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Vivant poème
par marielle
page créée vendredi 9 novembre 2007 à 21:19
  • Vivant poème

    vendredi 9 novembre 2007 à 21:19
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    Vivant poème
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  • Des photos au son d'une des plus belles chansons de Barbara


    La promesse d’un être
    "Va, ce monde je te le donne"

    Le regard du père
    "La vie est un poème, que tu vas écrire toi-même"


    Bonheur simple
    "Pars, le monde est un espoir"

    Toute une vie à découvrir
    "Il t’aimera"

    Jeux d’enfant
    "Je l’aime comme je t’aime"

    Rêves d’enfant
    "La vie est un long je t’aime"

    Le prix de la survie
    "Je sais que le monde a des armes, le monde parfois nous désarme"

    Début difficile
    "L'espoir, jamais ne l'abandonne"

    La vie continue
    "Je sais que le monde a des dents, comme nous le monde se défend"

    Rencontre familiale
    "Oui, le monde est notre histoire, de matins clairs et de nuits noires"

    Café Florian, Venise
    "Va, dans ce monde, va te voir"

    Flamenco à Séville
    "Traverse les miroirs"

    Bédouin de Tunisie
    "Où se reflète ton regard"

    Café chez Henriette
    "Il t’aimera comme tu l’aimes"

    Sous la douche
    "Tu es un vivant poème"

    Petit Prince
    "Des rêves d’un enfant de ton âge"



    Va. Ce monde, je te le donne.
    Va. Jamais n'abandonne.
    C'est vrai qu'il n'est pas à l'image
    De rêves d'un enfant de ton âge
    Je sais
    Le monde a des accents.
    Souvent, il nous montre les dents
    Mais je l'aime comme je t'aime
    Et je voudrai tant que tu l'aimes
    Je voudrai tant
    Tu en es le vivant poème
    Pars. Le monde est un espoir
    L'espoir, jamais ne l'abandonne
    Oui, le monde est notre histoire
    De matins clairs et de nuits noires
    Je sais
    Je sais que le monde a des armes
    Le monde parfois nous désarme
    Mais il t'aimera comme tu l'aimes
    Il t'aimera
    La vie est un poème
    Que tu vas écrire toi-même
    Pars. Ce monde, va le voir
    Jamais ne perds l'espoir
    Va. Dans ce monde, va te voir
    Traverse les miroirs
    Je sais,
    Je sais que tout le monde a des dents
    Comme nous, le monde se défend
    Mais il t'aimera comme tu l'aimes
    La vie est un long je t'aime
    Un long je t'aime
    Pars. Ce monde, va le voir
    Traverse les miroirs
    Et jamais jamais n'abandonne
    Va, va.
    Va, traverse les miroirs
    Où se reflète ton regard
    Tu es un vivant poème.
    La vie est un long je t'aime
    Dont tu es le vivant poème
    Le vivant poème
    Le vivant poème
    Mon vivant poème


    25 commentairesajouter un commentaire au post 1 : "Vivant poème"

    Voilà, nous avons tous une musique qui nous tient compagnie. La tienne est très belle !
    touche pas à mon hamac !
    http://barnackla404.blogspot.com/
    ça fait toujours plaisir de revoir ces photos :lov:

    Oui mais aussi de rendre hommage à la "Dame en noir"
    Du plus loin qu'il me souvienne....

    Tromer, j'avais depuis longtemps remarqué ta signature !
    Merci pour elle !

    [quotep="Tromer"]Oui mais aussi de rendre hommage à la "Dame en noir"
    Du plus loin qu'il me souvienne....




    C'est aussi en son hommage que je ne porte plus de poils sur le visage... :cool:
    "Trois choses me semblent essentielles : l'art, l'amour, la mort." Charles Morgan, Sparkenbroke.

    Hommage du jour :
    voici 10 ans aujourd'hui que Barbara mourait. Je me souviens de ce jour comme si c'était hier.



    Mais tu es partie, fragile
    Vers l'au-delà
    Et je reste, malhabile
    Fa, sol, do, fa
    Je te revois souriante
    Assise à ce piano-là (...)
    yeeeess madame Barbara ...

    Pour moi, Barbara ce sont deux souvenirs :

    1) Des chansons en "haute fidélité", incroyable de réalisme pour l'époque, que mon oncle Jean-Marie Reynaud faisait passer sur les salons où il présentait ses enceintes dans les années 70. Ma tante Solange, dans son Shalimar et sa blondeur inéffable, avait un profil aquilin très proche de celui de Barbara.

