François Bouton publie les aventures tragiques d'Odette Lèger et de son mari Robert. Voir ce sujet Le destin tragique d'Odette Lèger et de son mari Robert coiffeur pour hommes à M sur le forum. Des rencontres et séances de signatures sont prévues les 11 et 12 novembre, de 18 à 21 heures, à la galerie Clémentine de la Féronnière à Paris. Une autre rencontre suivra le 19 novembre de 10 heures à 12 heures à la librairie La plume envolée, 17 avenue de Toulouse à Cugnaux. |
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« Cet attribut trivial, appliqué à des photographies, exigerait une explication. Mais j’aimerais que vous la trouviez par vous-même. Je vous dirai seulement que si certaines de celles-ci vous font sourire, vous êtes sur la bonne voie, et que vous arriverez vite à reconnaître une photo “con” quand vous la rencontrez. […] Voilà, en raccourci, le miracle d’une photo “con” : elle révèle quelque chose, mais il n’y a aucune raison de penser que le photographe en ait eu conscience ! Édouard Boubat aimait citer un paradoxe de Borges : “Un écrivain ne peut être un grand écrivain, s’il écrit seulement ce qu’il croit écrire.” D’après le même principe, vous ne pouvez décider de faire une photo “con” : elle vous sera peut-être donnée. » Frank Orvath, dans La maison aux quinze clefs, TerreBleue éditeur, 2013. Nous croyions avoir initié le concept sur pirate-photo.fr, et il semble qu'il n'en est rien. Orville l'a constaté et nous en a informé par ce message. Ne boudons tout de même pas notre plaisir. Cela se passe : Galerie Dina Vierny 36, rue Jacob 75006 Paris ouverture du mardi au samedi de 14h à 19h |
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Pour la 5e édition de PhotOfeel qui aura lieu du vendredi 24 juin 2016 à 14h au dimanche 26 juin 2016 à 19h, le Photo Ciné Club Courthézonnais présente : 12 auteurs, soit environ 400 photos sur le thème de la photo de rue. Stage de photos de rue, animé par Jean d’Alger (sur inscriptions) Stage de Colorimétrie et impression, animé par la société Jimag’in Bourse Photo le dimanche (Vente, achat, échange, de tous appareils photos, ciné et accessoires argentiques et numériques, appareils de prises de vue et de reproductions. Photographies anciennes , tirages, livres et revues) Programme détaillé : http://photofeel.net |
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Mardi, mercredi, vendredi de 14h00 à 18h00 Samedi de 10h00 à 12h00 Dimanche de 10h30 à 12h00 voir ce message dans le forum |
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« Si le genre n'est pas ma tasse de thé (la photo de reportage pour émouvoir), le sujet ô combien sensible (pays en guerre avec les conséquences connues), je vous invite à y aller si vous passez par Lyon ou mieux encore y habitez. Les tirages sont magnifiques et pour cette seule raison, cette expo mérite que l'on s'y attarde. » stefaren - voir ce message dans le forum |
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« C’est un voyage que j’ai toujours voulu faire, prendre le légendaire Transsibérien. Je suis né au Danemark, un pays que l’on traverse en cinq heures. Mais la Russie, c’est autre chose : c’est un pays immense ! » Jacob Aue Sobol (citation présentés sur le site de polkagalerie) |
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« Des cadrages au cordeau, des tirages (qu'il réalise lui-même) remarquables, pour des photos glaçantes » Piga - voir ici dans le forum |
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L'exposition présente une quarantaine de tirages Fresson, réalisés entre 1980 et 2015. « En 1967, sa découverte du procédé Fresson, et l'amitié qui s'en suit avec cette famille de tireurs, détenteurs exclusifs du procédé pigmentaire qui porte leur nom, marque le début d'une collaboration quasiment exclusive : la grande majorité du travail couleur de Plossu est en effet tiré en "charbon Fresson". Celui-ci convient si parfaitement à sa sensibilité qu'il "voit" la couleur photographiée à travers ce filtre "atmosphérique", aux teintes adoucies, imprécises. » Camera Obscura « Les tirages Fresson ont du grain, ils sont mats, comme les photos en noir et blanc. Rien de pictorialiste dans ma démarche, au contraire, je dis souvent que la pire des choses que l'on puisse dire d'une photo c'est : On dirait un tableau. Le grain donne une ambiance proche des photos faites au Tri-X, le coté mat est anti-spectaculaire et ça me plait. Les Fressons atténuent délicatement la violence de toute lumière excessive, que ce soit en Arizona ou dans le sud de la France ! » Bernard Plossu |
