sur certains titres) ; ça plait au peuple qui ne comprend pas bien comment ça marche d'être short, c'est sûrement immoral, et on donne l'impression de punir les vilains diaboliques spéculateurs, quand en réalité on ne fait que retarder les échéances et attendre les prochaines élections ; et pendant ce temps la liquidité des marchés ne fait qu'empirer, non pas pour des raisons diaboliques mais bien comme tu l'as dit de préservation de l'intérêt de chacun, et bien parce que la situation est pire du coup et ne semble pas près d'une réelle résolution.

Et donc, bien entendu, s'interroger sur les responsabilités des forts est non seulement permis, mais nécessaire. Mais qu'on occulte, sur une sorte de chasse aux sorcières, sur un bûché populaire, toutes les autres raisons de la crise est malhonnête intellectuellement et moralement. De faire systématiquement le raccourci "à qui profite le crime" est souvent tentant et relève de ce genre de raccourcis trop pratiques à mon humble avis. La responsabilité en proportion à un pouvoir n'est pas une explication suffisante à posteriori, une fois qu'on regarde qui a gagné et qui a perdu.



(*) en voila un terme qui est vaste, "banquier" désigne-t-il toute personne qui travaille dans la finance, y compris mon équipe de back-office à Mumbai en Inde, ou bien quelques têtes d'œufs comme Loyd Blankfeld ou bien des traders ou encore des avocats qui travaillent sur les structures d'aide au financement d'infrastructures dans les pays émergents, ou simplement une image populaire caricaturale à la Michael Douglas dans Wall Street 2007 ?!

(**) c'est quand même triste de voir Angela Merkel caricaturée en Nazie dans la presse Grecque, non ?

  
Paga, pour être bref, tu dis que la victime (le faible) n'est pas forcément innocente. Je suis d'accord avec cette idée.
Mais en Amérique du sud, cette pensée se vérifie rarement. Un exemple au hasard, l'intervention directe en 70/71/72/73 de Nixon et Kissinger, donc de l'Amérique, pour organiser le coup d'état contre le gouvernement démocratique de Salvador Allende.

Etre fort n'est mauvais en soi, mais il faut voir si ce n'est pas au detriment d'un autre.
touche pas à mon hamac !
http://barnackla404.blogspot.com/
    amalgames
  • Message par paga, dimanche 4 décembre 2011 à 16h53
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hédoniste nihiliste
On peut citer plein d'exemple dans l'histoire, partout dans le monde, ou les forts abusent de leur force... évidemment! Mais ton exemple reflète bien l'état d'esprit que je souhaite dénoncer: qu'est ce que Nixon et l'Amérique du Sud viennent voir avec la crise en Europe? ou le rôle de Goldman dans la crise des Subprimes? Que des forts soient ou aient été en position d'en abuser, soit certes, okay dookey... c'est d'ailleurs en grande partie ce qui les classifie comme "forts"... mais cela rend-t-il forcement celui qui gagne quand la bourse baisse responsable de la baisse? Pas forcement ou oui c'est forcement immoral puisque qui gagne perd? Cela rend-t-il tout les Américains immoraux? La finance en tant qu'industrie a certes occupé ces dernières années une part trop importante du GDP de la planète, les régimes fiscaux et les paradis fiscaux ont permis pas mal d'excès, il y a quelques gros cas de fraudes qui ont (espérons le pour la plupart) été découverts et parfois jugés (Maddoff, MG Global), cela rend-t-il toute personne qui travaille dans la finance et qui n'a pas perdu son boulot et sa maison responsable de la misère des millions de gens qui vont eux perdre la maison qu'ils ne pouvaient pas financer de toutes façons?
Tiens revenons à l'Europe, la France en particulier: ex-empire colonial, bourreau de tortures en Algérie?
Te sens tu responsable de la torture en Algérie pendant la guerre du même nom?

:-x
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