    2) Quand, étudiant à Orsay, je squattais dans une chambre de cité U chez une copine (en tout bien tout honneur). Je ne savais pas que, quelques années plus tard, elle allait diriger une équipe de recherche du CNRS à moins de dix kilomètres de là. En attendant, il fallait que je rampe devant la conciergerie pour passer incognito hors du champ de vision du cerbère qui, depuis son box, veillait la nuit au respect des moeurs. Nous nous faisions ensuite la tambouille et laissions tomber les paléoclimats géochimiques pour entrer dans le climat plus évanescent des chansons de Barbara.

    Ô temps charmant des brumes douces
    Des gibiers
    Des longs vols d'oiseaux
    Le vent souffle sous le préau
    Mais je tiens entre paume et pouce
    Une rouge pomme à couteau.

    René-Guy Cadou.
    "Trois choses me semblent essentielles : l'art, l'amour, la mort." Charles Morgan, Sparkenbroke.

    Pour moi, à chaque offre de vente de M3, c'est le souvenir de mon père si proche lors de ces 28 mois de cauchemar
    et le souvenir de ce texte de Barbara :

    Ce que vous vendez là
    c'est mes souvenirs à moi


    méditant

    Une spéciale pensée pour notre Diva :wink:



    Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
    Ce n'est pas le bois de Vincennes,
    Mais c'est bien joli tout de même,
    A Göttingen, à Göttingen.

    Pas de quais et pas de rengaines
    Qui se lamentent et qui se traînent,
    Mais l'amour y fleurit quand même,
    A Göttingen, à Göttingen.

    Ils savent mieux que nous, je pense,
    L'histoire de nos rois de France,
    Herman, Peter, Helga et Hans,
    A Göttingen.

    Et que personne ne s'offense,
    Mais les contes de notre enfance,
    "Il était une fois" commence
    A Göttingen.

    Bien sûr nous, nous avons la Seine
    Et puis notre bois de Vincennes,
    Mais Dieu que les roses sont belles
    A Göttingen, à Göttingen.

    Nous, nous avons nos matins blêmes
    Et l'âme grise de Verlaine,
    Eux c'est la mélancolie même,
    A Göttingen, à Göttingen.

    Quand ils ne savent rien nous dire,
    Ils restent là à nous sourire
    Mais nous les comprenons quand même,
    Les enfants blonds de Göttingen.

    Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
    Et que les autres me pardonnent,
    Mais les enfants ce sont les mêmes,
    A Paris ou à Göttingen.

    O faites que jamais ne revienne
    Le temps du sang et de la haine
    Car il y a des gens que j'aime,
    A Göttingen, à Göttingen.

    Et lorsque sonnerait l'alarme,
    S'il fallait reprendre les armes,
    Mon cœur verserait une larme
    Pour Göttingen, pour Göttingen.

    Mais c'est bien joli tout de même,
    A Göttingen, à Göttingen.

    Et lorsque sonnerait l'alarme,
    S'il fallait reprendre les armes,
    Mon cœur verserait une larme
    Pour Göttingen, pour Göttingen.

    Souvenirs, souvenirs...(sorry, c'était pas Barbara)

    ...les premières boums auxquelles j'assistais commencaient invariablement par;
    I saw her standing there

    C'était chouette l'époque du twist :D

    Il y avait un peu aussi de musique francaise; pour danser le loop de loop...
    touche pas à mon hamac !
    http://barnackla404.blogspot.com/

    [quotep="Tromer, pour me consoler, m'offre en cadeau une des plus belles chansons de Barbara"]Et lorsque sonnerait l'alarme,
    S'il fallait reprendre les armes,
    Mon cœur verserait une larme
    Pour Göttingen, pour Göttingen.

