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Voici, parfaitement ponctué par la canne, un vrai cadrage sur le fil du rasoir. | |
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Bonsoir,
J'ai cru comprendre qu'il s'agissait ici en fait de grafs, et non pas de tags. Alors dans le doute, un peu des deux... |
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Je n'aurais jamais cru qu'il m'arriverait de photographier des tags car ils me gâchent la vue et je méprise les égotiques qui les font (pareils pour les grafs)
Mais Ces tags sont sur une bâche de chantier qui recouvre les façades du futur musée Magritte à Bruxelles, dont voici une image faite avant l'arrivée des tageurs. Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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L'effet est saisissant : sans explication, j'ai cru qu'il s'agissait de reflets dans la façade de verre d'un immeuble voisin, sans comprendre la position des tags, tout en me demandant comment de telles déformations étaient possibles. | |
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coignet s'exclame
L'effet est saisissant... Je partage volontiers son avis, car j'ai eu pratiquement la même réflexion voyant les photos d'insoL Cela me donne l'occasion ici de vous faire partager une de mes découvertes lors d'un récent exil "à la ville". Je suppose que beaucoup connaissent mais étant donné que je n'en ai vu nulle part la trace...je poste ici donc. Cette série pourrait s’intituler : "Chérie ils ont agrandi la police !" Vous aurez reconnu le fameux quai des orfèvres...mais quand même, ça fait un peu peur ... |
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Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on abuse des bâches en couvrant, par exemple, des immeubles tour de publicité ou, comme ci-dessus, avec des personnages géants photographiés d'un point de vue incompatible avec le géométral de la façade.
Mais j'espère que vous avez apprécié, à sa juste valeur, celle couvrant le futur musée Magritte (avec ou sans les tags). Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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insoL commente toujours avec juste raison et pertinence :
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on abuse des bâches en couvrant, par exemple, des immeubles tour de publicité...Mais j'espère que vous avez apprécié, à sa juste valeur, celle couvrant le futur musée Magritte (avec ou sans les tags). Oui, j'ai apprécié et en fouillant davantage j'ai trouvé ceci, assez drolatique...Le moulé troué |
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Merci pour le lien !
Le "moulé troué" manque apparemment de trous et je ne suis pas volontaire pour m'y enfermer. Par contre, chapeau pour le "dégoulinant" du "36GeorgeV" ! Quant aux "trompes-l'œil" (dessins ou photos de la façade), c'est toujours mieux que de la publicité, même "géniaaaale". Enfin, j'estime que celui du futur musée Magritte reste le plus pertinent mais je regrette que ce ne soit visiblement pas l'avis de ces petits cons de tageurs. Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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Parfois, les baches protectrices n'ont absolument rien à voir avec le bâtiment protégé, mais sont un appel du pied appuyé aux sponsors qui financent les travaux.
Il y a 3 ans, à Venise, l'horloge de la Place St-Marc était recouverte d'une bache Tour-Eiffel : Cette année, le Palais des Doges recouvert de nuages sponsorisés : L'année dernière, sur de grands édifices berlinois en travaux, des publicités immenses pour Lacoste, Guerlain, etc. Et sur l'hôpital de la Charité (hôpital historique de Berlin) : une immense publicité pour une marque de voitures.... Je n'aime pas la pub |
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Tags sur les murs d'un entrepôt près d'un ancien port de la Sarre. Les photos sont prises avec le Leica M6 et Fujicolor 200 ASA, modifiées avec photoshop.
Le doute est le commencement de la sagesse.
(Aristoteles) |
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Cet après midi à Redon, Pris en flag
L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Je hais les tagueurs (le mot n'est pas trop fort) mais, ici, je suis épaté par l'acrobate et le "style" à part (pour le renard) !
Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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insoL
Je hais les tagueurs (le mot n'est pas trop fort) Moi je les aime ! Bien souvent, sans eux, la ville serait bien triste et bien immobile tout de même... |
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Je fais une nette différence entre les tags assimilables à des gribouillages et les manifestations véritablement graphiques et artistiques.
Le gribouillage de bas de murs, de wagons de trains, me semble être l'une des plaies de nos villes. Le côté osé, non aligné, de certaines interventions comme celle du renard plongeant m'amuse plutôt, et parfois, m'épate. Je trouve également amusant les prises en main et détournements de lieux abandonnés et destinés à la démolition. Il y a quelques années, à Toulouse, l'ancienne usine de papier Job a été dans certains secteurs entièrement peinte par des groupes plutôt joyeux qui prenaient ainsi possession temporairement de lieux de toutes manières destinés à la disparition. Je comprends assez ce goût pour le geste anonyme et temporaire. Sachant que ces murs colorés envahis d'animaux fabuleux et de slogans amusants étaient en sursis, j'en avais fait des photos. |
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Bonne question
Summilux 80 mm ; f : 1,4 ; 1/90 Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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Tag géant !
Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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J'aime ça
L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Sans doute dû au même tagueur-grimpeur que pour le renard montré plus haut.
Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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Beaucoup moins acrobatique, mais probablement du même "auteur", car d'une "facture" semblable, me semble-t-il.
Sur commande et étonnamment préservés des tagueurs et autres artistes urbains, c'est situé à l'une des entrées du Musée d'histoire naturelle, où l'on peut voir, entre autres, une bonne vingtaine de squelettes d'iguanodons. Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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Dans cette « Strotje » (ruelle) bruxelloise, la fresque peinte par les enfants représente, de gauche à droite, deux « géants » (folklore), l'imposant Palais de justice qui domine leur quartier, l'harmoniciste de jazz Toots Thielemans, et une vendeuse de « caricoles » (métier en voie de disparition).
Et, forcément, quelques p'tits cons n'ont pas manqué d'y ajouter leurs débilités. Faut, faudra, faudrait … Il aurait fallu. |
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"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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Très drôle !
Au passage, je compatis pour ce pauvre Ben et ses problèmes d'argent. J'espère que cette campagne de pub lui permettra de passer de bonnes vacances. |
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canon 5D markII, 50 mm 1.4 |
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Malgré une conjoncture difficile, Tromer retrouve peu à peu le goût de faire des photos et de l'humour (un peu) Certes, mais il a sacrément morflé ! |
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"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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