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Hommage à Jean Ferrat
Réécouter Jean Ferrat dans Là-Bas Si j'y suis : http://sites.radiofrance.fr/franceinter ... ssijysuis/ En particulier la dernière et avant-dernière chanson Jean Ferrat : La porte à droite > Jean Ferrat : Les cerisiers Les Cerisiers |
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J. Ferrat mais beaucoup d'autres, connus et moins illustres étaient venus partager l'amitié dans son restaurant perché au pied d'une montagne cévenole.
C'était un très grand cuisinier un fameux sommelier, mais également un grand photographe animé de la vraie passion, celle des amateurs. Parce que son amour du monde était immense il quittait régulièrement sa Lozère pour aller faire découvrir la gastronomie française dans le monde. Japon, Amérique du Sud, Europe de l'Est ... Grace à lui j'ai appris à d'abord regarder un vin, à le faire "jamber", à le regarder pleurer sur le bord du verre, à le porter au nez, puis au ciel pour en apprécier les couleurs, enfin, le mettre en bouche et laisser parler toute la poésie. Il était mon ami. Ce matin depuis son petit village il part A Dieu ... Patrick Pagès |
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Au revoir à ton ami.
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Calvin Russell
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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J'adorais...
Grosse perte I'm standing at the Crossroad There are many roads to take I stand here so silently I’ve got fear of a mistake One road lead to paradise One road lead to pain One road lead to freedom I swear they all look the same Coin. |
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Les secrets de Lison ? … Ça a l'air d'être bon … Rien ne peut être pensé sans son contraire. Héraclite |
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Oui...
Enfin.... il étaient (ou plutôt ont été) très bons |
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J'ai tenté comme j'ai pu, avec mes pauvres moyens et l'aide toujours dévouée des équipes médicales de le porter à mon tour. En vain. Marché d'Aligre. Paris 1957 "Peu importe l'âge d'un père, il reste unique et incomparable. On lui doit tout et la nécessité de sa présence existe à un degré que l'on est seul capable de mesurer". |
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Édité 1 fois par Tromer mardi 10 mai 2011 à 10h47 | ||||||
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"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas" |
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Désolé, Tromer. Coin. |
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L'idée d'un univers infini me rend fou |
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Les parents ne sont plus là. C'est maintenant vers nous que les plus jeunes se tournent alors que la mémoire de notre enfance, exacerbée par cette définitive absence, est toujours si présente... | |||||
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Je suis avec toi, Tromer
Mon papa a eu 90 ans en février dernier, il en a marre et je le comprends, mais j'ai beaucoup de mal à penser qu'il partira. Je l'ai pourtant répété des fois et des fois, lorsque j'avais encore une communication avec mes enfants, d'aller rendre visite à la grand-père, mais en vain ... Dans ce cas, je ne sais pas, si les plus jeunes se tourneront vers nous au départ des anciens, comme le dit Solange ... La mort fait partie de la vie Toute mon amitié Bises Henri Je rajoute, qu'au sujet de la phrase au bas de la photo de ton papa et de toi, j'aimerai bien que mes enfants la lisent, merci. |
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Tes dernières photos d'hôpital laissaient entrevoir une fin de vie entourée d'amour et de tendresse.
Je suis certaine que ton père a laché prise en confiance, se sachant aimé. L'absence du père est immense, inconsolable, mais connaissant tes convictions religieuses, l'espérance saura transformer ton chagrin. |
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J'ai une pensée pour toi Tromer | |||||
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En pensant à Tromer hier après-midi.
Ce n'est pas un marronnier, mais un pavot. |
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Gilles |
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Hommage à tous ceux qui ont rendu cette photo possible : 3 enfants qui reprennent le chemin de l'école - et de la vie - à l'hôpital, après des mois de courage et de lutte.
Hommage à ces enfants, d'abord, mais aussi à leurs parents et aux personnels de l'hôpital, tous sans exception. Merci à eux. Ces trois-là sont admirables. |
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michel-boujut-a-deserté | |||||
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danyves
Peut-être un complément ? ...mais je n'aime pas trop l'idée de désertion et pourtant je suis très sensible à la notion de désobéissance civile que je considère comme un devoir absolu dans certains cas (ne me demandez pas lesquels et ne me faites pas remarquer qu'il pourrait y avoir comme une contradiction avec le rejet de la désertion) |
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Belle initiative qui sort des "clichés" habituels sur les jeunes ...
J'espère que tu n'étais quand même pas trop chargé, car il me semble que celui de gauche (sur la prise de dos) a l'air de peiner quelque peu. |
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Cher Tromer,
je me dois de te rassurer sur deux points. Les jeunes d'aujourd'hui ne sont pas plus fainéants, ignorants des valeurs morales, que nous-même au même âge, car nos aînés déjà stigmatisaient tout ce qu'ils voyaient de négatif en nous : la bof-génération, les chevelus, les qui-n'ont-pas-connu-les-difficultés-et-une-bonne-guerre-leur-ferait-du-bien, la génération-blue-jeans (insister sur le "s" de jeans), etc. Concernant les efforts que ces jeunes gens ont dû fournir en me transportant, sache simplement je n'avais pas encore pris mon goûter. |
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Cher oncle coignet,
Je partage ton avis sur les jeunes de notre temps qui n'étaient pas pires que ceux d'aujourd'hui, et même parfois tout aussi "biens"... sauf que, il y a 40 ans, les mass-médias n'avaient pas sur nous le même regard et ne créaient donc pas les mêmes stigmatisations à l'égard de la jeunesse. Je vais d'ici environ 3/4 d'heure aller m'acheter une part de flan (le flan c'est ma madeleine à moi...) |
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