    Invitée par des étudiants à chanter à Göttingen en 1964, bouleversée de l'accueil reçu, Barbara, juive cachée pendant la guerre, a écrit cette chanson pour les remercier.
    "Die Kinder sind genau die gleichen
    In Paris wie in Göttingen"


    Elle en a enregistré une version en allemand 3 ans plus tard :
    "Lasst diese Zeit nie wiederkehren
    Und nie mehr Hass die Welt zerstören
    Es wohnen Menschen, die ich liebe
    In Göttingen, in Göttingen

    Doch sollten wieder Waffen sprechen
    Es würde mir das Herz zerbrechen
    Wer weiss, was dann noch übrig bliebe
    Von Göttingen, von Göttingen"


    Cette chanson a été très importante dans la reprise effective de l'amitié franco-allemande (citée par Gerhard Schröder lors des 40 ans du Traité de l'Elysée en 2003)

    auto-pub :oops:

    J'ai aussi un souvenir pluvieux de Göttingen en 1990. Ces grandes façades à créneaux, architecture simple et impeccable faite pour durer mille ans au moins, le Leica de la pierre, et déjà de magnifiques pistes cyclables sur les rues pavées à perte de vue. Mais j'avais la ch'touille et j'en ai trop peu profité... :mrgreen2:
    "Trois choses me semblent essentielles : l'art, l'amour, la mort." Charles Morgan, Sparkenbroke.

    Pour moi c'est aussi le dimanche, vers midi, Denise Glaser recevant Barbara dans Discorama, j'étais jeune, fascinée, subjuguée par ces deux immenses femmes.
    Et puis les chansons, chaque fois beaucoup d'émotion.

    Et voilà, par un hasard incroyable, j'ai réussi à répondre dans les temps à une question posée sur l'antenne de FIP, samedi matin, et j'ai gagné le livre de photos de Barbara par Marcel Imsand "la chanteuse et le photographe". Marcel Imsand cher au coeur d'un écrivain-photographe vaudois sévissant sur un forum voisin.
    Barbara je n'écoutais pas trop, je crois que j'ai raté quelque chose...
    Quelqu'un qui fait des images ne peut pas être rassurant
    Raymond Depardon, Errance

    Flickr

    Bravo Paul ! Une fois j'ai tenté ma chance sur FIP pour gagner un superbe coffret de François Beranger :-)
    Ça doit être bien
    D’être de quelque part
    De partir et puis de revenir
    Quand on est de nulle part


    j'ai pas gagné, du coup je l'ai acheté :D:

    Pour revenir à la Dame brune il y a ça qui vaudra, qui sait, le détour ?
    Samedi 1er décembre à 23h05 sur France 3 "Personnel et confidentiel" Discorama signé Glaser. Des archives comme on les aime...
    Je signale également actuellement dans les kiosques un Hors-Série consacré à Barbara de Télérama pas mal fait.
    A vos magnétos les pirates :cool:
    Si mi la ré, si mi la ré....

    sol do fa

    Mi, sol, do, fa
    :D:
    Essaye encore :-)

    [quotep="Tromer"]Mi, sol, do, fa
    :D:
    Essaye encore :-)
    Je ne voudrais pas être désagréable :mrgreen2: ....
    Si, mi la, ré
    Si, mi la, ré
    Si, sol do, fa
    :bla:

    (incollable sur Barbara, je suis :pyrhlov: )

    Damned pris par la patrouille :oops:
    :cool:

    [quotep="Tromer"]Damned pris par la patrouille :oops:
    :cool: :mrgreen2: :bla:

    [quotep="Tromer"]Pour revenir à la Dame brune il y a ça qui vaudra, qui sait, le détour ?
    Samedi 1er décembre à 23h05 sur France 3 "Personnel et confidentiel" Discorama signé Glaser. Des archives comme on les aime...Denise Glaser et Barbara ! Alors ça !!! A ne manquer sous aucun prétexte ! Bon, pour te faire pardonner, y aurait-il moyen pour que quelqu'un :roll: me l'enregistre, et garde au chaud la cassette (ou le DVD) jusqu'à ce que je revienne en France ?

    Pour le Hors-série, je saurai me débrouiller !

    [quotep="marielle"]jusqu'à ce que je revienne en France ?
    Alors ils te laissent repartir finalement :mrgreen2: :bla:

    Barbara est célébrée internationalement.
    La voici à l'affiche à Berlin :


    J'aurais posté cela dans Pirateries :mrgreen2:
    :cool:

    Terrible, Coignet.
    Mais Barbara, l'unique, la vraie, n'a pas de nom de famille, et quand elle chantait en allemand, elle le faisait avec un accent absolument extraordinaire...
    Et puis elle avait les cheveux et les yeux noirs... et un décolleté moins présent...
    Je crois qu'il y a donc méprise :cool:

    Ce fil me donne l'occasion de vous faire part de mon Noël barbaresque :
    2 livres : Parfums de femme en noir que je suis en train de lire et A demain, je chante
    Le coffret de disques des inédits que je déguste.
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