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« Josef Koudelka a passé plus de 20 ans à photographier les sites archéologiques gréco-romains : en Libye, en Algérie, à Rome, en Albanie, à Orange... le célèbre photographe franco-tchèque, aujourd'hui âgé de 75 ans, a visité depuis 1991 dix-neuf pays méditerranéens, certains plusieurs fois, certains où il veut encore retourner, car le projet se poursuit.Pavés romains mouillés de pluie, plongée vertigineuse sur Petra, colonnes de Delphes des plus graphiques... autant de tableaux magnifiés encore par la taille des tirages.. » (extrait de la présentation du site du Pont du Gard) |
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Toshio Shibata Night Photographs Night Photographs N-192, Moriya Service Area, Joban Expressway, 1986 © Toshio Shibata « Vers la fin des années 70 se calmèrent enfin les turbulences qui agitaient le Japon d’après-guerre. Je revins alors de quatre ans d’études en Flandre, dans une Europe où le temps s’écoulait lentement. Avec l’occidentalisation, avec le chaos dans lequel se mêlaient les marques de l’ancien Showa [avant-guerre] et celles du moderne [des années 50 jusqu’en 1989], Tokyo me paraissait dans un tel désordre qu’il m’était impossible d’en capter une réalité visuelle. Moi qui me battais pour créer une oeuvre qui me soit propre, dans mon pays, je me mis alors à partir en chasse des lumières de la nuit. C’était une manière d’échapper au fracas des jours. » Toshio Shibata (texte présenté sur le site de polkagalerie) |
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« “J’ai toujours emporté mon appareil photo partout avec moi”. C’est ainsi que Franck Landron résume sa pratique photographique qui a commencée en 1971. L’appareil qu’il vient alors de recevoir pour ses 13 ans se retrouve aussitôt dans sa sacoche de collégien. Ses premiers essais seront les portraits de ses camarades surpris et amusés d’être photographiés en classe à l’insu de l’enseignant. Suivent beaucoup d’autres clichés, juste pour voir à quoi ressemblent les jeux, les sorties entre copains, les premiers baisers, le garage familial, le Solex et les voitures que l’on bricole, les prises de risques, les cassures et bientôt l’âge adulte. Ce précoce et habile touche-à-tout de l’image qui deviendra peintre, acteur, réalisateur et producteur de cinéma enregistre toutes les choses qui s’imposent dans une mémoire, traversent le temps et, en définitive, fondent une existence. Cette exposition nous plonge dans les premières années de cette formidable archive intime qui se poursuit encore aujourd’hui ». (Michaël Houlette - extrait de la présentation sur le site de la maison Robert Doisneau) |
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« C’est au début des années 1970 que cet anglais d’origine canadienne devient photojournaliste. Photographe indépendant, il travaille pour des magazines tels que The Observer, The Telegraph, Time ou Newsweek Magazine et part ainsi couvrir les conflits du Proche-Orient ou de l’Irlande du Nord. Mais Homer Sykes se tourne rapidement vers son propre pays, questionnant les coutumes et les mœurs typiquement britanniques. Après son exposition au cours de l’été 2014 à la Maison de la Photographie Robert Doisneau à Gentilly, Les Douches la Galerie retrace à son tour les années 70-80, deux décennies qui furent pour lui une véritable immersion dans le quotidien, le folklore et les mutations d’un Royaume-Uni en crise, dans une société en proie au doute et qui se réinvente à travers une culture pop-rock. » (Extrait de la présentation de la galerie) |
