le Pirate Forum
    Relève de la garde au Palais de Dolmabahçe
  • Message par Proteus, mardi 4 octobre 2011 à 20h20

  
Au XIX° siècle, les sultans ottomans se font construire d'immenses palais mélangeant à l'intérieur un style Napoléon III et oriental. Le palais de Dolmabahçe fut terminé en 1856 après quatorze années de travaux. Aujourd'hui, c'est toujours un bâtiment officiel ce qui explique la présence de garde à son entrée.

Par un pur hasard, nous sommes arrivés lors de la relève de la garde. Tout a commencé par un défilé militaire classique.


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Puis nous assistâmes à un rite quelque peu déroutant: un soldat dans une attitude on ne peut plus sérieuse réajuste l'habit du soldat qui garde le palais. Il faut préciser que je ne suis pas très calé en cérémonie militaire :rollr:


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ajustement du col du manteau



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ajustement de la ceinture


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ajustement du pantalon sur les bottes


Laurent, rassure-toi, nous n'étions pas les seuls touristes. J'ai juste cherché à les éliminer de mes cadrages :?

à suivre :arrow2:
  • Message par marielle, mardi 4 octobre 2011 à 22h49

  
Je ne pourrais pas être soldat turc :-x
Pour plein de raisons, mais surtout parce que je suis trop chatouilleuse, et je ne supporterais pas qu'on me réajuste mes habits tout en restant de marbre.
  • Message par Tromer, mercredi 5 octobre 2011 à 14h42

  
En plus, ce vert, beurk !
  • Message par Proteus, samedi 8 octobre 2011 à 18h17

  
La mer tient une place essentielle dans le développement d'Istanbul et dans la vie de ses habitants.

Le Bosphore, détroit long de 32 kilomètres reliant la Mer Noire à la Mer de Marmara, est la limite méridionale entre le continent européen et asiatique. Il sépare Istanbul en deux parties: une partie anatolienne (Asie) et rouméliote (Europe)



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Le Bosphore depuis Usküdar (rive orientale)



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Le Bosphore depuis le palais de Beylerbeyi (rive orientale)



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Quai longeant le Bosphore - Palais de Dolmabahçe (rive occidentale)



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Vue sur la Tour de Galata (Istanbul moderne) depuis le Bosphore



La Corne d'Or est un estuaire qui se jette dans le Bosphore. Il sépare l'Istanbul occidentale en deux partie: au sud le vieil Istambul et au nord l'Istanbul moderne


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en arrivant vers le vieil Istanbul, vue sur le Pont de Galata et la Mosquée de Solinam le magnifique


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La Mosquée Neuve (vieil Istabul)


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Gare maritime d'Eminönü


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Comme vous l'aurez remarqué, le ciel reste uniformément gris durant tout notre séjour :exas:
    Istanbul 2014
  • Message par orville, lundi 7 avril 2014 à 20h31

  
Je place quelques photos ici si ça ne dérange pas.

Arrivée de nuit à Istanbul et bonjour à la mosquée bleue



Bonjour à Sainte Sophie



Un petit resto



Un dernier regard sur cette mosquée bleue et au lit

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par coignet, lundi 7 avril 2014 à 21h46

  
As-tu bien dormi ?
  • Message par orville, lundi 7 avril 2014 à 21h52

  
Oui... je suis un peu sourd.
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par Proteus, mardi 8 avril 2014 à 16h30

  
Excellente idée Orville de relancer ce fil consacré à la ville d'Istambul. Ton voyage s'est-il limité à une nuit?
    La suite : premier jour
  • Message par orville, mardi 8 avril 2014 à 17h39

  
Petit déjeuner en terrasse



Ballade dans le vieil Istanbul



La poète Hûseyin Avni Dede vend ses livres sur un petit marché à côté du grand bazar



Sur le marché



Presseur d'oranges



Marchand de kebab



Le marché aux épices ou bazar égyptien



L'addition au restaurant



Ablutions



Yeni Camii



La tapissière

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
    Deuxième jour
  • Message par orville, mercredi 9 avril 2014 à 13h37