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« L’AFP, renaissante après la Libération, envoie partout ses équipes de photographes couvrir le grand retour et un fonds unique, le plus important de toute la presse française, est constitué. L’exposition ouverte au public à l’Orangerie du 9 au 20 septembre, en dévoile des images inédites pour montrer ces temps forts qui ont marqué la fin des années de séparation. Un ouvrage de 240 pages consacré au même sujet est par ailleurs publié aux Editions Stock. Rédigé par Alain Navarro, journaliste à l’AFP dont il a dirigé plusieurs grands bureaux à l’étranger, il s’appuie sur le fonds photographique et s’enrichit de récits oubliés de l’Agence France-Presse. Exposition « 1945 - Le retour des absents » Du 9 septembre au 20 septembre 2015 - Entrée libre tous les jours de 11 h à 19 h à l’Orangerie du Sénat - Jardin du Luxembourg - 75006 Paris (Accès porte Férou - 19 bis, rue de Vaugirard) Livre « 1945. Le retour des absents » par Alain Navarro, préface d'Annette Wieviorka Parution le 9 septembre 2015 aux Editions Stock (240 pages, 24 €) » (extrait de la présentation du site de l'AFP) |
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« Habitant dans la forêt, je sens la présence de beaucoup de "trésors" respirant paisiblement dans la nature. J’appelle cette présence "Shizuka". Je marche dans la forêt et je récolte mes trésors du sol, mes "Shizuka". J’essaie de capter la faible lumière qui émane de ces trésors, avec mes yeux et avec ma caméra. » Masao Yamamoto |
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Fabrice Deutscher, alias Albator, annonce la parution de • REC | #1. [• REC] est le bouton qui permet de lancer l’enregistrement. J’appuie, enregistre, compile, rassemble et en fais un journal. Un cahier à tiroirs dans lequel il n’y a pas réellement d’histoire, mais où l’on va trouver des associations d’idées, des rebondissements, des éclats, des moments de contemplation béate, de la provoc’, et cætera. Le premier opus, à paraître en juin, sobrement intitulé • REC | #1 parle d'amour. L O V E. Pour en savoir plus, voir voir ici. |
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« Première exposition au BAL sans œuvre et sans artiste, Images à charge est consacrée à l’image produite en tant que preuve par des experts, chercheurs et historiens dans des cas de crimes ou de violences individuelles et collectives. Sont présentés onze cas depuis l’invention de prises de vue «métriques » de scènes de crimes au XIXe siècle, jusqu’à la reconstruction d’une attaque de drone au Pakistan en 2012. Pour chaque cas, un contributeur revient sur son contexte historique et géopolitique d’apparition, la finalité des images et leurs conditions de production. “Voir, c’est croire”. La capacité d’attestation de l’image, qui prévaut dans la perception commune, est d’autant plus avérée dans le champ légal. » (Extraits de la présentation de Diane Dufour, Commissaire de l'exposition.) Contributions de Christian Delage, Thomas Keenan, Tomasz Kizny, Luce Lebart, Anthony Petiteau, Eric Stover, Eyal Weizman. Exposition co-produite avec The Photographers’ Gallery (exposition du 2 octobre 2015 au 10 janvier 2016) et le Nederlands Fotomuseum à Rotterdam (exposition du 22 mai au 28 août 2016) Un ouvrage co-édité par les Éditions Xavier Barral et LE BAL accompagne l’exposition. Exposition présentée dans le cadre des 5 ans du BAL |
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Le projet la photographie à l'école se construit depuis 14 ans autour de plusieurs compétences, des bases techniques de la photographie à la pratique de la prise de vue, de la lecture d'images à la mise en œuvre d'un thème imposé. Cet apprentissage tisse également des liens avec d'autres domaines d'enseignement, tend des passerelles qui invitent les enfants à la lecture, à l'écriture, à la poésie et aux arts plastiques. Voir sur le forum l'exposition de la session de 2013. |
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« Harry Gruyaert photographie les couleurs, c’est sa façon de percevoir le monde. Vers l’âge de 20 ans, fuyant une Belgique qu’il jugeait trop étroite, il décide que la photographie sera son moyen d’expression, qu’avec elle il traduira et construira sa quête de connaissance et de sensualité. Dans les années 1970-1980 avec les Américains Saul Leiter, Joel Meyerowitz, Stephen Shore ou William Eggleston, Harry Gruyaert est un des rares pionniers européens à donner à la couleur une dimension purement créative, une perception émotive, non narrative et radicalement graphique du monde. Cette exposition à la Maison Européenne de la Photographie est sa première rétrospective. ». (Extrait de la présentation sur le site de la MEP) Voir ici dans le forum (présentation par Piga) |
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Né à La Ciotat en 1929, Gilbert Garcin a commencé à photographier à l'âge de la retraite. Il met en scène des situations absurdes avec humour et dérision, créant des paysages irréels en noir et blanc. |
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Jungjin Lee Unnamed Road Unnamed Road #60, 2011. Tirage jet d'encre pigmentaire sur papier japon. 50 x 100 cm Édition de 7 exemplaires « Les lieux photographiés par Jungjin Lee ont une présence étrange. Tels des paysages mentaux, ils semblent naître d'un rêve plutôt que décrire une réalité. Certes, la matière des tirages fait songer à du dessin et contribue à cette perception, mais c'est d'abord le regard de l'artiste, son choix d'une photographie "méditative" qui explique cette sensation singulière. Jugnjin LEE ne photographie pas les paysages pour en documenter tel ou tel aspect : c'est sa propre présence au monde qu'elle cherche à explorer, à interroger. » (présentation de la galerie) Ces photographies ont été réalisées dans le cadre du projet "This Place", qui a invité douze photographes de renommée internationale à travailler en Israël (C'est le photographe Frédéric Brenner qui a imaginé et porté ce projet, indépendant et réalisé sans aide publique de l'état d'Israël). |
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« Né à Détroit en 1947, Nicholas Nixon est un des photographes les plus réputés sur la scène internationale. Professeur de photographie au prestigieux Massachussets College of Art de Boston, il a réalisé de nombreuses expositions individuelles dans les principaux musées d’art contemporain du monde. Lors de l’été 1975, Nicholas Nixon prend une photo de sa femme, Beverly Brown dite « Bebe », accompagnée de ses trois sœurs : Heather, Mimi et Laurie, âgées de 15 à 25 ans. L’année suivante, il fait de même lors d’une remise de diplôme de l’une des sœurs. Le photographe se rend alors compte du potentiel du projet et il leur demande leur accord pour développer la série. C’est ainsi que toujours dans le même ordre (de droite à gauche Heather, Mimi, Bebe et Laurie) et pendant 40 ans, les visages des quatre sœurs vont être capturés à l’aide d’une chambre photographique. ». (Extraits de la présentation sur le site du musée) |
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« J'entreprends un travail depuis le début des années 90, de mémoire sur le petit village corse dont je suis originaire. C'est vers le milieu des années 2000 […] que je décide de venir m'installer en Corse et ainsi vivre et photographier mes racines. Ce travail se traduira par l'édition chez Contrejour de "in paese, le bruit du souvenir". J'ai entrepris maintenant un travail d'inventaire sur la Corse du début du XXIe siecle et qui fera l'objet dans quelques années, je l'espère, d'une nouvelle publication. ». (Extraits de la présentation par Bernard Cantié sur le site de labo photo Rétine) |
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« La prison, espace inaccessible au regard, suscite le fantasme. La réalité que j’y ai éprouvée est peu spectaculaire. L’enfer de l’incarcération tient beaucoup à l’accumulation et la répétition de traitements indignes qui transforment l’ordinaire en cauchemar : les règles avilissantes, la solitude, la promiscuité, l’insalubrité, le désoeuvrement, l’inconfort… À cela s’ajoute la violence qui s’exerce dans les zones d’ombre et les cours de promenade. C’est cette intimité de l’enfermement que je cherche à photographier en couleur, de façon frontale, directe, sans effet. Je ne m’attache pas à une action ou à une anecdote. Je procède par petites touches, je m’imprègne de la géographie des lieux, de la lumière, des sons, des récits des détenus… ». (Extraits d'un texte de Grégoire Korganow publié sur le site de la MEP) |
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« Je photographie des pères, de 20 à 80 ans, debout, torse nu, avec leur fils de quelques minutes pour les plus jeunes ou entrés dans la cinquantaine pour les plus âgés. Ils sont proches, souvent peau contre peau. ». (Extraits d'un texte de Grégoire Korganow publié sur le site de la MEP) |
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