  
Eyüp le long de la corne d'or

Le cimetière





A la mosquée



Les marchands du temple



Cortège funéraire



A Usküdar sur la rive orientale



La tour de Léandre



Manifestation politique



Retour dans le vieil Istanbul

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
    troisième jour
  • Message par coignet, jeudi 10 avril 2014 à 9h04

  
Voici venu le troisième jour ; nul doute qu'il va se passer quelque chose d'extraordinaire.
  • Message par Tromer, jeudi 10 avril 2014 à 10h10

  
Reconduite à la frontière :bombe:
    Le troisième jour
  • Message par orville, jeudi 10 avril 2014 à 11h25

  
Dans la ville moderne

Taxim



vendeur de marrons



Avrupa Pasaji : une silhouette connue ?



Oui ! C'est le poète Hüseyin Avni Dede



Retour dans la vieille ville



"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
    Quatrième jour
  • Message par orville, vendredi 11 avril 2014 à 11h32

  
Dans le quartier de Samatya







Démonstration du vendeur de parapluies



Le réparateur de filets



Abbas le marchand de voitures de collections et ses amis



Chevrolet Impala 1964 à vendre



Marchand de charbon de bois





"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par Tromer, vendredi 11 avril 2014 à 15h56

  
Merci pour la visite. La dernière est impressionnante !
  • Message par coignet, vendredi 11 avril 2014 à 18h42

  
En effet ; vestige d'un ancien quartier autrefois ainsi bâti ?
  • Message par orville, vendredi 11 avril 2014 à 23h49

  
Je ne sais pas....mais attendez de voir le sixième jour !
"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
    Cinquième jour
  • Message par orville, samedi 12 avril 2014 à 0h24

  
A Kadiköy

Eglise arménienne Surp Takavor



Présentoir



Marché de Kumkapi



La peseuse ambulante






Retour dans la vieille ville

Colonne de Constantin





"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par coignet, samedi 12 avril 2014 à 8h56

  
Bravo pour la peseuse ambulante !

Comment connais-tu le poète Hüseyin Avni Dede ?
  • Message par Tromer, samedi 12 avril 2014 à 9h12

  
Moi j'ajoute un grand bravo pour le pharmacien !!! Fallait oser le présentoir :shock:
Il y aurait peut-être des Pirates à Istanbul ?
  • Message par orville, samedi 12 avril 2014 à 11h19

  
J'ai rencontré le poète Hüseyin Avni Dede par hasard au marché et encore par hasard 2 jours plus tard dans la ville moderne.
Je ne le connais pas.

Les pharmaciens sont des artistes

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par Tromer, samedi 12 avril 2014 à 14h31

  
Bravo le pharmacien ! Sans aucun doute un concept à importer par chez nous. Je m'en vais d'ailleurs proposer l'idée au pharmacien de ma petite ville Bas-normande. Il semblerait que le quota pour utiliser par ici certains de ces accessoires soit largement atteint :-)
Je demeure perplexe : comment fait-on pour reconnaître dans la rue un poète que l'on ne connaît pas ? Fait-il des bruits particuliers en marchant, s'adresse-t-il au quidam uniquement en vers, la longueur de sa barbe est-elle proportionnelle à la qualité de son œuvre ?
  • Message par orville, samedi 12 avril 2014 à 14h58

  
Reconnaître un poète exige un sens très affuté de l'observation lié à un entrainement sans failles.
Dans ce cas précis, j'ai vu un type sur un marché qui vendait des bouquins et qui bien que ne portant pas la même chemise, ressemblait étrangement au personnage de la photo qui était en couverture. Par une habile déduction j'en ai conclus que le nom de l'auteur devait être aussi le sien.

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
  • Message par orville, samedi 12 avril 2014 à 15h17

  
Pour en savoir plus sur Hüseyin Avni Dede :

"Quand tu ne ris pas tu ne vis pas"
    Sixième jour
  • Message par orville, dimanche 13 avril 2014 à 10h15

  
En attendant le tram



A Kanlica

cérémonie religieuse pour un enterrement



Le tailleur



A Ermigân

Le jardin de tulipes











A Arnavutköy











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